FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2012 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Allez on vide !
    Là c'est chaud
    Brune aguicheuse
    Valence, 16h...
    Phil et Bibi partent en week end
  • Mercredi 16 Mai 2012
  •  

    Avant de partir ce matin, j’appel direct mon client pour leur annoncer mon heure d’arrivé, c’est cool, nous serons syncro au niveau timing. J’arrive gentiment sur Chambéry et du coup regarde plus sérieusement ma carte de près. Là, j’ai un moment de solitude en voyant un pont indiqué à 3m50 ! Et vu où se trouve le bled, pas 50 routes pour y monter. Je me renseigne au près d’un chauffeur qui livre des bennes de recyclage, eux ont l’habitude du coin. Il me répond que je peux monter, que le pont est vouter mais que sa passe sans soucis. Sans soucis, sans soucis, à condition que les gens qui descende comme des bourrins de la montagne te laisse la place pour être bien en face !
    J’ai bien eux du mal à passer et il a fallu que je m’y reprenne à 2 fois avant d’être bon mais le principal c’est de ne rien casser sur ce coup là. Je monte suivi d’une semi des transports Souchon, lui non plus n’osait pas monter et il livre le même chantier que moi. Vous savez ce que qu’un « running gag » en Anglais? C’est une blague qui revient souvent sur le tapis (enfin, c’est ma définition à moi ça hein…) Et bien devinez ? La grue n’est pas là ! Le chauffeur est parti à St Jean D’arve dans le 74 au lieu de St Jean d’Arvey 73. Le temps qu’il fasse demi tour et arrive, ce ne sera pas avant l’après midi. L’équipe sur place ne veux pas me vider parce qu’il ne peuvent pas vider le Souchon, lui amène le filme plastique qui va sous mes rouleaux de végétation et ma végétation ne peu pas rester enroulé toute une journée, elle risquerait de pourrir. Ils envisagent un moment de faire redescendre le chauffeur du 42 à leur locaux de Genas et ayant mis les rouleaux par-dessus ses palettes de plastique. Soit, vous faites comme vous le sentez mais moi, j’ai pas toute la journée les gars ! Du coup on vide ma came, je me démerde à faire demi tour et je me casse. Un petit souffle de soulagement quand je retrouve Chambéry. Je file vite à coté de Grenoble où je dois recharger pour l’Espagne, je merde dans les sorties et me retrouve sur une mauvaise route. Arrivé à 11h20, les entrés sont suspendu depuis 5mns maintenant. J’ai quand même le droit de valider mon entrée avec une personne pendu au téléphone en train de commander ses vacances de cet été sur le catalogue Pierre et Vacances.
    13h40, je peu enfin entré sur site. Des 24p prévu, je ne pourrais en charger que 23 à cause de ma tare sur la bascule, je préviens les mauvaise langues, oui, je suis descendu du camion! Je me met à la rampe et le chargement commence. Des palettes 120*120, il va y avoir schmilblick là. Bah oui, ça ne tiens pas au sol, le cariste veut gerber, le responsable ne veut pas, je pars avec 22p.
    Plus de temps à perdre maintenant, je dois absolument passer en Espagne ce soir, mais c’est sans compter sur les départ pour le week end; je rappel que nous sommes mercredi, que la traversé de Valence à 15h30 est blindé, je me demande quand les gens bossent quand même. Rebelote en arrivant sur Montpellier le soir, et j’arriverais à passer le Boulou comme une horloge suisse à 22h exactement!
    Je descend jusqu’à la station Emporda essayer de trouver une place, à l’heure qu’il est, il n’y a plus de quoi garer un vélo.