Lundi 2

Malgré que je reprenne le travail ce matin, c’est pas vraiment avec un mental de winner que je pars ce matin, en plus, c’est tôt!! Il est donc 4h30 quand je fini de raccroché, je dois encore passé au dépôt changé de chevalet, j’espère ne pas m’être levé de bonne heure pour pas grand-chose. 5h pile poil je suis à Crissey et le chevalet A que je dois reprendre et belle et bien là. 5h23 exactement, je repars; mon papa reprend l’autoroute juste devant moi à chalon sud, on monte jusqu’à Dijon attendre le reste de la troupe des gais travailleurs (!) Phiphi et Gil. C’est à Chaumont que l’on récupère Nico qui nous attend sagement sans faire de bêtises et une fois complet il ne nous reste plus qu’à monter joyeusement jusqu’à Boussois. En se début d’après midi il y a bizarrement beaucoup de monde dans la cours, problème de péniche (l’engin qui nous apporte nos chevalet); 2h de perdu, oui, une multinational engrange les bénéfices mais à du mal un investir dans plusieurs péniches, donc on attend que celle-ci sois réparer. Il est pas loin de 18h 30 quand on arrive à Athus, et à chacun son tour de déposer son chevalet et d’aller se garer gentiment sans prendre le temps de faire son gasoil, amplitude niquer depuis trop longtemps.

Mardi 3

Il ne reste plus que mon père et moi ce matin sur le parking, café, et c’est reparti. La station est vide quand nous arrivons, à peine un quart d’heure pour faire le plein et on se casse. Retour à Boussois, on tombe sur un gardien débordé par… 4 personnes qui arrivent en même temps à l’entrée de l’usine rendez vous compte? Donc l’inscription prend du temps, mais les chargement sont bien près eux, c’est pour la Tchéquie que l’on charge, cool, ça va nous occuper jusqu’à milieu de semaine. Une fois chargé direction Belgium. Arrêt décrassage et remplissage de bedon vers Mons et nous revoilà reparti sous de bonne chute de neige. Au moment de passer Liège je croise une nouvelle fois Loulou et son beau FH alors que nous sommes en pleine conversation au téléphone, on devient les recordmen de croisure sans s’être jamais vu! La neige, elle, c’est arrêter depuis notre entré en Allemagne, passage de Köln sans soucis, mais se qui me chagrine c’est que comme d’hab’ en bundesrepublik, les places vont encore être chères se soir au moment de s’arrêter. Effectivement, c’est le cas, une bonne place bien le long de l’autoroute pour être bercé par les moteurs qui abordent la cote en pleine charge, je sens que je vais être bien pour dormir…

Mercredi 4

Effectivement, j’ai passé une nuit mouvementée, mais bon j’ai connu pire. Malgré un temps un peu près sec, les routes elles, restent vachement humide avec le dégel de la nuit et le niveau de lave-glace baisse vitesse grand V aujourd’hui. La pause déjeuner se fait après Chemnitz sous un soleil timide. L’arrêt après Dresden pour acheter une ‘box’ reste assez simple, pour ceux qui connaissent le système autrichien, c’est la même chose; achat d’une box et rechargement payer en carte pétrolière, le passage sous des portiques signal que le paiement s’effectue. Ils ne nous restent plus qu’à descendre à Teplice à quelques kilomètres de là. Le plan que mon papa à entre les mains n’est pas franchement d’une grande aide, et du coup la navigation se fait au Gps et à l’aide de Gil et Phiphi arrivés sur place depuis une grosse heure; eux avaient rendez vous aujourd’hui alors que nous sommes prévus que demain. Vu que personnes nous demande rien, on pose nos chevalets et récupérons nos vides sans l’aide de personne; à peine 30mns dans l’usine! De là, on fait le tour du quartier pour aller à notre dépôt Tchèque histoire de se laver un coup quand mêmes. La cour est ici aussi bien pleine, certain tracteur n’on plus de plaques d’immatriculations… Douche pour tous le monde, séance photo et on se casse de là; Faut pas trop traîner on est 4, et trouver de la place pour tous va relever du défis se soir, on tente une approche au niveau de Chemnitz, se sera la bonne pioche. Même si on est loin d’avoir fini les heures, tout le monde est garé, mission accomplie!

Jeudi 5

Je me suis réveillé super bonne heure se matin alors que l’on c’était dit que l’on partirait vers 7h 30, j’ai tourné un moment et du coup j’ai bu mon café tranquille en attendant les autres. En début de matinée, Thierry rappel pour savoir qui veux retourner à Teplice ce week-end, sachant que je suis avec mes potes et qu’on sais pas vraiment de quoi sera fait la semaine prochaine, chacun accepte sans problème la proposition, mon papa préfère rentrer pour s’occuper de ses papiers de retraite qui se profile. Il faudra attendre confirmation; une douche et un repas largement digéré, la confirmation arrive avec l’angoisse (un peu) que tous sois annulé, mais non, c’est bon on charge demain pour Kryry. Passer Köln, je guette le père Loulou qui devrait être sur la remontée, mais je ne l’ai pas croisé. La prise de la taxe à Aix la chapelle est l’occasion de faire une coupure. Arrivé sur Sambreville, le cota d’heure est rempli pour aujourd’hui, l’occasion d’aller se manger une bonne frite ensemble.

Vendredi 6

Ça fait bizarre de prendre son temps un vendredi, d’habitude, on est toujours un peu speed pour charger et essayer de ne pas rentrer trop tard, là, ce matin, chacun ce lève à son rythme, on va faire nos courses, faire les pleins que se sois de GO et surtout de lave-glace, de flotte dans nos jerricans, enfin cool mimile. Il est presque midi quand on part de Moustier. Un parking plus loin on mange un bout sous un soleil très timide. En route pour l’Allemagne, deux fois dans la semaine, ça faisait que ça ne m’étais pas arriver, une taxe prise à Aix et il y a plus qu’a suivre l’itinéraire fixer sur le papier: on a essayer de varier le trajet en passant par Francfort, Würzburg, et ensuite passer en Tchéquie par Cheb, le calcul n’est pas mauvais, moins de taxe allemande et très peu de couronnes Tchèques rajouté sur nos boxes. La galère des places de parking après 19h prend fin avant Würzburg, incroyable même pour un vendredi soir!

Samedi 7

 

Je suis le premier à me lever, je fais couler un jus pour moi et Gilou, Phiphi se lève dans la foulé et une fois prêt, on part gentiment avec l’unique ambition ce matin de prendre une douche avant de passer la frontière; je commence à avoir les abeilles et manque d’insulter les deux pipelettes qui m’accompagnent en passant devant le 3ème autohofs qui nous tend les bras avec amours, Heureusement que Phiphi nous en trouve un dernier avant midi avant que je lui balance un sabot à travers le pare-brise! En début après midi nous revoilà revenu en Tchéquie, deuxième tour de la semaine alors que ça faisait 4 ans que je n’y avais pas mis les pieds, on recharge un peu nos boîtiers de péage, mais vu le peu d’autoroute que l’on a à prendre il y a pas besoin de beaucoup. Il est 16h30 quand on arrive dans « le bled » avec un grand B où on vide lundi matin, l’usine elle, est vraiment belle, mais putain, ça doit pas être l’éclate tous les jours ici. A peine garer, on s’en va en solo trouver la petite ville qui se trouve à 4kms de là, on arpente les rues sans trouver aucune animations, pire, on n’est même pas motiver pour ce faire un p’tit restau ce soir, on repère quand même ceux on l’on pourra manger demain en revenant à l’usine. J’essaie de me coucher assez tard pour espérer dormir un p’tit peu demain matin.

Dimanche 8

 

Mes efforts d’hier soir son récompensé je me lève triomphalement à 8h, personnes n’est levé, ça m’étonne franchement de Gil qui d’habitude est bien matinale… Je bois mon café, et je le vois revenir en descendant d’une Skoda; il est parti au petit matin à travers champs au villages d’à coté, mais vu le dégel de ce matin, il à préféré rentrer en stop! Une fois prèt, on tente le coup de demander au gardiens si l’on peu aller se doucher, ils acceptent sans problèmes, nous indiques à quelles portes on va vider demain, sympa! A midi, nous voilà à la recherche d’un endroit pour manger, bingo, le premier café où on rentre nous fera à manger. A à peine 5 euros le repas, il y a des jours où faut pas se priver malgré la crise!!! Je repars avec deux bières pour nos gardiens de ce matin et je met au chaud dans mon camion pour taper ce CDB et faire le tri de mes photos de la semaine, je suis pas en grande forme depuis que je me suis levé, j’ai choper un méchant rhume à trop discuter dehors le soir, vivement cette été.

Lundi 9

Notre voisin de week end, un Biélorusse, se précipite le premier dans l’usine ce matin, il aura passer le week end enfermé dans sa cabine, j’ai du l’apercevoir une fois descendre faire un besoin naturel; enfin passons, à 7h45 on entre dans l’usine et apparemment nous sommes attendus, 3 chevalets vident ont été positionnés pour nous. Chacun pause sa charge à tour de rôle et reprend son chevalet, ils pourraient presque apprendre à travailler à certains ici. Passage à la douche qui n’a pas bougé depuis hier et nous revoilà reparti vers la Belgique. D’après Thierry, si je n’avais pas bloquer le week end, j’aurais été en vacances cette semaine et qu’il que je m’attende à rentrer de bonne heure, si je recharge pour le sud, mon chevalet sera pour un autre… Encore une bonne façon de motiver les troupes! J’ai un camion pourri, et je m’en fouterais presque, j’ai dis presque! Le soleil fait sont apparition sur la route qui nous amène à la frontière, ça change le paysage, mais j’ai toujours pas envie d’aménager dans le coin. Passage en Allemagne, paiement de la Maut à Bad Berneck, la route se passe bien, et nos esprit de technicien de la route se disent que si on ne veut pas galérer pour trouver des places ce soir, il faut s’arrêter de bonne heure! Oui, on c’est mis à trois pour réfléchir à ça! Du coup, 18h05 vers Wiesbaden, nous prenons les dernières places disponibles sur cette station pourtant très grande; prévu normalement pour charger que mercredi, la coupure va être bonne, tant mieux, j’ai encore la tête dans le sac et le nez en choux-fleurs, tshüss!

Mardi 10

Hier soir au moment de tirer les rideaux, il faisait vraiment un sale temps, neige à gogo. Ce matin, la pluie à remplacer cette neige, bon vu l’heure qu’il est, les saleuses sont déjà rentrer: 7h30. Monté sur Cologne se fait les doigts dans le nez, enfin pas pour moi, c’est les kleenex que j’ai dans le nez, une douche à l’autohof Eifeltor avec prise de euro vignette dans la foulée pour éviter la station surchargé de Aix la chapelle. C’est le croisement de Kerpen qui pause ‘le’ problème de la journée, oui, il y a des jours où j’ai des problèmes (!), un accident? des travaux? Rien de spéciale, pourtant on aura perdu 45 mns dans l’affaire. Thierry nous rappel à ce moment là pour nous donner le programme, moi qui m’abat à rentrer de bonne heure, il me faut une page de mon bloc-notes pour noter le tous, cool! Je charge ce soir à Boussois pour Athus, de là, je charge pour Lodelinsart, et ensuite je rechargerais pour la région de Nemours. Je me précipite à Boussois, mais là, c’est une réunion de crise qui à lieu ici 1h30 d’attente. Il est 18h quand je repars, je me pose à Léglise pour ce soir, peut-être le moment faire une prière…

Mercredi 11

C’est encore tous patraque que je me lève ce matin, je bois mon café et descend à Rodange faire mon gasoil et bien entendu vider et recharger à Athus. De là, je remonte à Lodelinsart vider. Tous se déroule impeccable bien, pas d’attente. Je file au dépôt de Marcinelle pour recharger, il est 10h; mais il y a du monde devant moi, je pose mon vide avant midi et vais prendre m douche; une petite aspirine juste avant manger et la forme reviens doucement. Il y a un rayon de soleil, du coup en repassant en France, j’ose le détour par Petite foret et ses rouleaux magique, la séance décrassage peu commencer. Je jette un coup sur mes feux de casquette qui ne fonctionne plus depuis lundi, verdict, un fil coupé, j’aime pas roulé avec des feux qui ne fonctionne pas mais là, j’ai pas le temps d’attaquer ça maintenant. J’ose un truc de fou en arrivant sur Paris, je passe par le périf’; c’était pas un bon calcul, mais sa aurait pu être pire, je crains surtout que j’arrive au bout de mes heures mais coup de bol une place m’attend sagement à l’aire de Villabé après une petite séance de marche qui recule, ce soir je peu me connecter un peu au forum, ça me manquait!

Jeudi 12

J’arrive à Bagneaux un peu avant 7h30, je reviens pas de cette belle et grande usine dont je n’avais jamais entendu parler bizarrement, 8h entré dans le hall, dépose, ressortie de l’autre coté et reprise du vide: 10mns, je veux venir tous les jours ici et en plus ils sont sympa! Je me magne de remonter sur le nord, Thierry m’a avertis que l’usine ferme plus tôt avec la mise en veille d’un four, eux m’avaient dit que c’était à partir de la semaine prochaine, verrai bien! Je remonte par la N2, j’y vois plein de fourgonnettes le long de la route, on parle souvent de plus vieux métier du monde, là, je crois que c’est le personnel à bord des camping-car qui être le est le plus vieux du monde, purée, faut avoir envie… Je m’autorise un arrêt rapide à Marle prendre un cornet de frites, vu la gueule qu’elles ont, vaut mieux pas en faire tomber sur ses fringues parce que la tâche d’huile risque d’être immense! A éviter la prochaine fois. J’arrive à Boussois et apparemment tous le monde se casse, mais une bonne âme me donne mon chevalet, je prend ma douche et repars sur les belles routes de Belgique finir de pourrir mon ensemble. C’est à Beaumont qu’une lueur me réveille dans ma léthargie improvisé; putain, j’ai oublié l’eurovignette!!! Il me reste plus qu’à prier de ne pas être contrôlé d’à Athus, sa serais con, la première fois depuis toutes ces années. Arrivé à Rodange, je file chercher ma taxe, recomplète mon GO et vais vider ma charge, le manutentionnaire en profite pour me faire faire un transfert de chevalet dans l’usine avant que je ne reprenne mon vide. 19h30, je remets le cap en direction de la Belgique, je tente un arrêt à Wanlin, mais il n’y a pas de quoi garé une mobylette, je reprends la direction de Dinant pour enfin trouver un parking sur la quatre voie où je serais peinard.

Vendredi 13

La journée va être vite torché enfin j’espère aujourd’hui, je décolle une fois les 9h de coupure terminée et atterri à Boussois pour la dernière fois de la semaine, je prends ma commande (prévu que pour lundi mais déjà prête!) et je me casse direct. Je tente la descente par la national qui fait Vervin-Reims, pas de perte de temps, mais par contre l’arriver ce fait presque au centre de Reims et sa chier de feux. Je continue ma lancée jusqu’à Chaumont et reprend l’autoroute ici. Je dois poser mon chevalet à Crissey ce soir, je ne travaille pas lundi encore une fois, pire, en arrivant, Thierry me dit que c’est la semaine complète dont je bénéficie.
Voilà 2 semaines de CDB et une semaine pour m’en remettre, à dans une semaine si les dieux de la consommation le veulent bien…

Samedi 14

Dimanche 15

Lundi 16

rien

Mardi 17

école et boulangerie

Mercredi 18

on s'est casser le nez devant la porte de la porte de la piscine...

Jeudi 19

rien

Vendredi 20

je suis aller changer mes draps dans mon camion,

Samedi 21

Dimanche 22

Lundi 23

C’est du dépôt que je démarre ce matin, j’essai à mon petit niveau d’éviter les kilomètres parasite comme ont nous la demander; je prend l’autoroute jusqu’à Dijon et ensuite la national jusqu’à Toul. Je regrette déjà d’être aller laver mon ensemble samedi, la faute de Karine qui m’a dit que j’avais un camion vraiment pourri; merci chérie! Une fois à Athus, je m’inscris et rentre, je suis appelé via l’ordinateur présent dans la salle d’attente à la porte 62, là, mon chevalet est placé, les papiers sont prêt à coté; j’aurais chargé sans voir une seul personne, ni autres chauffeurs, ni personnel de l’usine! En tous cas, ça a été vite… Je reprends le chemin inverse jusqu’à Toul où je récupère la N4. Mes heures m’emmènent jusqu’à l’aire de Sommesous accessible depuis la national mais déjà blindé à 19h, j’hésite un moment et du coup je rentre sur l’autoroute pour accéder au parking qui lui n’est pas surchargé.

Mardi 24

Punaise j’ai encore ce satané mal de crâne ce matin en me levant, il m’aura tenu toute la nuit, vite un café avec une tartine d’aspirine! 7h je démarre et garde l’autoroute jusqu’à Arcis, ressortir ici m’aurais fait payé le trajet le plus long, je le sais je me suis fais avoir une fois du temps où l’on voyait encore ce que coûtait un péage. Je suis du coup un peu en avance à Méry mais je peu poser tous de suite; je prend mon vide et je me casse. Je remonte en direction de Moustier pour charger cette après midi, je prend ma taxe au restaurant à la frontière, celui qui donne envie de prendre sa taxe et… partir! Il donne pas de regrets d’avoir mangé dans son camion celui là. J’arrive à Moustier vers 14h45, je resterais une bonne demi-heure à attendre le droit d’entrée, « ma charge » comme il de mise de dire ici est prête mais pas placé à une porte; 17h (!) je charge mon chevalet, je monte faire mon gasoil au dépôt de Velaine et me voilà reparti en direction de Bruxelles, encore un grand moment vu l’heure qu’il est! Et bien je suis une mauvaise langue car je passe comme une balle la capitale, je regrette du coup de n’avoir pas « sonné » PtitDud, mais je pensais bien galérer dans les bouchons, parti remise. Je trouve mon client dans une petite Z.I qui respire le calme, je sens que je pouvoir ronfler son gêner grand monde cette nuit.

Mercredi 25

Il est 8h quand je pose mon chevalet, le temps de faire un peu de ménage, un minimum, quelques photos chez le carrossier d’a coté et me voilà reparti. Je monte à Tiel, en route je m’arrête à Meer prendre ma douche. La surprise du jour: 50 centimes d’augmentation depuis la dernière fois que je suis passer! En arrivant à Tiel je fais un p’tit tour de zone pour trouver un joli FH à photographier, et peut-être un nouveau taxi chez Verbeek. 14h je suis chargé, j’ai mangé et je remets en marche en direction de la France, ça me permet de passer Eindhoven sans un ralentissement. Ça me fait chier de repasser en France ce soir, après 20h, j’ai bien peur d’avoir du mal à me garer; 4 camions sur le parking du Cora, c’est assez rare pour le signaler! Je me paie une belle assiette au kebab du coin ce soir, c’est la fête!

Jeudi 26

On a fait un gros dodo mon kebab et moi, je démarre à 7h tranquille pour descendre au dépôt avec unique objectif de… LAVER! Donc je descends gentiment déjà jusqu’à Beaune pour faire un bisou à mon IGlou préféré qui est encore à la maison cette semaine, je casse la graine en vitesse et je déboule au dépôt vers 13h. Après deux heures d’effort intensifs mon camion fait de nouveau belle figure, je répare mes feux dans la casquette qui ne fonctionne pas depuis deux semaines (quand on n’ai plus motivé…) une bonne douche et je repars. C’est à Tournus que je croise ma copain Phil26 qui me fait de drôle de geste; j’hésite entre une imitation du macaque en rûte et la joie de l’ardéchois qui sors de son bled pour la première fois… Dommage, je suis attendu à Lyon, je traîne pas, ce soir je rejoins Christophe vers Mions pour passer une petite soirée, je l’espère tranquille, à une bonne table. Nous faisons la connaissance de Jérôme qui vient sur le forum et avec qui on accroche bien; entre passionné la soirée ne pouvait qu’être sympa!

Vendredi 27

A 6h30, je me mets en route, Jérôme part boire son café et cette feignasse de Christophe dort toujours. 7h40 je suis dans la cours de mon client qui a eu enfin l’idée d’élaguer les arbres qui frottaient la cabine et les bâches; 8h pile poil je dépose mon chevalet, j’en profite pour boire mon café, et à 9h je ressors de là. Je redescends gentiment pour être de retour à la maison en tous début d’après midi.

Samedi 28