| Carnet de bord de Février 2015 | Partager sur Facebook |
Café pain-grillé beurre douche chez le joyeux lusitanien et je fais ronfler les allemands chevaux. A 9h pétante je suis à Dôle, comme c'est de l'inter-bases comme ils disent, le gardien me fait entrer direct. Comme d'hab' j'attrape un tire-pal électrique, le mec me dit : « non non, c'est moi qui fais. Va boire un café, tu reviens dans un moment. » Oh ben ! Si c'est toi qui le dit !
Dans l'heure je transiquise Pauline, elle m'envoie faire une ramasse à Dôle, ramasse que je viens vider à quai un peu avant midi. Je m'attendais à faire des ramasses ou charger des remorques pour les autres, mais une fois n'est pas coutume on n'a pas plus de boulot que de camions. Du coup le boulot est cadré, chacun charge son camion. Elle m'envoie quand même charger des bobines d'alu chez un refendeur, bobines que je revide à quai dans la foulée.
Je décroche la semi blanche, je reprends la mienne, je prépare mes affaires de piscines et je vais laver. Il y a du monde chez Jeantet, tout le monde veut enlever le sel. Je passe un bon moment à la Karcher, y compris sur le chariot. J'ai un Moffett en croûte de sel.
Je me rentre, à 18h fin de cette journée plus que cool à la maison.