FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2016 Partager sur Facebook
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  • moi j'améliore la baignade...
  • Lundi 18 Juillet 2016
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    A 8h je transvase mes affaires de la bagnole au camion, je rangerai plus tard. Go. On est lundi, en sortant du dépôt la route de Besac' est bien bouchée, ce putain de radar de chantier n'arrange rien. Un coup de GPS et je trouve facilement le chantier à l'angle de l'avenue Léo Lagrange, sous ministre du Front Populaire et la rue de Trépillot, ministre de rien. Je vois une pelle à chenilles au nom de la boîte où je vide mais il n'y a pas un chat. J'appelle le gars, je ne suis pas au bon chantier. Faut que je fasse demi-tour, continuer l'avenue, sauter de l'autre côté du chemin de fer, m'enfiler dans une rue en sens unique...que du simple. On ne peut décidément pas avoir les bonnes infos directement dans le transport ? Je ne suis pas loin de chez Bourgeois, leur cour est grande je vais me retourner chez eux. Jusque là ça va. Pour prendre la rue en sens unique, il me faut passer sur un haricot directionnel, vas-y mollo Pierre, vas-y mollo. Je connais très mal Besançon centre, ils détruisent une caserne à ce que je vois. Il me faut reculer entre un mur et des grillages de chantier, putain si j'y griffe pas mes rideaux neufs... En bas je trouve enfin mon gars. Il attendait un plateau pour vider à la grue... Ils vont tout me destroyer, j'ai compris, je descends mon chariot et je me démerde tout seul. J'ai failli le laisser au dépôt tout à l'heure sachant que j'allais revenir, mais j'ai renoncé, mon sixième sens féminin certainement. A 9h et demi, j'ai fini, je trouve un type pour signer mon récèp'.

    Le lavage chez Vico est fermé, je vais chez Jeantet. La Karcher a rendu l'âme ce matin, c'est bien ma veine. Un coup de savon et un aller et retour de rouleaux, c'est mieux que rien.

    Retour au dépôt, personne au gasoil, je fais le plein et je vide mon Haribo à quai. Trop content de me débarrasser de cette merde. Le mec qui va le vider chez Colruyt demain il va péter un câble ! Pas de palette hétérogène, que du multi références, il aura le temps de faire une sieste.

    A presque midi je me casse direction piscines land. J'avale une salade en vitesse. A 13h35 à l'entrée de Seppois, Fabrice m'appelle : t'es où ? A Lyon je suis en fret cette semaine. Gros blanc... Je le laisse marcher un peu. Ça t'apprendra à m'appeler pour 5 min de retard.

    J'ai un petit tour, donc un petit chargement. Et dans ce petit tour, une piscine est reportée je ne sais quand. Du coup, très petit tour.

    A 17h je suis dans la Haute Saône profonde. Avec les gros orages du mois dernier, le champ au-dessus de chez le client est descendu sur le terrain. Le local technique, la piscine, la cabane et le salon de jardin, le tout noyé sous la boue.

    Je prends la route de l'Alsace. Petit coup de fil de chez Orange, ma maison est éligible, comme ils disent, au VDSL. Du haut débit paraît-il. Ah ? Même dans le 70 on ne regardera plus la roulette tourner deux heures avant qu'une page s'ouvre ? On progresse, parce que l'ADSL on nous l'avait un peu survendu. Wait and see.

    Fin de journée au Pont d'Aspach, le resto du fond est en vacances, va pour le Lion d'Or.