FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2016 Partager sur Facebook
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  • Jeudi 21 Juillet 2016
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    Café douche, zou ! En 1h30 je suis en dessous de Roanne. Rien d'indiqué dans le bled, le gps voulait m'envoyer dans un bois. Je trouve la boulangerie, je prends mon pain et le brave boulanger m'explique où est mon client, à l'ancienne. A 8 pétantes je suis devant la grille. Un gars me voit et m'ouvre direct. Il vide les premières palettes au Fen puis me file un tire-pal électrique. On vide tout, et on recharge complet avec des pièces usinées. On fait les papiers, il m'offre un café, à 9h30 je décolle. La maison est bonne, je reviendrai. J'appelle Pauline pour qu'elle m'annonce à 16h à Ste Suzanne. Elle me rappelle un peu plus tard pour me dire qu'à 16h ils ont un conteneur à charger, mais ils me prennent à 17h, nickel-chrome. La remontée est moins chaotique sur la RCEA, sauf au rond-point de la Total à nouveau. On freine 2 km avant, pourquoi ? On s'arrête, pourquoi ? Il y a quelques cocottes de chantier sur la chaussée, ça y est les pèlerins se pissent dessus et n'osent plus rouler. J'ai couper 15 à l'usine, je fins mes 30 devant une salade avant Chalon.

    J'ai largement le temps, je remonte par la natio jusqu'à Besac'. Dans l'après-midi on m'appelle avec un numéro +34 . Ah ? C'est un gars qui me dit s'appeler Pablo, commercial Waterair Iberica, on se cadre pour les livraisons semaine prochaine. Les affaires reprennent, es un placer.

    A 17h me revoilà à la fonderie. Le quai est toujours aussi pourri qu' hier. On recule entre deux murets étroits, faut être parfaitement droit alors qu'on ne peux pas s'avancer... C'est arrivé cette semaine paraît-il,le Fen est lourd, il fait descendre la semi bien sûr, la porte ouverte mais bien attachée est venue cogner le muret en question, porte morte, chauffeur dépité...

    Une petite heure et je suis vide, demain matin j'ai piscine, je me rentre à la maison.