| Carnet de bord de Mars 2015 | Partager sur Facebook |
C'est bien naze mais je me lève à 4h30 pour rien ou presque. Il faut absolument que je sois le premier chez Compo pour charger. A 5h je saute dans la bagnole et zou au dépôt. Je suis devant l'usine de terreau à 7h moins le quart, je suis effectivement le premier. J'ai hésité à partir dimanche soir à 22h, à 22h20 j'étais en place et à 7h20 j'avais la coupure finie...
Blague à part j'ai bien fait de venir tôt, dans le quart d'heure c'est Christophe mon collègue régional qui se pointe puis une chiée de camions. Tu penses le terreau, c'est la pleine saison ! A l'ouverture je fais le malin, je suis le premier. Les mecs au bout de la queue se font des cheveux blancs. Je charge 24t, nickel chrome pour aller aux mines.
J'y suis juste avant 9h30, au poil. Le mec finit un camion et m'attaque. Vendredi j' ai vérifié mes feux, tout bien. Et ce matin comme par un fait exprès j'ai un stop grillé à droite ! Pas grave, il le note et voilà. Sans cela j'avais CT vierge...
Retour au dépôt, je vide la ramasse. Le collègue Carlos attend un de mes lots pour Privas, on transvase direct dans sa semi. Je fais le plein et je me sauve direction le pays des cigognes et du chou fermenté.
Pour 15h je suis en place chez Waterair. Enorme soulagement, Fabrice a repris le boulot. Il m'a foutu la trouille ce con-là ! Bon il a les artères des guiboles bouchées à je ne sais combien de % mais il est suivi de près.
Je n'ai pas grand chose, beaucoup de rénovations, en une heure c'est fait.
Je commence dans le Sundgau à 22km de l'usine le long de la frontière suisse, exotique le voyage ! La dame rentre du boulot quand j'arrive, belle coordination. Je pose la palette de rénovation dans le garage, la palette de margelles à côté de la piscine, contrôle, chèque, papiers, en route.
Demain je recommence à Spechbach à côté d'Aspach, donc qui dit Aspach, dit Pont d'Aspach vous me suivez ? Adresse incontournable entre Belfort et Mulhouse.