| Carnet de bord de Septembre 2016 | Partager sur Facebook |
Au réveil la cuisine sent le pain grillé, chez mon vieux pote je suis comme un coq en plâtre, comme disait l'autre. Il veut refaire un café, je refuse, 8h je mets enfin en route, si j'avais su...
Je roule jusqu'au patelin d'à côté, lotissement facile, livraison facile, balayage de la semi facile, message à Laurence facile. Réponse : rien pour le moment. J'ai vu un supermarché à l'entrée du pays, je vais faire quelques courses et poireauter... Si j'avais su j'aurais bu un second café avec Lionel. Il doit y avoir un chantier ou une carrière par là, c'est un défilé de benneux dont un 143 en échappement libre, lovely.
A 15h30 ça bouge enfin. Elle m'a trouvé un rechargement à Casteljaloux, j'irais bien essayer de charger ce soir mais ce n'est à vider que lundi, ça ne sert à rien, je ne ferai rien de plus demain soir. A Marcheprime un convoi a bien du mal à tourner au feu, on est bloqué un petit moment. Quand il passe devant moi je crois reconnaître, après coup, Geoffroy alias Solaris. Je suis assez peu physionomiste, si c'était lui qu'il me pardonne de l'avoir snobé.
J'ai tout mon temps, j'enquille les départementales de Gironde, tranquille tranquille. Les programmes Wat tombent pour dans 15 jours, je fais ça sur un parking à l'ombre des pins, le pied.
Je termine cette journée harassante à Marmande, le gros troquet a changé de proprio si on en croit la banderole, on va voir ça.