| Carnet de bord de Mars 2017 | Partager sur Facebook |
Café, mauvais croissant, douche et zou. En partant je vois un 113, je le prends en photo, le chauffeur tout fier me dit qu'il a 2 millions 200000 km. Je le félicite, son taxi est nickel propre. Il y a une AS24 sur le parking mais il y a la queue, je lâche l'affaire.
A Digoin ça crie famine, j'en mets un peu vers chez Cassier.
A 11h et des boulettes je suis chez Jeantet, ça fait une éternité que je n'ai pas lavé. Ma bâche retrouve le sourire. Je vais voir vite fait le Ludo, les veilleuses déconnent. Cette nuit j'ai dormi avec les veilleuses de la semi allumées et deux feux orange sur le carénage droit. C'est quoi cette diablerie ? Il me dit d'aller chez Fiat, c'est sous garantie. Bon.
Midi et demi je décroche au dépôt et je dépends le Moffett. Un gars de chez Manuloc va venir cet ap' pour mon flexible. Je prends la semi verte, c'est la seule Waterair qui reste.
Je passe à la maison manger un bout, une demi-heure pas plus.
A 15h30 je suis à Seppois. C'est de la Belgique, il y a donc plein de bazar, bâche à bulles, enrouleurs, pompes à chaleur... Il faut empiler les rénovations, démonter une palette d'accessoires, et ça finit par rentrer.
5h moins le quart je démarre direction Besançon. Le ciel est bien noir au loin, je me magne le cul, je voudrais que le tacot reste propre. Je pose la remorque pour Sevket, je reprends la mienne et je me rentre. 20 h pile poil je suis à la maison, le top.