FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Janvier 2016 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Speyer, le Rhin
    Schwegenheim, l'autohof
    l'aire de l' hydrocarbure
    Staubourg, dans le 67
  • Jeudi 28 Janvier 2016
  •  

    19h35 + 11h00 = 06h35. Et oui, pas de rab, y a toujours Frankfurt un peu plus loin, et y a Sochaux qui m’attend à 14h, y a un peu de marge mais pas des masses.

    La City passe assez bien, un peu roulé à 60. C’est pas la pire des villes allemandes à contourner.

    La suite, tout est fluide.

    Sortie à Hockenheim pour prendre un peu la nationale jusque Speyer et la B9 2X2. Comme ça a bien roulé, prise d’une bonne douche à Schwegenheim dans le cadre d’une pause fractionnée.  On directement 2€ à la dame pipi, c’est pas une machine comme  hier qui encaisse. C’est aussi bien.

    Lauterbourg, on dirait que l’état d’urgence est réactivé, dans mon sens la police avec les gyros guette et dans l’autre il y a la gendarmerie et la Dreal pour du contrôle. Le nouveau ministre de la justice se met déjà au boulot on dirait, il faut marquer le coup.

    10h30, coup de tel, y a du boulot, impec, je rechargerai à Sochaux même pour Attendorn(Sauerland)

    A Sélestat, fin de semaine oblige, je croise le toujours aussi fun cassoulet parfumé à la choucroute. Hopla, il aime bien venir ici quand même.

    11h25, faut achever la pause fractionnée, c’est l’aire de Fronholz(sud Colmar). Là aussi, ça contrôle, douane, gendarmerie et dreal réunis. Ça n’empêche que le sol de cette aire est tout noir à beaucoup d’endroits, certainement un bon plan carburant la nuit...

     Ayant roulé avant Colmar sur des débris de ce qu’on aurait cru un optique de phare, alors levage de la suspension, et visu poussé des pneus.

    En me baissant, les clés dans la poche, ça a appuyé sur la télécommande, le mauvais bouton, celui de l’alarme. Donc mega coup de klaxon, et feux qui s’allument. Faut réappuyer sur le bouton pour tout stopper. Bon, ça n’éveille pas les divers corps de contrôle à mon égard.  Je connais, ça m’était arrivé avec le démo à la maison, un soir à 22h... Et ça m’arrive encore de temps en temps quand je suis dans la semi en train de sangler. Je ne sais pas du tout à quoi sert cette invention.

    Repas et carreaux vite fait.

    Arrivé à Sochaux à 13h10. ça change d’équipe, on me dit de revenir à 45.

    J’ai un quai, vide la 1ere partie et file au 2éme. Tout est vide à 14h30.

    Quelques centaines de mètres et pointage au parc de vides, y a du peuple, une dizaine de camions. Normalement ça va mieux que celui de Mulhouse ici.

    1h déjà avant de se mettre en place, encore 1h pour charger, voilà, il est 16h30...Mais ça va mieux qu’à Mulhouse quand même !

    Il reste de la place, coup de bigo à Danielle à Mulhouse. Il y a une palette d’isolants pour Köln, impec. J’arrive !

    Rachat de pain à la porte d’Alsace, mais déçu, d’ habitude c’est du bon pain frais, de boulanger, là c’est de la baguette indus. Ça ne doit être que le matin alors le bon pain. Tant pis faut bien se mettre quelque chose dans le bide.

    17h30 à Mulhouse, 20’ plus tard j’en repars avec cette palette pour Köln.  Je vide dans l’ordre que je veux, vu qu’il n’y a pas de retour d’un côté ou de l’autre. On va de l’avant quoi.

    GO à Ichtratzheim pour changer. Il est 19h. Naïf que je suis, j’attaque Strasbourg optimiste, et bien non, encore bien paumé 15’. Y en a marre de ce bled.

    20h15 je stoppe à Lauterbourg avec 8h57.