FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Octobre 2020 Partager sur Facebook
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  • Vendredi 16 Octobre 2020
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    A 8h moins le quart je repose la Pigeot où je l'ai prise. On a de bonnes nouvelles, les mécanos vont pouvoir bricoler le tablier qui a morflé et passer la semi aux Mines eux-mêmes.

    Je passe une partie de la matinée sur le Fen, je vide un lot de la semi mon collègue Fred, ensuite je lui recharge du Leroy Merlin pour lundi, après je vide une autre semi, ça m'occupe. A 10h et demi, branle bas de combat ; on a une merde chez Waterair, faut que j'aille faire un relais avec Gino, je propose l'aire d'Ecot au-dessus de Montbéliard, elle est accessible dans les deux sens. On fait ça.

    Une heure après je décroche une semi vide et je récupère la sienne, et donc naturellement une heure plus tard je suis de retour à Devecey.

    Je re-re-décroche, reprends une autre semi vide. Purée moi qui ne décroche jamais ! A36 dans l'autre sens, rebelote, cette fois c'est pour moi. Petit arrêt 5 minutes chez Laily, on charge une couverture. Le cariste habituel n'est pas là, c'est un gars de la prod qui vient charger, peu aimable et peu doué avec le Fen.

    A 14h20 pour rendez-vous 14h ça va encore, je suis à l'usine. Fabrice a eu le temps de sortir mon fourbi, on charge vite fait sul gaz. Je rentre à Devecey par l'A36 à nouveau. Sur les coups de 17h30 mon collègue Jean-Charles me ramène ma semi. Le tablier est réparé provisoirement, le contrôle passé, on peut travailler c'est déjà ça. Malgré la grosse activité du vendredi soir j'arrive à trouver une place pour transvaser. J'en chie pour garer la semi vide, il reste une pauvre place au fond de la cour, à contre-main. Je fais le plein du Moffett, gare mon ensemble chargé pour le sud donc il reste là. Je saute dans la bagnole, il est 19h30, je suis le dernier à partir. Même si je pense que je n'ai grand-chose à me reprocher, voilà une fin de semaine à oublier. Bon week' à tous, le ciel vous tienne en joie.