FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Octobre 2019 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Oktoberfest in Jarcieu
    Marignane
    18h30...
    bel outil du grutier
  • Jeudi 17 Octobre 2019
  •  

    Pas de débordements de la pause journalière, 5h45, café et biscuits aux pommes avalés, c’est reparti. 

    1h45 plus tard je sors au BP Truckstop de Mâcon pour une douche, recafé et viennoiserie. 

    Toujours aussi vieillot ici. J’entends la dame de la caisse qui parle de travaux qui vont commencer l’an prochain, mais pas compris à quel niveau. Dans tous les cas ce sera pas du luxe.

    Il est encore presque tôt sur Lyon je file via A432 puis l’Isère à travers Cours et Buis. Oui Moissieu, ça roule Estrablin par là!

    J’arrive à Jarcieu à 10h30, c’est calme au niveau camions à quai, y a personne. Juste Célestin squatte la piste de lavage. 

    Je vide les ramasses pour l’Italie, dommage, j’irais bien là bas de temps en temps.  

    Mais je garde mes ramasses GB qui vont dans le 13. En même temps, la caisse de 5t8 ne va pas se bouger au transpalette.

    Je boucle 30 ici et je repars vers A7 the south.

    Je croise la Dudu machine vers Loriol, mais i ne me voit pas. Un bon coup de bigo corrige tout ça et c’est sympa.

    J’arrête vite fait à Lançon de Provence pour m’avaler des sardines mises en conserve en Galice.  

    J’ai tout de même un peu de marge pour vider mes 3 clients, tous bossent jusque 17 ou 18H.

    Je vais au 1er dans l’ordre logique, sur la route quoi, Geodis à Vitrolles, dans la bonne zi des Estroublans, ex haut lieu représentant le vin de miel.  

    C’est là que la caisse de 5t8 se vide entre autres bricoles plus légères. 

    Je signale bien de suite le poids de cette caisse. C’est pas un problème, ils ont un gros fen, me dit on.

    Une grue fini de charger un container et je prends la place.

    Le fen lève bien la caisse, mais les roues arrière décollent un poil. Le cariste ne préfère pas reculer, il a peur à la redescente de la charge. Ils sont sous traitants ici, ils ne veulent rien risquer. Bref, ce serait trop lourd de conséquences. Il y a bien la grue juste à côté, je le fais remarquer. Mais le grutier s’est absenté..

    Il sort les bricoles légères puis un chef du cariste vient à son tour tenter de sortir la caisse au fen. Pareil, il abandonne.

    Bon ça va bientôt faire 1h.. 

    Ils ne savent pas quand le grutier revient. Je vais vider le ou les autres clients avant en accord avec Lucas, inutile d’attendre pour rien. 

    La zone fret n’est pas loin à peine 5 bornes. Ici, rien ne va mal, en 1/2h les caisses pour l’Algérie aussi sont sorties. 

    Je file direct à Marseille, l’horloge a trop avancé, c’est avant 17h. 

    Une petite demi heure plus tard je suis sur la route de l’Estaque , ici pareil, ça va assez vite pour sortir une unique caisse qui ira en Libye.

    Retour sur Vitrolles, la circulation s’est bien chargée depuis tout à l’heure. 

    Je suis de nouveau dans la zi à 17h30, et pile le portail de Geodis se ferme sous mon nez, et dégun. A la sonnette ça ne répond pas. Purée! C’Estroublans cette histoire. J’aperçois quand même quelqu’un qui va remonter dans sa bagnole. Il appelle un de ses collègues par une fenêtre, iIl reste du monde au bureau finalement, ils me rouvrent le portail, ouf. Sauf que le grutier n’est toujours pas là. Il ne va pas tarder. 

    Il arrive à 18h. Il a bien l’air débordé et a réellement couru aussi tout l’après midi. Il a le profil d’un artisan, sous traitant de la manutention. Et sympa.

     J’ouvre le toit, ça va assez vite à passer les élingues, il lève et j’avance, impec. Il dit quand même que ses collègues de cet aprèm aurait pu sortir cette caisse au fen..Bref, je suis vide, c’est l’essentiel. 

    Il est moins 2 pour que je valide une 2éme 11 cette semaine. Je remonte vite fait jusque Rognac, et à son célèbre San Carlos.

     Quelle belle après midi,  mais sous un bon soleil.