| Carnet de bord de Mars 2017 | Partager sur Facebook |
Hier après-midi j'ai fait prévenir Jean-Pierre que je viendrais de bonne heure. Je charge à 8h mais faut vider le Damazan avant, ça va mieux pour charger... A 7h et demi je suis en place, on boit le café et on attaque. A 8h j'avance sous le hall, c'est une affaire rondement menée. Vu que je vais transvaser à Devecey j'essaie de charger à l'envers pour faire le moins de manipulations possibles mais c'est pas facile. A 9h et quelques c'est fini, je vais voir Corinne la cheftaine pour un truc perso qui fait bien plaisir, j'en parlerai plus tard. Sinon je bois des cafés avec tout le monde, les enveloppes clients ne sont pas prêtes, Martine est à la bourre ce matin.
Midi et demi je suis au dépôt, on s'était calé avec Marc mais c'était compté sans Pauline, elle lui fait faire une ramasse qui traîne... Je mange un bout en attendant et je vois se garer un affrété en camion-remorque. Ce gland se gare pile poil pour me faire chier pour ma transvase. Ah mais non ! C'est pas un gland du tout, je reconnais Nico 38. Du pur hasard ! Il charge un lot chez nous, du coup on a le temps de tchatcher et de boire un café.
A 14h Marc se pointe, on transvase, sans rien casser, ce qui n'est déjà pas mal avec deux bras cassés comme nous... C'est bien long parce que comme j'ai chargé ce matin ça va pas du tout. On étale tout le bordel dans la cour et on recommence.
Quand c'est fini Pauline me fait attendre, soit je charge un petit lot pour rentrer, soit je charge à 8h à la place de Sevket lundi. A 16h30 mon poto appelle, il est vide on ne change rien. Du coup je me charge 3 bobines et je me rentre. Crochet par Vesoul, on a commandé de l'ADblue depuis une semaine mais la cuve est désespérément vide, je passe à l'AS24, mon tracassin est à la limite de rouler en mode dégradé. A 18h je décroche au bled, mon week' à tous, le ciel vous tienne en joie.