FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Janvier 2019 Partager sur Facebook
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  • l'Aragon en hiver
  • Jeudi 17 Janvier 2019
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    A 7h et demi j'en ai marre je vais faire un tour à pied dans le quartier, je trouve un bistrot ouvert. Le serveur passe mon croissant à la plancha, 2€50 avec un grand café, j'adore ce pays.

    Je mets en route à 8h et demi, je fais le tour du pâté et je me gare au bout de la rue du client, c'est trop étroit pour que je m'y enfile. Roman arrive et me dit que c'est risqué de rester là, si les flics passent... Boh on verra, pis j'ai pas trop le choix. J'apporte les tôles en premier, les monteurs profitent d'une livraison d'agglos en camion-grue pour passer les panneaux de l'autre côté du mur. Retour au camion pour prendre l'escalier, une bagnole de la policia municipale passe doucement, regarde mais ne me calcule pas. C'est bien les gars, filez ! Le chef des monteurs veut passer l'escalier au-dessus du mur mais ça va pas à cause du toit de la maison, je propose de le passer par la porte, debout. On est 4, ça le fait. Un saludo, hasta la proxima.

    Comme d'hab' j'ai mon rechargement depuis hier, je monte à Saragosse. Un coup d'oeil sur Google trafic, je fais le tour par la M40 nord. Ça roule tout du long tranquille.

    A 14h15 je suis à Saragosse chez Cotrali. La fille me demande mon 06, dès qu'une place se libère à quai elle m'appelle. J'ai une coupure à faire de toute façon. Au bout d'un long moment un cariste vient taper à la porte, quai 5. On charge des croquettes pour chiens, c'est long, il va chercher les palettes au fin fond de l'entrepôt. A 16h15 je me casse avec le CMR. Tiens d'ailleurs j'attends toujours que la jolie fille me rappelle...elle n'a pas tenu parole.

    C'est pas complet, j'ai un complément demain à Béziers, j'appelle le gars, dans le vide. Je remonte ventre à terre, c'est en gros ce que je fais depuis Pozuelo ce matin. Faut pas que je traîne, j'ai mon Monsieur Patate qui rentre demain soir, il a besoin de moi. Feu, action !

    On n'arrive pas à Gérone en 4h30 depuis Saragosse, c'est con. Manque pas grand chose mais les côtes de la C25 me rappellent que les croquettes à chiens c'est lourd. Je mange un bout dans la pampa à une sortie de l'autovia, au milieu de rien.

    Je finis la journée au centre routier de Perpi, il est presque 11h, 10h00 de volant comme si j'avais voulu le faire exprès.