Mon Carnet de bord... Suivez mes aventures, semaine après semaine!

Juin 2009

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Lundi 1
Mardi 2

Mercredi 3

Je vais enfin commencer ma semaine, Franck ma appelé pour me dire que je part ce soir pour mon tour habituel sur le midi. C’est José mon collègue qui passera me prendre cet aprèm en revenant de Millau.

Il arrive à la maison à 16h30 le temps de boire un bon shweeps aux agrumes bien frais et on y va. Arrivé à l’usine mon ensemble est encore à quai, je transvase mes affaires , j’accroche ma remorque et je vais chercher mes papiers pour voir se qu’il m’attend.

Après avoir discuté une bonne demi heure avec Franck et les gars des quais, je me décide a tailler la route, il fait super beau et chaud c’est bien cool tout ça…

En arrivant sur Toulouse je regarde machinalement chez TFE et je vois l’ami Caroto encore à quai, je suis surpris d’habitude il est déjà parti, je lui passe un coup de fil et il me confirme qu’il est bien dégoûté car il est sacrément à la bourre…

Je poursuit ma route vers le sud, je sort à Castelnaudary pour prendre la 113 et je me pose devant chez mon client à Carcassonne, quelle frustration de s’arrêter si tôt j’aurai bien roulé toute la nuit moi, je suis chaud bouillant là…

le 48 à José mon taxi

sur les storting- bloc

croisure avec le père à Seb82

Jeudi 4

Il est 7h30 quand les poseurs arrivent, je me met en place prêt a poser et du temps qu’ils préparent leur véhicule, je vais me laver.

Une fois vidé je bois le café avec les gars avant de partir pour leur autre dépôt de Lézignan-Corbière, là bas il me faut décrocher la remorque puis même punition pour Narbonne et à 10h30 je prend la N9 pour descendre sur Perpignan, arrivé au rond point de La Palme je me fais serrer par la DRE, on est bien une dizaine de camions, ils ont mis les moyens quatre contrôleurs qui ont bien l’air dépités car apparemment tous les autres chauffeurs sont comme moi, ils ont rien foutu de la semaine.

Quand le contrôleur me dit que c’est grave car on travaille moins que les fonctionnaires, je peux pas résister de lui dire que la différence entre lui et moi c’est que je serais à la soupe avant lui à ce rythme là et que ça, sa me fout bien les boules car eux malgré nos galères ils ne lachent rien…

Demi heure plus tard je repart enfin et je vide la boutique de Perpignan, il est midi quand je fini ça vas être le bordel pour revenir sur Perpignan nord alors je décide d’aller manger au Poëlon. Il y a un monde fou pas moyen de trouver une place, c’est une invasion de frigo Italiens aujourd’hui, je me gare dans la rue comme je peux finalement.

45mn de coupure et c’est reparti, je fonce sur Béziers ou je doit vider 2 clients, puis il me faut monter sur Bédarieux, j’en repart il est 17h je vais être cramé pour vider Marseillan, je tente de l’appeler mais c’est cuit, il me videra demain à 6h, fais chier obligé de me lever de bonne heure pour rien. Je vais faire ma coupure sur place c’est vrai que je suis pas malheureux ici en face l’étang de Thau et la ville de Sète, je vais manger sur le port ça va me détendre.

Ah le dégoût , c’était ma place ici …

mon pote Lionel fait ça coupure

Espagna!!! Et non Béziers…

Vendredi 5

Ce matin le réveil me sort de mon sommeil à 5h45, je reste dans ma couchette la tête dans le gaz, j’entend le cri des mouettes c’est trop bon ça…

6h le client arrive, je saute dans mes fringues et je descend aussitôt pour vider mes quatre palettes, le temps est couvert aujourd’hui il y a même quelques goûtes qui tombent de temps en temps. Une fois fini je raccroche ma remorque et je vais rejoindre mon collègue Bernard sur Vandargues, mais une fois passé Mèze il y a des travaux et c’est déjà le gros bordel, il est que 6h45 ça promet…

En arrivant au péage je vois un fond mouvant de chez Perrenot stationné sur le parking du péage je sort du péage au pas en essayant de voir ci ce n’est pas Maxim26, et bingo il me vois arriver et me fait signe, je m’arrête et on discute 20 mn ensemble, puis il part sur Béziers et moi je continu ma route, en arrivant à Vandargues je croise l’ami Stéphane qui a apparemment a oublié ça belle-mère et ce promène avec son 510 en solo, et s’amuse avec son klaxon CGV comme un fou…

Arrivé sur le parking du Chataignier Bernard est déjà là, on ce boire un café le temps de discuter de notre semaine et aussi de tout et de rien bien sur, puis il reprend la route et moi je vais me laver puis je décroche ma remorque avant d’aller vider la boutique du Crés et de Lansargues, je reviens à ma remorque il est 10h45, je m’arrête comme la semaine dernière vers Mauguio faire le plein de fruits et melons, mais aujourd’hui j’en est un paquet à remonter car ce week-end les voisins ce sont régalé avec les cerises, pêches, abricots, melons, et s’en oublier les cébettes trop bon pour accompagner la salade donc tout le monde ma passé commande, la vendeuse a le sourire jusqu’au oreilles tu m’étonnes, quand arrive le moment de charger tout ça il ce met à tomber des cordes, je me prend une bonne douche, je suis trempé jusqu’aux os.

Je file me mettre à quai chez le transporteur, il me charge aussitôt, il y a une palette vraiment destroy, je lui dit que ça ne sert à rien qu’il me là charge elle va être refusé d’office, il ne veut rien entendre bon moi je met ma réserve et basta…

Je redémarre à 11h40 c’est un peu le bordel aujourd’hui pour passer Montpellier, en arrivant sur le Larzac au niveau du relais Espace je regarde mes heures, j’ai trois heures de volant je dois arriver à Rodez, donc je roule, je me goinfre de cerises j’ai pas fin. Mais en arrivant à l’entré de Rodez j’ai 4h15 de volant je ne prend pas de risque et je m’arrête au routier d’Arsac, j’appelle ma chérie qui est entrain de faire des courses et vient me rejoindre pour boire le café et récupérer les fruits.

Ma coupure terminé je vais vider mes deux clients, une fois fini j’appelle Franck je peux rentrer à la maison, je ne vais pas démarrer de bonne heure lundi.

Bon Week-end tout le monde.

rencontre matinale avec Maxim26

un bout de route en compagnie de mon pote Jean-Michel

Samedi 6
Dimanche 7

Lundi 8

Démarrage tranquille ce lundi matin, je vais emmener les enfants à l’école avant de partir à 9h30 pour Villefranche de Rgue, arrivé là bas je vais direct faire le plein, en allant déposer mes papiers de la semaine dernière je vais voir quelles sont les caisses que je doit prendre.
Une fois prêt je me met en coupure, je passe voir Franck au bureau et je reviens au camion pour casser la croûte, mais je n’est pas trop faim car j’ai un mal de dent qui monte créchendo. Ma coupure terminé je démarre et c’est parti pour Vic-Fesansac, ça roule super bien, heureusement parce que moi j’ai vraiment la tête dans le gaz, ci je m’écoutais je ferais un plongeon dans la couchette, pourtant ce n’est pas le manque de sommeil, ou alors j’ai du mal à me remettre de ma soirée rugbystique de samedi ou les Clermontois et les Catalans nous ont régalé…
J’arrive enfin à Vic à l’heure prévu, j’ai pas mal de marchandises a vidé au hayon, mais il n’y a que le père du client, donc je suis bon pour vider tout seul en ça compagnie, on tape la cosette, il ne se rappelle pas de moi mais quand j’ai démarré chez Castes je venais vider assez souvent il était encore en activité, qu’est-ce qu’il était strict ça rigolait pas, je me rappelle qu’il fallait vider très tôt le matin, quand je lui en reparle ça le fait sourire…
A peine ai-je fini qu’il se met à pleuvoir, il me faut aller vider vers Aire sur Adour, il me faut 1h30 pour y arriver, j’appelle Ramon car je suis au milieu de la pampa et il faut que je trouve une place pour décrocher ma remorque avant d’aller chez mon client. J’arrive enfin a trouver mon client je n’ai que deux palettes a vider et je reviens à ma remorque avant de rejoindre Serres-Castet près de Pau pour faire ma coupure.

Auch

j’arrive au pays de Titou64

Mardi 9

Ce matin j’arrive comme prévu à 7h00 chez mon client, j’ai trois palettes à décharger au hayon, du temps que le client prépare la marchandises pour ces poseurs.
Une fois fini il me propose un café que j’accepte volontiers, et du temps que l’on discute je vois passer de beaux ensembles en benne dont un stralis 500 magnifique, dommage je l’aurai bien photographié, tant pis j’ai encore deux clients a faire sur Pau avec un peu de chance je vais les recroiser. Pour aller chez mon prochain client je choppe quelque bouchon mais rien de méchant, chez celui là par contre j’en est pas mal à vider j’y reste une bonne heure et comme il me reste juste trois fenêtres pour le dernier j’en profite pour balayer mes caisses avant de repartir, Franck ma appelé, je recharge sur Toulouse, il faut pas que je traîne.
Alors que je suis entrain d’aider le client à porter le fenêtre je vois passer devant moi le fameux stralis, merde c’est mort je l’aurai pas en photo celui là, il va falloir que j’en parle à Titou. Une fois fini je rattrape l’autoroute à Soumoulou et je fonce sur Toulouse, j’arrive là bas à 12h30 je me met en coupure du temps qu’il me charge. Je vais remonté le plus vite possible j’ai très mal au dents, il faut dire que j’ai un sacré abcès, Franck ma pris rendez-vous sur Villefranche.
Il est 14h quand je quitte la ville rose, il me faut deux heures et demi pour arriver au dépôt, je pose mon ensemble et je file chez la dentiste.
Me voilà donc avec des antibiotiques et des cachtons pour la douleurs, qui feront vite effets…
De retour au dépôt, je fais mon plein , José ma changé les caisses, je récupère mes papiers et comme je suis chargé pour le Paca je vais m’arrêter à la maison.

chez un client à Pau

made in sud ouest

hé!!! Les gars vous avez la patate, vous tournez à quoi là….

il va bien falloir la monté la Vaurette…

je t’avais bien dit que tu allais en chier

Mercredi 10

Je démarre à 6h30 ce matin, Franck ma dit de ne pas me stresser alors je ne stresse surtout pas. Il fait super beau j’ai beaucoup moins mal aux dents tutto va bene. En passant le plateau du Lévézou je calcule pour savoir ci je prend le pont ou ci je passe par Millau, mais comme je vais surement perdre du temps dans les travaux de Gignac je me décide à prendre le pont. Finalement en arrivant au niveau de la bifur de st Félix de Lodez je continue ma route sur Béziers et je sort à Pézenas direction Mèze pour éviter les travaux et je prend l’A9 au péage de Sète, je n’est pas perdu plus d’un quart d’heure par rapport au temps habituel.
Je roule jusqu’à la cabane Bambou ou je m’arrête pour faire une pose café et pipi par la même occase, puis je vais vider à la boutique de Miramas, il me faut une bonne heure pour vider, aussi j’apprécie le grand verre de jus d’orange que me propose le client. Il faut dire que ça chauffe aujourd’hui 27°.
Je File à présent sur Fos pour rejoindre A54, je vais chez SMTRT au Rove pour vider pour la Corse, il est 13h00 quand j’arrive, il y a déjà un ensemble à quai et deux autres qui attende, je me met en coupure et je casse la croûte.
Vers la demi je vais rejoindre les autres chauffeurs qui discute devant les quais, ils me disent qu’il faut attendre 14h celui qui est à quai pose une palette, un autre en à quatre et le Sellery à un complet mais je viderai avant lui, cool le gars.
14h pétante on va au bureau pour faire enregistrer la marchandise et c’est parti ça ne traîne pas, 14h 30 je repart et je descend à la boutique de Gignac la Nerthe un petit quart d’heure et je suis dans la rue ou c’est chaud le marrons pour rentrer dans la cours, je fais du jymakana entre les platanes, le trottoir, et le terre plein. Quand je suis en route pour Aix en Provence Franck m’appelle pour me filer mon retour et il me faut chamboulé mon ordre de livraison, mais comme on avait déjà prévu le coup, il n’y a pas de soucis.
Je passe donc Aix le pied dedans, je viderai mon client demain car je recharge juste à côté. Je vais à Vinon sur Verdon, j’en ai pas mal à vider mais ça se passe bien, c’est dans le porteur mais j’ai juste la place qu’il faut pour casser, mais part contre je galère pour ressortir du dépôt. Il faut que je file sur Mison maintenant et je file un coup de fil au client pour lui dire que je serais à la bourre, je pense y arriver pour 18h30, mais comme c’est une boutique il n’y a pas de soucis.
C’est un vrai régal de rouler dans le Luberron, les paysages sont magnifiques, je me régale quand je viens par ici. Arrivé à Sisteron nord, je décroche ma remorque au resto routier qui est fermé le soir d’ailleurs et je file en porteur à Mison et là aussi dur dur l’accès, mais bon comme je suis un grand garçon, je me débrouille comme un chef…
Pour finir la journée je redescend jusqu’à Oraison et je vais faire ma coupure chez Roger, demain je vide à la zone d’Oraison au moins je suis sur place.
Il y a à peine Cinq minutes que je suis garé, un scania du 17 en container arrive le gars me regarde couché sur son volant pour bien regarder vers moi, mais j’ai rien fait moi monsieur, je vous jure et là je me dit au put*** c’est Globule16, c’est cool ça non…

direction le sud… YES

une pensée à notre suédois préféré, tout comme vous je suis pressé d’être à ce week-end pour connaître ces nouvelles aventures…

j’adore passer par ici

pas trop de place chez ce marchand de matériaux mais j’arrive à casser pour décharger

Sisteron

Jeudi 11

Après avoir passé une bonne soirée avec l’ami Globule, je le laisse dormir dans son scania et je part sur la pointe des pieds pour revenir sur la zone de Oraison, j’arrive à 7h20 devant chez le client, je suis le premier, nickel. Juste à côté il y a le dépôt de l’Ourson j’ai bien regardé ci je voyais son destrier j’en aurai profité pour me faire payer le café mais pas de bol il n’est pas là.
7h40 le grille s’ouvre je me met en place, mais les gars n’ont pas l’air motivé mais alors pas du tout. Je me demande ci je vais pas en attrapé un et l’attacher au camion pour qu’il me vide sinon ce soir je suis encore là. Finalement j’arrive à en toper un qui a des chaussures sacrément lourde tellement il n’arrive pas à les décoller du sol quand il marche le pauvre. J’arrive enfin à me sauver et je vais à présent à Perthuis là bas je décroche ma remorque avant d’aller à la boutique qui est en pleine ville, puis il me reste Aix les Milles à vider, je suis dans les clous c’est nickel.
Juste avant la sortie des Milles Chouchen m’appelle on vient de se croiser, je ne l’ai pas vue, une fois qu’il aura vidé son client il vient me rejoindre. J’arrive chez mon dernier client en galèrent un peu pour le trouver et une fois fini je me gare en vrac sur un rond point en attendent le coup de fil du boss pour avoir mes référence de chargement quand Christophe arrive, on discute Cinq minutes mais il est sur bouqué l’ami Chouchen, comme il connaît mon client ou je doit recharger il m’accompagne, trop sympa.
Je charge des cagettes vides, une fois inscrit on me fait ressortir de la base pour y accéder par un rond point ou il faut prendre un sans interdit pour aller se mettre à quai, trop marrant il y a la police qui fait des contrôles sur le rond point, quel pied de prendre un sans interdit devant eux et qu’ils ne vous disent rien.
A 12h20 je suis sur le départ j’appelle mon collègue qui doit être dans le coin, mais il est bloqué à la Barque par un accident, je remonte jusqu’à l’aire de Lançon pour faire ma coupure. Bernard arrive une bonne heure après bien dégoûté. On va se boire un café, et on lézarde sur la terrasse de la sandwicherie il fait super beau et chaud c’est trop bon.
Il faut quand même reprendre la route, lui va complèter son chargement et moi je rentre à la maison doucemanette car ça bouge ces conneries, demain je vide à 40mn de la maison.

chut pas de bruit Globule dort…. Quel planqué celui là

les Pénitants des Mées

garé à l’arrache avec Chouchen qui bosse comme un malade

un ken avec de très belle peinture, mais avec le soleil ça na rien rendu…

Vendredi 12

Je décolle à 5h30, je prend de la marge car je vais y aller tranquillou, j’arrive à 6h20 et il me vide direct je suis bien content sauf que après il me faut attendre 8h pour les papiers.
Je repart donc une fois les papiers en poche, je m’arrête au routier de Baraqueville pour prendre mon petit dèj, puis je rentre à l’usine. Une fois là bas je décroche ma remorque et je part en porteur faire une navette, à 13h je retrouve Bernard à l’usine et on file au resto, l’aprem je décaisse mon porteur car il y a le gars des pneus qui vient me changer les quatre arrière.
Pendant ce temps je vais aider José a faire un livraison sur Villefranche, en revenant Jérémy ma changé les caisses, il ne me reste plus qu’a aller laver et je gare mon vico dans la cours de l’usine aujourd’hui je rentre avec la voiture de la société.
Bon week-end tout le monde.


chez mon client à Albi

bientôt fin prêt pour lundi…

Samedi 13
Dimanche 14

Lundi 15

Ce matin je lève le camp à 2h, je croise les voitures qui sortent de la boite qui est juste après chez moi, ils vont se coucher moi je vais bosser, chacun son truc.
Je descend à mac3 sur Villefranche, ce matin je suis le premier à partir, il en faut bien un, 3h00 je décolle il fait 20° c’est super agréable, aussi je roule la vitre ouverte, ça roule super bien, je croise quelques Ladoux jusqu’à Figeac sinon jusqu’à l’autoroute c’est le désert.
Je ne suis pas chargé très lourd donc je suis presque toujours à la régule, je sort à St Germain les Belles pour aller sur Chateauneuf- la-Fôrêt, j’y arrive à 6h j’ai juste un colis mais comme je sais ou il planque les clés du dépôt je lui dépose et je repart aussitôt pour Aubusson, je ne risque pas de m’endormir sur ces routes de traverse, bref j’arrive devant la boutique à 7h20, je stoppe les machines et je plonge dans ma couchette, à 8h10 le client vient toquer à la porte, dur j’ai la tête dans le sac, mais bon courage il faut aller vider.
Je doit à présent aller à la boutique de Couleuvre, pas mieux pour la route, que des chemins de traverse, et pour finir je vais faire mon dernier client de la journée à La Charité sur Loire, je fait ma coupure devant chez le client une bonne heure qui fait du bien.
Quand j’en repart il se met à pleuvoir, c’est pas le déluge mais presque, quelle merde. Il ne me reste que 2h20 à rouler j’ai bien envie d’aller jusqu’à Chateaugaillard mais je me choppe des travaux entre Gien et Orléans, mes heures fondent comme neige au soleil, finalement je fini au centre routier de Saran, 9h59, ouf!!! Il était temps.
Je suis garé à côté d’un TRM, c’est Sandy qui attend son relais…

départ matinal ce lundi

ça bouchonne après Gien

salut la famille fdr

Mardi 16

J’avais prévu de démarrer à 4h ce matin mais comme Franck m’a conseillé hier soir de garder des heures pour demain soir, je décolle à 6h15, ma coupure sera bonne au moins.
Je me tape donc tout les bouchons, Coignères, Trappes, St Quentin, il me faut bien 2h30 pour arriver chez mon client. Je vide tout au hayon, le retour ce fait tranquille il y a beaucoup moins de circulation. J’arrive à 12h15 sur mon lieu de rechargement, quand je rentre dans le hall d’enregistrement il y a je ne sais combien de chauffeurs qui attendent les uns plus blasé que les autres, ça sent pas bon cette histoire.
Les gars non pas l’air d’être bien fut fut dans ce bureau, quand j’arrive enfin à me faire inscrire, on me dit que ce n’est pas avant 13h (j’avais rendez-vous pour midi) mais le mec m’attribue un quai quand même, je me met au quai 19 comme prévu et je casse la gueule à deux tranches de jambons blanc et un yaourt, ben oui c’est l’été qui arrive ma pauv dame, il faut faire le régime avant de faire le kèque sur la plage…
Il est 14h30 quand je sent mon camion bouger, je vais alors sur les quais, et là je comprend que je suis ici pour une bonne parti de l’aprem. Le gars tape un texto sur son téléphone entre chaque palettes qu’il charge, ça me gonfle tellement que je revient à ma cabine pour pas voir ces têtes de gland. Une heure plus tard c’est chargé, maintenant j’attend mes papiers au bureau, mais c’est encore l’heure de la pose, put*** je ne sais pas combien ils en font ici. Nous les chauffeurs on est comme des cons à attendre, pour ce distraire on lit le commentaire qui sont gravé sur le comptoir et on rigole bien, on a que ça a faire de toute façon.
16h20 youpi!!!! J’ai mes papiers et je me sauve de cette grosse boite de merde et je me l’enregistre à l’encre rouge, je n’y mettrais plus les pieds, je croyais que ça n’existais plus des boites aussi bordelique. Pour arranger le tout ça bouchonne pour aller sur la rocade d’Orléans, je ne serais jamais à l’heure demain…
Une fois sur la N60 ça roule plutôt bien puis je bifurque sur Gien pour aller récupèrer la N7, en route je contacte Sweden qui traîne dans le coin lui aussi, mais nos heures ne concorde pas et l’on fera que ce croiser à la sortie de Chevagnes mais il est au beau milieu d’un convoi de camion, on se voit au dernier moment, je suis justement entrain de lui envoyer un texto. Avec les travaux tout le monde dévie par là c’est un peu chaud sur cette route…
J’ai 4h17 de volant quand je m’arrête au resto que ma indiqué Adrien entre Digoin et Paray-le-Monial, nickel il est trop fort ce Dridri, très bonne adresse « le tom bar » malgré que j’aurai préféré être à ça place entrain de bronzer vers Madrid, mais bon on ne peut pas être tous comme certain planqué du 26 qui ce tape de l’Espagne en régulier…

levé du jour sur la Beauce

les ventilateurs de l’A10

sur la N7

Mercredi 17

Je redémarre après mes 9h de coupure pour tenter d’être à l’heure chez mon client, ça roule bien ce matin, il fait beau, j’arrive sur Macôn s’en problème, j’arrive à Pont de Veyle à 7h10, c’est bon dix minutes de retard, personne ne me dit rien, mais par contre il y a un monde c’est de la folie, je me demande bien quant est-ce que je vais sortir d’ici.
On ma donné le quai 4 mais il y a un mercos du 44 qui est déjà à quai, je vais jeter un œil, la semi est encore pleine et les quais sont pleins aussi, mais bon ça à l’air de bosser ici les caristes courent dans tous les sens.
Je vais me boire un café, je discute avec d’autre chauffeurs, vers 9h30 c’est enfin mon tour et quand le cariste voit ma marchandises, il m’annonce que je n’ai pas de chance car il doit contrôler tout les colis qui sont sur mes palettes. Je rigole en pensant qu’il me branche, mais pas du tout. Il m’explique qu’ils ont eu tellement de problème avec la boite ou j’ai chargé qu’ils ont ordre de tout contrôler, en même temps ça ne m’étonne pas.
Il est douze heure quand je repart avec mes papiers et une palette refusé, car elle ne correspond pas à la commande et une réserve car six colis manquant sur une palette. J’appelle Franck qui se démerde pour me trouver un transporteur pour refiler cette foutu palette du temps que je vais rejoindre Bob au centre routier de Mâcon pour lui refourgué mes palettes europe. Ensuite je fonce sur Lyon en chemin Franck me donne l’adresse du transporteur chez qui je doit aller déposer ma palette, c’est à côté de la ou je doit recharger c’est bon. J’appelle Jérôme47 qui est dans le coin et comme il connaît bien le secteur il me donne quelques tuyau pour ne pas perdre temps c’est cool.
Arrivé chez le transporteur je ne perd pas de temps, le chef de quai est super sympa et je me sauve pour aller sur mon lieu de rechargement, je m’inscrit et là encore on m’annonce qu’il y a de l’attente. Trois heures et demi plus tard je suis sur le départ, j’appelle Franck pour faire le point.
J’ai des heures pour rouler mais pas assez d’amplitude, je ne vais pas pouvoir arriver jusqu’à Rodez. Je ne ferais pas mon tour de sud, ma semaine est cramé.
Je coupe à Montagnac en dessus le Puy, quand j’arrive je me gare juste à côté d’un magnum des transport Coste, je salut le chauffeur qui vient vers moi et me dit:
« enfin je te vois, je te lis toutes les semaines »
Je suis un peu surpris, mais après avoir discuté, je vois qu’il est souvent sur le site et qu’il apprécie les CDB ça fait plaisir, il a d’ailleurs déjà rencontré Jack et espère bien croiser tous les autres conteur de la route.

service palettes

Pont-de-Veyle

Norbert Piernas

Cédric un fidèle de FDR

Jeudi 18

Je part plus tard que prévu, il faisait tellement bon hier soir que l’on à traîné,en fait on a discuté sur la terrasse du resto jusqu’à minuit passé, encore une soirée entre aveyronnais c’était bien cool.
Je part donc à 6h30 pour Rodez, je descend direct, ci j’étais parti plutôt j’avais prévu de m’arrêter à Bonsecours pour prendre ma douche et déjeuner, mais bon comme Cédric est parti avant moi et ma dit qu’il repartirait avec la belle porte de la douche ou il y a une superbe créature du nom de Samanta peinte dessus, je me dit que ça ne sert à rien de m’arrêter car je ne pourrai pas prendre ma douche avec Samanta.
Si vous croisé un magnum rouge avec dans la cabine une porte ou il y a une belle nana sous les cocotiers, ben c’est Cédric…
Bon trêve de plaisanterie, en arrivant sur Mende je ne suis pas tranquille car ma jauge de carburant est quasiment à zéro, je vais donc au superU qu’il y a à la sortie de la ville, la hauteur est limitée à 3m90 je baisse la suspension du porteur et j’avance douce manette. Il n’y a personne donc je suis tranquille pour faire mes manœuvres pour en ressortir. Arrivé sur Rodez je vide mes deux clients, je suis vide à midi je rentre chez moi pour manger.
L’aprem je descend à Villefranche, je vais passer mon ensemble au rouleau, quand Domi arrive je reprend une de ces caisses pour aller vider sur Rodez et Figeac demain et je rentre à la maison en porteur.

le magnifique 480 de David « the terror »


vive la suspension pneumatique

Séverac-le-Château

Vendredi 19

Je démarre tranquillement à 7h ce matin, quand j’arrive dans la grande surface ou je dois vider ce n’est pas la bonne, il y en à deux sur Rodez , ci j’avais regardé l’adresse…
Une fois avoir vidé à la bonne adresse je m’arrête pour boire un café à la ZI de bel air puis je descend sur Figeac.
En arrivant là bas je chope la pluie ça ne dure pas, mais ça suffit pour pourrir mon vico. Je vide mes dernières palettes je rentre sur Villefranche. Il est midi je vais manger avec Toto, José et Jérémy, on a bien rigolé Toto toujours égal à lui-même.
Je change mes caisses je lave mon vico au dépôt avec l’aide de Jérémy , et je rentre à la maison mais comble de malchance arrivé à l’entrée de Rieupeyroux j’ai une roue de ma remorque à plat. J’appelle aussitôt Franck qui m’envoie le gars des pneus.
A 19h je peux enfin rentrer chez moi, après cette semaine de m…
Bon week-end à tout le monde, même aux branleurs, aux fainéants qui ont pourri ma semaines…


quelle poisse

the trou

Samedi 20
Dimanche 21

Lundi 22

Je prend la N88 matin il est 6h15 après avoir attelé ma remorque et je monte sur Clermont-Ferrand. Il fait beau mais pas très chaud ce matin, il y a un petit vent du nord bien fresquet. Comme d’hab je ne suis pas chargé lourd donc mon vico s’éclate sur la monté de l’A75, arrivé au niveau de St Flour j’ai un méchant coup de barre, j’ouvre ma vitre pour que les 6° extérieur me requinque mais j’ai du mal à reprendre le dessus, finalement Alain m’appelle au téléphone, on discute un bon moment et j’oubli mon coup de fatigue.
Au niveau d’Issoire je sors pour prendre la petite départementale qui va sur La Tour sur Maymont, et me voilà parti sur de la petite route de campagne pour une bonne trentaine de kilomètres. J’arrive à la boutique à 10h j’en ai pas mal a vider, il me faudra une petite heure pour en venir à bout. Ensuite je redescend sur Thier, J’ai un client à livrer dans un petit bled vers Lempde mais je suis obligé de faire ma coupure avant, je me trouve un bout de parking en bord de route pour faire mes 45mn.
Quand je redémarre il est déjà midi mais comme c’est un petit artisan je peux aller poser ma palette sans soucis. Il faut que je décroche ma remorque pour y accéder, un coup de hayon et l’affaire est réglé, je récupère ma remorque et je vais à Roche-Blanche pour décrocher ma remorque et prendre celle de Bob pour l’avancer. Comme il a décroché sur le parking du resto, je vais y manger il est déjà 13h20, je leur donne à comprendre que je suis pressé, pas de problème demi heure après je suis revenu au camion, j’échange de remorque et je vais vider à la boutique juste dans la zone à côté, puis je vais vider deux clients sur Cournon Bob vient me rejoindre chez le dernier, ça tombe bien car il y en a un paquet à décharger.
Bob récupère ça remorque et file sur Moulins, moi je vais vider la boutique de Clermont. Je revient à ma remorque il est 16h30, j’appelle Franck, mais comme y a pas un kilo a charger je rentre. Un petit coup d’œil à mes heures pour voir ci je peux rentrer à la maison, ça doit le faire.
Je prend l’A75 tout shouse jusqu’à Séverac le Château ou il me faut couper 45mn, puis une petite heure pour arriver chez moi 9h57. Waouu!!! C’est beau.

c’est bien Obélix du bon boulot


t’aurais pas un tuyau pour le tiercé?

on est pas bien là…

Mardi 23

Le téléphone sonne enfin à 10h ce matin, je descend à l’usine pour prendre des caisses pour Bordeaux. Une fois fait le plein, mes papiers et changé mes caisses il est midi, Franck vient me chercher pour aller manger.
Finalement je ne descend pas à Bordeaux direct, il y a quelques clients à vider dans le 47, je coupe donc à travers, je prend la route de Cahors, en coupant par l’Albenque pour éviter Cahors puis je récupère la route de Thenon d’Agenais pour retomber sur Villeneuve sur Lot pour rejoindre Ste Livrade, on voit de superbe paysages mais alors la route bonjour, on est secoué comme un prunier.
Une fois vidé mon client j’appelle Domi pour savoir ou il en est et surtout pour qu’il m’indique mon autre client qui est sur Tonneins. Il m’enseigne une route pour gagner du temps mais la aussi c’est de la vrai route de campagne, bref j’arrive juste avant six heure pour vider.
Je rappelle Franck pour savoir comment il faut que je m’organise pour demain, je doit recharger à Agen pour l’usine donc je n’est pas à me prendre la tête. Je vais rejoindre Domi au resto routier de Vérazeil pour échanger nos caisses.
Comme il n’y a rien qui presse pour moi je coupe là.

Tournon d’Agennais

changement de caisses avec Domi

Mercredi 24

Je décolle à 7h30 ce matin, je vais rejoindre Jérôme du côté d’Aiguillon, on en avait parlé hier aprèm au téléphone et je viens de le rappeler pour voir s’il était toujours dans le coin. On se retrouve donc sur un petit parking le long de la route entre le péage et Aiguillon.
Après avoir discuté une bonne demi heure, il est temps d’aller bosser je prend l’autoroute pour descendre sur Agen ou j’ai deux ramasses a faire pour l’usine. Je ne perd pas de temps les deux entreprises sont dans la même zone. Je reprend l’autoroute pour aller sur Montauban ou je sort pour monter sur Villefranche de Rgue.
En arrivant à l’usine je me met au quai du magasin pour vider mes retours, j’en profite pour voir ou en est mon chargement, il ne me manque qu’une palette mais le problème il faut attendre les vitrages qui doivent arriver en début d’aprem, ben en attendant je change mes caisses, comme il est midi j’ai pas très envie de manger au resto alors je me fait ma popote au camion, puis j’attaque de marquer mes pneus.
A deux heures le chef de quai vient m’annoncer que le camion n’est pas encore arrivé et que ce n’est pas bon pour moi. Merde alors, depuis que Antho a laissé tombé son tiroir c’est le bordel.
Je vais au dépôt juste à côté je sort la karcher et je lave mon ensemble, à16h30 je me remet à quai, je charge ma palette, je pensais descendre par Toulouse pour livrer un client ce soir mais là c’est foutu, donc je change mes plans, je vais passer par Millau ça me permet de m’arrêter à la maison pour prendre ma douche et manger, avant de descendre sur Béziers.
Je quitte ma petite famille chérie à 19h et me voilà parti pour le midi, en arrivant sur Millau comme ça roule bien je décide d’éviter le pont, je passe donc par en bas, j’ai bien fait je n’ai pas été gêné dans la monté, ça roule super bien il fait beau de la bonne zique c’est le pied.
J’arrive à 21h30 sur Sérignan, je me gare sur le parking du superU, mais pas plutôt garé qu’un vigile vient vers moi et je me fait gentiment viré, mais viré quand même, je vais juste en face sur un autre parking, tout le monde est content ça va.

croisure bien sympa avec Jérôme

changement de caisse à l’usine

en route vers Millau

Jeudi 25

Je me pointe à 7h30 pétante devant chez le client, les grilles sont déjà ouverte j’ai du bol il y a un Trazit qui arrive juste derrière moi, j’ai pas mal de coulissants à sortir donc je me sert du hayon, une fois récupéré mes papiers je vais au centre routier pour aller me laver et prendre mon petit dèj, mais là surprise toutes les portes sont condamnées, je vais à la station à côté et le gars m’apprend que ça a coulé, je me bois un café bien dégoûté de ne pas pouvoir prendre ma douche. Ils devraient faire payer le parking encore plus cher pour attirer du monde cette bande de ….
Je vide la boutique de Maureilhan et je laisse ma remorque sur le parking je la récupèrerai ce soir. Je file sur Pépieux par la minervois en porteur c’est plus cool pour rouler par ces petites routes. Ensuite je vide la boutique de Lézignan-Corbière et j’appelle celle de Narbonne pour savoir s’ils veulent m’attendre pour vider, il sera midi mais comme ils sont cool je vide.
Je m’arrête à la Croix-Sud et je prend enfin ma douche que j’apprécie, je reviens au camion pour casser la croûte et je file sur Perpignan par la nationale, ça sent les vacances il y a de plus en plus de monde qui se traîne sur la route et pour couronner le tout je chope un bouchon à l’entrée de Perpignan, je pense qu’il va falloir que je prenne l’autoroute pendant la période estivale.
Mai une fois vidé je remonte quand même par la natio, je suis dans les cloups alors ça va. La remonté se passe mieux après Narbonne je coupe par Cuxac- d’Aude pour rejoindre Maureilhan. Je raccroche ma remorque en revenant au camion Franck m’appelle pour faire une ramasse sur Béziers, puis en route il me rappelle pour annuler car le client ne veut pas réceptionner demain aprèm. J’enquille l’autoroute et là il me rappelle ce coup ci c’est bon. Un petit tour pas gratuit je sors à Béziers Est et je reviens sur la sortie Ouest, je vais faire ma ramasse sur la route de Narbonne puis je reviens sur l’autoroute et il me faut faire mes 45mn à l’aire de Montblanc.
J’ai assez d’heure pour monter jusqu’à Alès mais en arrivant sur Montpellier, il me vient une super idée je sort à Fréjorgue et je file sur Carnon ou je pose mon vico et je vais me faire un bar à tapas en bord de mer.

le soleil plus tout les impacts d’insectes c’est pas le top

ça va péter pas tard

ça va passer là???

loupé!!! Dommage…

Vendredi 26

Je décolle à 6h ce matin et je reprend l’autoroute à Fréjorgues pour rejoindre Nîmes, je trouve que ça roule déjà pas mal ce matin, ça promet pour le reste de la journée. Sur toutes les radios ce matin on ne parle que du décès de Mickael Jackson, on a pas fini dans bouffer ces prochains jours.
Je m’arrête aux abattoirs à Alès pour aller boire mon café et à 7h50 je me pointe chez mon client, je fini de vider ma remorque au hayon, puis je redescend sur Lansargue en passant par Sommières et arrivée sur Lunel c’est tout bloqué, il y a des travaux un vrai bordel, l’heure tourne Franck ma appelé pour me donner une ramasse de plus ça va être vraiment chaud pour tout boucler avant midi.
En arrivant à la boutique de Lansargue, je décroche ma remorque avant de vider ma palette, puis raccrochage pour redéccrochage à la boutique du Crès et raccrochage pour foncer faire ma ramasse à St Jean de Védas et je me retape des bouchons a n’en plus finir l’heure tourne ainsi que mes heures de volant, je suis mal barré.
J’arrive enfin chez le client il est 11h58, il y a trois camions qui attendent déjà, moi suis devant la barrière j’ai beau sonner à l’interphone elle ne s’ouvre pas. Je vais voir un cariste pour lui dire que je viens enlever deux palettes, mais c’est pour 13h30, me voilà bloqué à la barrière, je me met en coupure, il me faut faire 30mn et je doit aller faire une ramasse à Lattes aussi, là je doit charger avant 13h donc dès que j’ai fini ma coupure je vais voir les caristes qui sont entrain de déjeuner pour qu’il m’ouvrent la barrière pour que je puisse aller à Lattes. J’y arrive à 13h ils me charge illico mes six palettes et quatre colis, et je repart s’en perdre temps à St Jean de Védas, je coupe par une petite route normalement interdite mais je gagne un temps bien précieux.
Il est 13h30 quand j’arrive de nouveau chez le client, il y a deux camions qui sont devant la barrière et deux des trois camions de midi qui sont encore en attente, je me démerde à trouver un cariste pour voir s’il compte me charger mes deux palettes ou s’il faut que j’attende. Ils ouvrent la barrière pour faire entrer tout le monde, on me dit que je charge de suite mais quand le cariste arrive avec ça palette il refuse de la charger, elle fait un mètre par trois et fait deux cent kilo il suffit qu’il la fasse glisser et le tour est joué, mais monsieur ne veut rien entendre.
J’appelle Franck pour lui expliquer mon soucis et du temps que lui appelle de son côté j’essai de trouver un autre cariste. Coup de bol je tombe sur un gars super cool, je lui explique mon problème il va chercher la fameuse palette et me la pose au cul de la remorque, le tour est joué je prend mes papiers et je fonce je suis à la bourre totale.
Franck me rappelle pour me dire de me casser, il est bien énervé le boss mais je le rassure et lui conseille d’aller ce boire un bon café, ça roule comme sur des roulettes, il y a longtemps que je ne mettais pas éclaté a faire des ramasses comme ça.
En montant je vide deux clients sur Millau et deux sur Rodez, comme j’arrive au bout de mes heures je rentre à la maison.
Bon week-end à tout le monde.

ça bloque dans la traversé de Lunel

:Oh!!!! Le voyou comment il roule lui, même pas le temps de dégainer, FAST je te jure je ne dirai rien, mais les frigos du sud c’est des sauvages…

j’attend, j’attend encore et toujours

Samedi 27
Dimanche 28

Lundi 29

Je ne démarre pas trop tôt ce matin, après avoir passé un super week-end bien rempli je pète la forme. Alors que je suis entrain d’atteler ma remorque je vois passer un ensemble de chez Gargaud, je me dit que ça doit être mon pote Lilian. Je descend au pas dans le village pour voir ci il c’est arrêté au routier, et bingo il est bien là, ben après 2mn de volant me voilà déjà arrêté pour boire un café.
On a été raisonnable sur ce coup là, 20mn de pose et on repart bosser, je descend à Villefranche poser mes caisses, puis comme José et Franck on mis le karcher en place j’en profite pour laver mon vico.
C’est un tour bien tranquille qui m’attend, je vais chez un carrossier prendre deux caisses que je vais livrer chez un transporteur à Nîmes. Je part donc du dépôt à 9h et je vais à côté d’Albi, il me faut une heure et demi pour y arriver, quand j’arrive les caisses sont prêtent bien aligné même pas besoin de décrocher, j’attelle tout ensemble c’est cool.
Je passe par le sud Aveyron pour rejoindre l’A75, un vrai régal, je ne veux pas être chauvin mais c’est trop beau. Je m’arrête à La Cavalerie pour faire ma coupure, je fais mon petit repas de midi au camion et je continue ma descente sur Nîmes.
Quand j’ai posé les caisses chez le transporteur je compte mes heures, ci je roule 9h ça me fait arriver à Lodève sinon 10h sur le Larzac, j’appelle mes amis de Lodève pour me faire inviter, bonne soirée en prévision piscine, grillade, le pied quoi…
En route j’ai mon pote Manu au téléphone qui remonte de Perpignan, on sort au péage de Lunel pour se serrer la pince on discute un petit quart d’heure avant de finir ma route sur Lodève.

prêt pour une nouvelle semaine

Lilian

je promène mon vico à la campagne

Manu

Mardi 30

Je démarre à 6h30 ce matin après que Michel mais emmené au camion en partant au boulot. Je retourne chez le carrossier pour récupérer deux caisses neuves mais pour l’usine ce coup là.
J’appelle Franck à dix heures juste avant de repartir de chez le carrossier, pour savoir ci je rentre direct ou s’il a prévu de me charger quelque part, mais non je rentre et j’ai même le temps de m’arrêter chez moi comme je passe pas très loin, donc je mange avec ma petite femme chérie.
Quand j’arrive au dépôt à 14h, Franck me file la voiture de l’entreprise et me fait rentrer chez moi car il aura sûrement besoin de moi cette nuit, pour rouler on est bien d’accord….
19h le téléphone sonne, je doit monter sur Lyon pour rejoindre mon collègue Alain, et récupérer son camion, car il faut vider impérativement demain matin à Toulouse. Je laisse donc tomber ma piscine, un saut sous la douche un petit repas vite fait bien fait et je fonce rejoindre collègue.
Après Rodez ça roule pas mal en direction de l’A75 alors je sort à Laissac pour passer par St Laurent d’Olt pour rejoindre La Canourgue un vrai régal avec ma petite bombinette. Je me fait une petite pose café à Montagnac et appelle Alain pour savoir jusque ou il a pu aller. Il est dans St Etienne car la quatre voie est fermé, il sont entrain de démolir un vieil immeuble en bordure de route.
Je rejoint Alain à 23h30 on discute pénard assis sur un muret il fait super bon, puis on ce dit que ça serais bien de renquiller la route, il est quand même une heure du mat. Alain repart avec la voiture en se posant la question s’il dort à l’hôtel ou s’il rentre, moi j’ai pas de question à me poser il faut que je descende le camion à Villefranche.

la montée de l’Escalette s’en forcer

ils brillent tes moutons mec

c’est beau quand c’est neuf

 

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