| Carnet de bord de Janvier 2016 | Partager sur Facebook |
Une bonne nuit le lundi soir ça fait du bien. Départ qu’à 7h20.
Ça freine pas mal avant Freiburg nord et mitte.
Arrivée à rue de Thann à Mulhouse via sortie Pfastatt, ça freine aussi. Il est 8h40. La grue est déjà là, les monteurs aussi. Et pile poil de la place sur le trottoir sans gêner la voie cyclable. C’est pour un garage Opel qui refait le bardage.
Les 2 monteurs, des belges, sont sympas (pléonasme). Donc ça se passe bien, ils ne me font pas ouvrir le toit par l’avant, ils arrivent à tirer les enseignes. Ils vont faire tous les garages de france et d’allemagne me racontent ils.
Une bonne heure après, direction psa pour recharger une partie.
Normalement à compter du 25(hier), on doit stationner à côté de nouvelles barrières pour aller chercher un badge. Un parking de 40 places a été construit. Mais apparemment non, le système n’est pas en route. 10’ de gagnées. Pourtant c’est pas faute d’avoir été prévenu par mail, que c’était fini, qu’on allait voir ce qu’on allait voir.... C’est vrai qu’on rentre dans cette usine comme dans un moulin depuis des décennies. Même, on pouvait y aller manger avec les copains à un des divers selfs alors qu’on avait rien à y vider ou charger ! Bon on prennait qu’un camion. Tout ça, ce sera fini, dommage, le self est bien meilleur et bon marché que l’arcotel à côté...
C’est donc mon parc à emballages que j’affectionne que je dois charger.
A part qu’il y presque personne, super. Je me mets en place, plein d’optimisme, il est 10h25..
Mais le pessimisme reprend vire le dessus. Ça ne bouge guère, un LT en créneau charge. Il est vite 11h, et donc vite c’est la pause...
Enfin, 12h20, les emballages pour Diepholz sont péniblement chargés. Et on oublie le self psa, il est l’heure, mais pas le temps.
Direction Delle pour la 1ere fois cette année pour compléter avec du Blomberg.
Via Sundgau, comme toujours. Il faut le même temps que par l’autoroute, 1h.
Delle, j’en repars à 14h10, chargé, sanglé, jerrican plein. Il est des boîtes qui sauvent l’ honneur. En plus, j’y ai mangé alsacien, enfin, un sandwich Poulaillon, le Tricatel local quoi.
Départ sur les pas de l’aller, le Sundgau.
Gazole à Ichtratzheim, il est 16h.
Trop tard pour passer Strasbourg sereinement. Ça loupe pas, ça merdoie, c’est affiché Reichstett 23’. C’est à peu près cohérent, ça aurait pu être pire. Et inutile de s’énerver, j’ai mon retour, ce sera sur place à Diepholz pour Sochaux.
Dernière pause 30’ à Lauterbourg, dont courses vite fait. Juste pain et produit vitres. Je ne m’y attarde pas, sinon je vais encore acheter plein de trucs qui se mangent dont je n’ai pas besoin, et plus important, à la radio, y a l’Aktualisik de l’excellent Thomas VDB, dont il ne faut surtout pas rater le jingle. Aujourd’hui, il a fait son générique avec Joe le taxi. Trop fort !
En tous cas, pratique ce Carrefour Market contre le parking de la frontière. Il faut juste faire attention, l’accès peut être miné...
17 h50, reparti pour 4h10 restantes.
Tout roule au vert, Frankfurt à 19h45, c’est parfait.
Les côtes aussi.
A la radio, y a le nouveau titre de Renaud un peu sur toutes les chaînes nationales. Bof, je n’accroche plus. On sent qu’il voudrait faire « TanTanTan ! » mais ce n’est plus ça. C’en est même triste. Autant son précédent retour de 2002 avec l’album Boucan d’enfer était génial, je l’écoute encore de temps en temps, et on était même allé le voir à Nancy à l’époque. Mais la suite bof. En fait, il file les jetons de vieillir... Attendons l’album pour voir.
Je ne fait que 4h05 et pose à l’autohof de Lohfelden(Kassel) où il y a de la place encore largement. Le lavage Cologne truck wash est encore ouvert(24h), mais les 5 pistes sont blindées. J’aurais bien lavé, il a l’air de vouloir faire beau. Mais pas le temps, l’amplitude couinera après.
Sinon, le système de stationnement est un peu à l’allemande, c’est à dire organisé.
Déjà ça commence par une barrière avec une borne à écran tactile qui demande la taille du camion, frigo, adr, et heure de départ. Puis un ticket sort avec le n° de ligne dans laquelle stationner. J’ai la 30. Bon ça va, je suis en dernier de la file de 3, au pire je peux reculer. Je serais limite confiant au milieu en cas départ avec un impératif.
Il est 22h. Mange vite fait au camion et dodo.