FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2019 Partager sur Facebook
  • Photos
  • avec mon pote Juju
    Bourgoin Jallieu
    D51 dans le 38
    il va se sentir plus léger
    et c'est mieux pour se garer à la droite du père
  • Vendredi 15 Février 2019
  •  

    C’est bien les zi calmes comme ça, on est peinard pour se brosser les dents le matin. Il fait frisquet, mais le temps est clair, on se croirait déjà au printemps. Et pendant la chronique pop&co de Inter pleine de soleil sur la Mala vida, je vois pas les 3 minutes passer. Je décolle tranquille à 7h45, rien à signaler jusque SQF, par l’A432, ça va bien, et on peut éviter plus facilement les constats. A  8h30 à quai chez un distributeur de batteries. Une fois les batteries déchargées, elles ont quand même tenu 2 jours, je vais retrouver mon pote Juju au QRO juste à côté. Il vide à Amazon aussi, mais avec rdv 11h et quelques, et ce sera pas avant, même pour une maigre quantité. C’est comme ça, on ne peut pas toujours faire du petit client industriel en Ruhrgebiet. Je dois l’abandonner bien avant son heure de rdv, j’ai une ramasse qui m’attend pas loin , à Bourgoin Jallieu. C’est chez Cora, je m’attendais à la grosse surface en dehors de la ville, non, c’est un supermarché bien en ville. Mais ça traîne pas, juste quelques palettes pour une base du 51. Peut être je le garderai tiens. De là, j’ai rdv au quai 3 ou 4 à Jarcieu. Je m’élance à travers, via un bout de N85 puis la D51 via Semons au nord de Beaurepaire qui arrive à Jarcieu direct par Bataillouse. Bien jolis chemins avec le nez sur le Pilat en face et les Alpes dans le rétro. Finalement on vide tous, je ne garderai pas le 51. Le matos d’adoucissement de l’eau est comique à sortir, les roulettes ne roulent pas si bien que ça, enfin faut dire que ça baigne dans le sel. Celui qui va reprendre ça pour le 66 va rigoler, son plancher aussi. J’ai hésité à mettre un coup de karcher sur le mien.  On charge vite ce qui est déjà là, quasiment tout. Comme d’hab du fût à quai, et le léger par-dessus et les côtés, et surtout par le best of des boss, Régis. J’ai pas peur de le dire, même si son fidèle compagnon d’aventure Yvan est là aussi. Le pauvre, il fait un soleil radieux, on est presque en t shirt, il porte encore le bonnet, il est souffrant. Enfin ça ira peut être mieux dans quelques heures, vu qu’il est en congés ce soir. Ne manque qu’une palette de carburants, Régis doit absolument partir à 13h30 pour récupérer sa voiture, je file sous les rouleaux qui sont libres, avec l’approbation du responsable lavage, chef Yvan, qui juge en effet utile de laver. Peu importe le temps passé, mais ça se voit. Je me gare comme il faut, à côté de son attelage rutilant, qui va le rester une semaine grâce à ses congés. Il aide Karim à recharger mon lot du 91, je ne peux m’empêcher d’aller apporter mon expertise en matière de chargement, d’optimisation, de calage, de sanglage de matériel d’adoucissement de l’eau. Je casse une graine au soleil en scrutant chaque camion régional qui revient. Déjà Jean Bernard, mais c’est pas lui, il a un complet. Alors je prends un transpal pour m’occuper à les aider à vider. Ma palette fini par arriver, c’est Philippe. Faut la reconditionner sur une palette 80/120, car régis a garder un mètre tout juste. C’est des fûts de 50l, mais ça me vaut quand même un cours de « gestes et postures » du responsable CHSCT, Yvan, encore lui. Son dernier boulot avant de partir, aura été de me payer un café au bureau, car c’est lui aussi qui gère la machine. On repart en même temps vers 16h, enfin je le laisse passer devant, il est vide. Ça évite qu’il ait à me doubler plus loin. Quoique je ne suis pas super lourd. Lyon est déjà bien compliqué à passer. Mais je m’en fous, j’ai les heures et de l’amplitude pour rentrer, même si ce ne sera pas pour le goûter. Du coup, une fois l’A6, je cale à 83, c’est très reposant. Il fait beau, ça rend content d’être en weekend. Je m’arrête avant Langres pour casser une graine, 30 minutes. Je ne fais généralement pas de rab pour les pauses la semaine, c’est pas pour en faire le vendredi soir. J’arrive à mon parking vers 22h bien sonné. La Twingo démarre, et sans préchauffage, c’est cool. Et j’enlève le macaron conduite accompagnée, lequel j’ai dû descendre avec. Bon c’est pas grave, j’avais pas dû faire beaucoup de pointes à 150 !

    Chères lectrices, lecteurs...pour information, il va y avoir suspension de ce carnet pour quelques semaines à venir, en cause du trop de temps que ça occupe, vu que je ne dispose pas de pc portable actuellement la semaine, ce qui génére un gros travail de rattrapage pour gerer les photos de la semaine le weekend, même si le texte est ecrit au fil des jours sur le téléphone. Bref, c'est un peu compliqué. D'autant que le sujet essentiel devient un peu répétitif.

    Merci de votre compréhension et à bientôt!