Mon Carnet de bord... Suivez mes aventures, semaine après semaine!

Mars 2009

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Dimanche 1

Lundi 2

 

Mardi 3

 

Mercredi 4

 

Jeudi 5

Vendredi 6

 

Samedi 7

Dimanche 8

 

Lundi 9

Bon, on reprend les hostilités cette semaine. Redémarrage en douceur, j’hésite entre le fait de dire que je suis pas du tout motivé et malgré tout, que je brûle d’envie de reprendre le volant...
Il est 8h quand je pars, je prend la nationale qui monte par Vesoul, Épinal; je la trouve bien moins chiante que de monter par Dijon, Langres. Je fais mon gasoil en début d’après midi, charge en 25mns, et entame ma descente par la même route que ce matin. Une coupure à la sortie de Nancy me donne l’occasion de me marrer 2mns quand je vois le nombre de messieurs qui sortent en catastrophe des bois environnant quand ce met à tomber de grosse giboulée en cette fin d’après midi, j’espère qu’ils ont eu le temps de remonter leurs pantalons! On rigole comme on peu... La route se couvre de neige fondu, mais rien d’alarmant, quelques kilomètres plus loin, se sera de nouveau le soleil qui pointe le bout de son nez pour clôturer cette journée. Les heures ne sont pas un gros souci pour ce soir, alors j’assure le coup en m’arrêtant bien avant le gong final vers Saulx de Vesoul.

élu pénible de la semaine

fais pas beau en lorraine

fais pas bon trainer sur le parking par içi

Mardi 10

J’ai fais un gros dodo, le moral est pas trop mauvais, le café bu, la cabine aéré et soufflé je peu me mettre en route et oui, j‘en fais un bazar le matin, si je partais à 4h du mat‘, j‘en ferais pas autant. Je descends par Lons et Bourg en Bresse; c’est là que je vois mon Fredo tranquille en train de faire son plein à son dépôt. Un bisou sur le front plus tard, on repart ensemble en direction de la région Lyonnaise, Fred y charge pendant que je vais me laver et casser la croûte et près ça, on peu faire route ensemble jusqu’à Orange. Dommage que l’on ne descendait pas dans les mêmes quartiers pour manger ensemble ce soir, parti remise. Je pousse ma carcasse jusqu’à Montpellier, il faut bien qu’il me reste un peu de route pour demain, non mais!

on dirait vraiment le directeur de la société!

Mercredi 11

Quel plaisir de se lever avec du soleil, timide, mais présent ça change des deux jours précédents. Je met en marche pour 8h, descente d’une traite vers la station du village catalan où je m’arrête prendre ma douche, elle sera toujours un peu moins chère qu’a La Jonquera. Une fois passé la frontière, je reprends la nationale, même ici, il y a beaucoup de monde. Un p’tit peu avant Girone, je bifurque sur Banyoll. A 12h15 je suis devant chez mon client, on me fait remarquer que l’heure de livraison est 14h et qu’il faut que j’attende; pas de problème, chez Volvo y’a tous ce qui faut! Un bon repas plus tard et une méditation intensive (comprenez par là... sieste) on m’appel pile poil à pour me mettre en place. 15h j’ai repris mon chevalet, Thierry n’a pas répondu à mon message alors je le rappel, je remonte mais il n’y aura rien à charger vendredi. Retour en touriste. Quelques courses à La Jonquera où ça devait être la journée des papys aujourd’hui et retour au pays. Je me pose à Nîmes Marguerittes ce soir, et c’est Nath qui viendra boire son p’tit café dans la soirée.

celle là, c'est juste pour montrer à Phil à quoi ressemble La Jonquera...

Nath toujours le sourire

Jeudi 12

J’ai bien tenter de prendre la douche ce matin mais mon prédécesseur, je sais pas, se maquillait, au bout d’une demi heure, je lâche l’affaire. Je continue mon périple touristique en sortant à Remoulins. A Valence, je fais un arrêt imprévu un apercevant le torpédo de Eli Bourdiau, je me gare en cata pour aller voir la bête de prêt! Quelques photos plus tard, Eli arrive, on discute, mes yeux doivent briller d’envie devant un avion pareil. Je le remercie de sa gentillesse, vraiment! En milieu d’après midi, je suis de retour au dépôt Philippe à sorti le karcher pour laver la remorque qui passe aux mines demain matin; elle est laver une fois par an comme ça! C’est à mon tour de passer aux rouleaux, euh, pardon, à la brosse. Je rentre chez moi en début de soirée pour un loooooonnnnnng week-end...

Elie

Bienvenue en Bresse

Vendredi 13

 

Samedi 14
Dimanche 15

Lundi 16

Du boulot et du soleil, il n’en faut pas plus pour remonter le moral. Il est 13h30 quand je démarre de Simard, je vois mon Loulou qui rentre de la cantine, on se fait de grand coucou! Je file sur Dijon où j’attends quelques minutes mon papa qui est juste derrière moi, on monte gentiment par la nationale, je trouve qu’il y a de plus en plus de monde, peut-être que les restaus routiers vont récupérer de la clientèle malgré les temps qui courent. La N2 de Laon à Maubeuge sera tranquille se soir, pas un tracteur pour nous ralentir! Il n’est pas tout à fait 22h quand on se gare à Boussois.

Je fais mon provocateur

Là on voit qu'il y a du monde sur les nationales (rond-point de Vitry)

Mardi 17

On charge de bonne heure avant que le reste des troupes n’émergent. Le temps de passer en Belgique pour faire du gasoil, et me revoilà reparti avec mon père en direction de Valenciennes. Arrêt lavage pour Francis, je refais soudé ma poigné de porte qui m’est resté dans les mains il y a quelques semaines, une bonne douche, et c’est reparti. Encore un grand moment de tourisme aujourd’hui, c’est un peu avant Rouen que l’ont reprend l’autoroute. La descente Rouen-Alençon doit être la route la plus chiante que je n’ai jamais fait; je n’ai pas compter les ronds-points, mais punaise, y’en a un paquet! A Alençon, papa me laisse en plan pour descendre sur Le Mans; mince, faut que je regarde où je vais! Je fais ma coupure quelques kilomètres plus loin, et me fait sévèrement sortir de mes rêves par un V8 qui respire plein poumons; c’est Vonvon qui vient juste de passer et malgré mes appels à la cibi, il reste muet. En redémarrant, je surveille les routiers qui sont sur mon chemin en espérant y voir son Scania garer quelques pars, bingo! Le dernier restau avant que je n’arrive à Fougères! On mange à la même table mais pas vraiment ensemble, on se rattrapera au café. Super rencontre, il ne reste plus qu’a aller à l’usine à 2 rond-point de là et traîner sur le forum jusqu’à près de minuit.

dépot Maury de Bapaume

rencontre avec Yvon

Mercredi 18

Et bien heureusement que j’ai dormi chez mon client, c’est lui qui me réveille ce matin, complètement oublier de mettre le réveille. En reculant pour poser, je vois 3 autres tiroirs qui entre dans la cours. 9h, je me sauve comme un voleur, il faut que je charge ce soir à Moustier, donc la remonté se fera par l’autoroute. Une pause douche et déjeuner après Rouen, je passe par le dépôt et surtout entre les rouleaux pour dépoussiérer mon ensemble. En prenant ma taxe à la sentinelle, j’y aperçois une chier de Willy en solo, on se croirait un peu dans un camping. Je complète le peu de gasoil qu’il me manque et vais charger à Moustier, je serais tous seul dans la cours, quelle plaisir de manoeuvrer dans ces conditions! En regardant mes heures, j’hésite par rapport à la route à prendre, il faudra trouver un parking très vite et vu l’heure qu’il est... C’est sur Namur que je trouve mon bonheur, pas vraiment au calme mais bon, ça va le faire.

Rouen

hé ben moi, je me suis arrêter!

camping Willy

Jeudi 19

Bon aujourd’hui c’est cool, j’i juste à rouler et le plus gros soucis de la journée va être de prendre une douche, dur! Je descend par Luxembourg, mange un morceau vers Toul. J’ai ordre de ne surtout pas passer par Chalon, il y a là de vilain chauffeur italien prêt à me piquer mon chevalet, on marche sur la tête... Ça m’arrange, je passe par l’A39 où je croiserais Nicolas qui rentre à la maison, je lui pique sa carte du Grand St Bernard pour demain. Je file jusqu’à Épierre où je serais seul sur le parking pendant plus de deux heures; impressionnant!

celui là j'aurais bien voulu le prendre à l'arrêt

parking pour moi tous seul

Vendredi 20

Ben oui, on était trois sur le parking cette nuit, y’a vraiment un ‘blème! Même la monté (et la descente d’ailleurs) est déserte! Passer côté italien, c’est la pluie qui m’accueille; connasse! Je m’étais habituer à avoir un camion propre. 10h40 je suis dans la cour de Eurostock, je vide et reprend un chevalet vide. Petit tour à l’atelier pour voir d’où viens cette satanée fuite d’huile. C’est au niveau de la distribution à l’avant du moteur, donc 1 bonne journée de boulot. On verra ça normalement lundi, je file à la douche et à 12H45 je me sauve et je suis dépité de voir les routes bien sèche avec le vent qu’il fait, purée, j’aurais pu laver un coup! Il sont bizarre les italiens, il y a des jours comme aujourd’hui où personne ne roule, ils avancent pas! Une fois passer Turin, le flot de véhicule se raréfie, comme ce matin, pas un chat, pas de français qui remonte sur le Mt blanc. Moi, à Aoste je pars sur le St Bernard, les paysage sont superbe avec toute cette neige. Sortie de Suisse par Vallorbe et descente sur le Jura, je fini à Lons pour ce soir, énervé, je suis à 45mns de la maison!

c'est grave docteur?

c'est pas beau hein?

ben moi j'arrive de là bas

Samedi 21

Je pars de bonne heure, passe par le village de mon papa récupérer sa remorque qui est chargé pour Cuneo; lundi, opération à coeur ouvert, le camion hein, pas mon père! Sont bête eux!

Dimanche 22

Lundi 23

Il y a des coups de fils qui font plaisir à recevoir le dimanche soir, celui que j’ai eu hier soir ma éviter un départ à 22h comme je l’avais prévu. Je dois descendre à Cuneo, mais c’est surtout pour de l’entretient que j’ai réclamer un chevalet pour redescendre, cette fuite d’huile traîne depuis quelques mois et vu la masse de boulot du moment. Donc j’ai eu contre ordre, je pars tranquille ce matin, tellement tranquille que je me paie le bouchon organiser par les bressans à Louhans le lundi matin. Je prends même le temps d’attendre Christophe qui c’est permis de partir encore plus tard que moi; j’vous jure, ces patrons! Une descente par les Dombes, reprise du grand ruban à partir de Lyon. Je retrouve John à Chambéry, il roule pour un tractionnaire italien de notre maison, sympa le bout de route en sa compagnie. J’arrive à Cuneo en fin de journée, j’annonce mon arrivé à Silvano, je lave mon ensemble tranquille et même de commencer à nettoyer mes jantes qui en ont bien besoin.

encore un pénible en plaque orange.

LE camion que je devrais avoir lol, 500XL!

Prototype Iveco camouflé pour des essais

Mardi 24

Le tracteur décroché juste devant les portes pour avoir un moteur froid au moment de rentrer au garage, 8h30, je suis en place, cabine levée, il n’y a plus qu’à attendre. Je vais en profiter pour prendre ma douche. Je vais voir Max pour connaitre la suite des opérations, je chargerais pour Voiron, pas de quoi sauté au plafond, je crains que la semaine soit courte après ça. Du coup, je taxe le vieux camion de cours, un eurotech, pour vider et rechargé ma remorque, une fois fait, je la met vers le ’gommiste’ pour changer et retourné des pneus. 16h, fuite réparé, culbuteurs réglés, remorque raccrochée, je suis parti plus tôt que je ne le pensais, tant mieux! Un arrêt au grand bosco pour remplacé une ampoule qui à péter me fais tomber sur PetitPomme qui termine sa coupure, on grimpera jusqu’au Fréjus ensemble, mais plaque orange oblige, je continue ma traversé tous seul comme un grand. La croisure avec les frangins Dussol est un vrai plaisir de nuit, magnifique!!! 22h je me pose devant mon client, c’est sous un mélange de neige et de pluie que j’irais me coucher, pas cool.

Silvano, italien...

lifting approfondi pour une mamie

encore une pénible en plaque orange!

Mercredi 25

A 8h, je dépose mon chevalet, je profite du temps que j’ai devant moi pour réparé ce feux dans ma casquette qui merdouille depuis hier. 9h et des brouettes, la sanction tombe, retour à la casa, rien à foutre pour la fin de semaine, fais chier! Retour à la maison pour 14h, espérons que le coup de fil de vendredi sera porteur de bonne nouvelle.
Bonne fin de semaine pour tous et surtout un bon week end.

sont de sorti, faut faire du chiffre!

Bon je l'ai faite aussi celle-là Régis.

Jeudi 26

 

Vendredi 27

 

Samedi 28

 

Dimanche 29

Lundi 30

5h30, il est 5h30 quand je démarre ce matin, ça fait un sacré moment que ça ne met pas arrivé de partir si tôt un lundi, mais bizarrement j’en suis tout content. Je passe par Crissey compléter le peu gasoil qu’il me manque pour monter à Moustier et c’est parti. Pas de national ce matin, il va pas falloir traîner aujourd’hui, je charge à Moutier pour vider ce soir à Zeebrugge. Je monte tous seul comme un grand, je croise mon Loulou 61 juste avant d’arriver au Lux, encore une occasion rater, champion du monde! Bien entendu, quand il faut pas traîner c’est là que l’ont trouve des déviations à la con, et surtout ce satané passage à niveau fermé plus de vingt minutes sans qu’aucun train ne passe, je fini par faire demi-tour, perte de temps!!! Une fois chargé je suis dans les temps, je serais à l’heure à Zeebrugge avant 18h malgré mes 27t de charge, ça déconne pas le cabotage en Belgique. Une fois vide, je n’est plus qu’à me poser à la sortie de l’usine, le disque est plein!

oui, encore un DAF

P***** de passage à niveau!

heureusement que je suis au plat pays

Mardi 31

Le réveil sonne un peu moins tôt ce matin, je passe par Valenciennes, je passe entre les rouleaux pour la toilettes du matin, le camion, pas moi! Dépose des papiers et je retourne charger à Moustiers en fin de matinée. Cuneo pour jeudi matin, j’ai le temps de faire! Mais c’est sans compter sur Thierry qui m’annonce pour demain après midi sur place en prévision d’un éventuelle rechargement. Du coup pas de perte de temps non plus cette après midi. Je sais pourtant qu’il y a un « King » qui est sur mes traces, il est deux heures derrière moi, à l’affût… C’est à Langres où je me suis poser pour la nuit que Dridri me rejoint pour partagé un petit repas avant la déferlante d’un bus flamand chargé d’adolescent bruyant. Ouah, ça rime!

j'en ai de la pace pour moi tous seul

Roumain évoluant à 1m50 derrière moi

on ne le présente plus

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