Jeudi 2

Je suis pas dépayser ce matin enttirant les rideaux; il pleut toujours avec la même intensité, beurk! Je passe Torino sans trop de soucis, remonte via le Fréjus, et retrouve un temps sec coté Français. J’ai ordre de repasser par Crissey pour reposer la remorque de mon papa, dommage, elle va super bien, mais je devrais pas tarder à l’avoir attitré à mon tracteur. Je fais l’échange de remorque, j’en prend une vieille qui restera en Belgique pendant quelques jours, prend une bonne douche et continu ma route. Au niveau de Nemours, c’est papa Caroto que je croise, j’en aurais croisé du monde depuis lundi! Je me jette sur belle place sur une station d’autoroute au niveau de Fontainebleau, le disque rempli en bonne et du forme, impec!

Vendredi 3

Je me stresse pas ce matin, vu que j’ai rdv qu’à 13h à St Germer de Fly, et l’heure, c’est l’heure, je veux pas bouffer mon amplitude en attente. Café, douche et attendre l’heure où tous les parisiens auront embauché et je pars tranquille. Je monte par Gisors, pas la meilleur route du monde surtout avec le gros brouillard de cette fin de matinée. Je suis sûr place avant midi, je mange, et attend que l’on vienne me chercher. 13h mon chevalet est posé, 13h01 la première pile est enlevée, nickel chrome! Je pars bien avant 14h en direction du Noooord, Je fixe cette satanée jauge à gasoil, car hier en gros boulet que je suis, j’ai ’oublier’ de remettre du gasoil, autant dire que je sers les fesses. J’hésite à passer à Valenciennes pour remettre juste quelques dizaines de litres, mais l’ordi ne s’allume pas encore, ç’est tout bon pour aller à Velaines. Je reprend donc une Langendorf au dépôt de Marcinelle, équipé pour faire le train ils ont mis les feux de gabarits juste où il ne fallait pas, casser de chaque côté! Je passe chez Van Hoff remettre du gasoil, 900 et quelques litres. Il ne me reste plus qu’à reprendre le chemin de la maison, mais je crois que je suis pas le seul à prendre cette direction.

Samedi 4

5h30, je vois passer les hordes sauvage de touristes assoiffé de poudreuse, prêt à jouez des appels de phares et du klaxonne si un camion se met en travers de l’heure chemin… Je m’arrête pour boire un café à Toul mais vu le monde à l’intérieur, je préfère me le faire couler tranquille dans ma cabine peinard! Des bouchons sont annoncé sur Dijon, je sors à Is sur tille pour reprendre l’autoroute à Dijon sud. Je dois encore passer au dépôt pour re-changer de remorque, mais sans compter sur le pot de départ de Serge qui s’en va en retraite, le temps de boire un jus de poire (si, si!) et je vire tous le monde du garage pour faire la manip’. Une bonne poignée de mains avec Sergio qui à des paroles qui me remonte bien le moral et je me rentre à la maison, il est 14h30. 4080kms cette semaine, voilà, ça aussi sa remonte le moral!
Bon week-end à tous.

Dimanche 5

Lundi 6

Je démarre à 13h ce lundi comme ça la coupure de ce week end sera bonne; il fait un beau soleil, j’ai récupérer ma mémère, je peu rouler tranquillement. Je passe par le Mt Blanc aujourd’hui, très peu d’italien sur la descente, j’ai un peu l’impression de rouler un samedi après midi. Pause courses à Aoste, mon papa prépare son pot de départ en retraite, faut prendre les munitions! J’y rencontre un des frère Bazin qui un lecteur régulier du site, j’ai baver en arrivant devant son beau 520XL, j’adore! A l’heure où je traverse Milan, je suis tranquille, pied dedans; un bon CD de Ben Harper finisse de m’accompagner jusqu’à Ponte San Marco, je me pose juste devant chez mon client, il est trop tard pour entré dans la cour, un petit repas et à 23h je me couche.

Mardi 7

J’aime bien venir chez ce client, une belle cours où il y a de la place pour manoeuvrer, un chevalet d’avance, je mets moins de 20mns pour déposer mon plein, reprendre le vide et repartir, j’adore quand un plan se déroule sans accroc comme dirais le grand philosophe Hannibal Smith! Culture quand tu nous tiens... Je patiente un peu pour connaitre la suite des réjouissances, Cuneo pour recharger ou une remonter à vide via la suisse jusqu’à la belgique. La première solution sera la bonne, je charge à Cuneo mais que demain matin. J’y suis en début d’après midi, je profite que personne ne sois sur le lavage pour nettoyer mon nettoyer mon ensemble, ma remorque n’as pas vu le lavage depuis 3 semaines maintenant. Après ça, je me cale dans un coin, vire tous ce qu’il y a dans la cabine pour faire un grand ménage de printemps. Une bonne douche pour le gars et j’ai plus qu’à me mater un bon Divx pour finir cette journée bien tranquille.

Mercredi 8

Il fait déjà un beau soleil quand je me lève ce matin, je bois mon café et vais voir si ma commande est prête. 8h30 je suis chargé, je vais prendre ma douche avant de partir et c’est parti. Le gardien le plus sympa du monde me souhaite de passer de bonne fête de pâques. Une fois passer en France, je fais ma coupure au niveau de Epierre. J’en profite pour repasser par Crissey pour remettre un peu de gasoil vu que je ne connais pas le reste du programme, j’ai horreur de serrer les fesses comme la semaine dernière, je vais avec Pierre chercher 2-3 bricoles à la grande surface d’à coté. 18h on se remet en route, Pierre part pour Douai, nos chemin se sépare à Beaune. Moi je continu jusqu’à Auxerre, j’hésite un moment à monter plus loin, mais vu que je vais arriver avec presque 24h d’avance chez mon client, c’est peut être pas la peine de tirer sur les heures. 20h je me jette sur la place la plus éloigné de la station,, je comprend toujours les mecs qui se garent en vracs derrière les autres alors qu’une vingtaines de place libres attendent sagement au fond!

Jeudi 9

7h, le gars est prêt à partir, la machine aussi d’ailleurs! Après quelques bouchons sur la francilienne, j’arrive quand même à Collégien avec beaucoup, beaucoup d’avance, je fais l’innocent en portant mes papiers, la réflexion m’est faite, mais bon, il n’y a pas de soucis. Je renvoi un message à Thierry, je nettoie un coup mes vitres et pare brise, vais à la douche et à 11h30 voilà mon chef qui me rappel pour m’annoncer la bonne nouvelle; je laisse le camion à Valenciennes pour ce week end! Heureux, il est heureux le gars! Bon, voyons le bon coté des choses, il y a Pierre pour me redescendre, c’est déjà pas si mal, je fini par reprendre mon chevalet pour midi et commence à monter. Je m’arrête manger une fois sorti de la région parisienne, et en milieu d’après midi je suis sur place. Je trouve Pierrot qui est déjà sur place et qui attend ses instructions pour savoir quelle remorque il lui faut raccroché pour redescendre. J’apprend que Phiphi est également du voyage, le départ, se sera que demain matin, il reste plus qu’à faire chauffer quelques merguez sur un coin de chevalet tel les roumains moyen, ont s’en fout, on rigole bien quand même!

Vendredi 10

La douche est prise, le café bu, Pierre raccroche sa taut’ et dépose les cadres vident ( qui servent à charger du verre, mais en bâche) et on est parti. On se partage un peu le volant, et on s’arrête manger à la sortie de Reims vite fait bien fait. C’est Limp bizkit qui nous accompagne, et Phiphi manque deux ou trois fois de se jeter par la fenêtre tellement le son est fort, très fort! 17h nous sommes à Crissey, Mr Bauland passe nous dires bonjour, c’est agréable de le voir en bonne forme, quelques minutes plus tard, ma moitié viens me chercher et retour à la maison, bon week-end à tous

Samedi 11

Dimanche 12

Lundi 13

Mardi 14

Boudiou, qu’il est tôt ce matin quand je pars de la maison, 4h30 quand je mets en route ma Benz super 5 GT commercial. 5h je suis au dépôt et ce matin je fais du rapatriement de matériel usé, je remonte le camion le camion de Serge qui est parti en retraite il y a quelques semaines. Je raccroche, met un chevalet dans la remorque qui elle aussi remonte dans le nord et à 5h30 je suis prêt à partir. J’arrive à 13h30 à Valenciennes, descend mes affaires que je jette dans mon pépère, redonne les papiers de l’ensemble au bureau et je sauve vite fait charger à Boussois, il faut que j’y sois impératif avant 16h. Heureusement que j’ai pris ma vignette à Valenciennes, le station de Maubeuge est fermé pour travaux, ouf! Il fait super lourd cette après midi, je suis pas surpris de trouver un sacré orage une fois passé côté Belge. J’arrive pile poil dans les heures à Athus pour vider ce soir, une fois fait, j’ai plus qu’à me trouver un coin à l’ombre en attendant que Zim passe me dire un p’tit bonjour. 22h30, je passe dans la position allongée. Tshüss!

Mercredi 15

J’ai cru que c’était la guerre cette nuit au Luxembourg, j’ai entendu de gros boum deux ou trois dans la nuit, bizarre, mais ça ne pas trop perturber. 7h après mon sceau de café, je suis prêt à repartir, je vois que j’ai assez de gasoil pour remonter jusque chez Van Hoff, je referais le plein là bas. La surprise du jour viens que je dois charger en deux fois aujourd’hui, et oui, du groupage sa m’arrive de temps en temps. L’autre surprise est que quand j’arrive à Moustier, ce ne sont que deux piles que je dois charger mais sur un chevalet de type L; impossible pour moi et ma vieille remorque! La solution sera vite trouvée, on échange de commande avec Phiphi, dommage, c’était pour Périgueux. Du coup je suis parti pour Chalon, je vois la semaine se terminer très vite, mais c’est sans compter sur mon Thierry qui m’a déjà trouver de quoi m’occuper pour la fin de semaine. Beaune, sous les nuages et quelques gouttes, c’est là que je passerais ma nuit.

Jeudi 16

Encore levé tôt le gars ce matin, 4h 30, je suis bon pour aller poser ma remorque à Chalon, c’est Philippe qui va aller la vider à 8h à 2 bon kilomètres du dépôt moi je raccroche l’ancienne remorque de mon papa, une Faymonville mais bien plus récente que celle que j’avais depuis presque le début, ça fait bizarre de laisser ma mémère, on n’en aura fait des beaux voyages ensemble, mais place à un peu plus de modernité. Dès les premiers pas sur autoroute je me dis qu’il manque quelques feux dans mes rétros, note pour plus tard, vivement un tour de Hollande. Je monte charger à Boussois et comme lundi, il faut que j’y sois avant 16h, ce sera sans problème. Une pause café, douche à Perthes, se sera la seule pause que je ferais pour monter. Il pleut comme une vache qui pisse, la belle remorque bien propre que j’ai accroché ce matin se salie au fur et à mesure et ça ne s’arrange entre Laon et Maubeuge, hummm, j’adore cette route les jours de pluie. Je suis les doigts dans le nez en tous début d’après midi à Boussois, charge et redescend jusqu’à Laon, j’ai plus qu’à rentrer, donc grasse mat’ demain matin.

Vendredi 17

La grasse mat’, je l’ai faite, j’avais programmé le réveil, mais pas mis l’alarme donc je me lève à 6h30, bois mon café et je repars gentiment. En comptant large, je serais bien avant 14h à Crissey pour redonner mon chevalet à Stéphane, lui qui habite sur Lyon videra lundi 1ère heure à St Priest. Je descend sous un soleil timide certes mais soleil quand même, et qui dit soleil, dit lavage! Euh ouais, je viens de l’inventer celle là… Donc à Crissey je pose mon chevalet à Stéphane qui est là depuis 5mns, je sors, et me met en piste pour le bal du Karcher. 2h après, sa brille, c’est beau, je récupère mes affaires dans mon ancienne remorque, reprend un chevalet et je rentre à la maison et là surgit le drame! 3kms avant d’arriver je reprend une averse, j’y crois pas, ch’suis dégoûté! Je jure tous les gros mots que je puisse connaître en décrochant ma remorque, le papy qui pêche juste à coter doit se poser des questions. Aller, je vais quand même passer un bon week end, à lundi ou mardi ou mercredi… je sais pas encore ce que je fais en début de semaine.

Samedi 18

Dimanche 19

lundi 20

C’est un an plus vieux que je me réveil en ce début de ce semaine, et ben ça va, je suis pas encore pourri! En milieu de matinée alors que je suis en train de mettre mes affaires dans le camion, le téléphone sonne, Karine me préviens et je vois que c’est Thierry qui ma appelé; j’ai vite fais de le rappelé, c’est bon, j’ai trouvé un job pour les 3 jours à venir. Je suis obliger de repasser par Crissey changé de chevalet, bien entendu celui que j’ai repris vendredi n’ira pas pour charger à Zeebrugge.
Au moment de partir, j’envoi un texto (un truc de jeune) à Phil qui dois monter sur la région parisienne; bingo, il n’a pas encore passer Chalon. On fait la monté ensemble et au moment de faire la coupure que je me rend compte que Phil à vieilli, il marche au ralenti, se tient le dos, mais en fait, c’est pour me faire bosser qu’il simule honteusement! Le passage de la francilienne se fait à fond de régule de A à Z, je laisse mon Philou se promener à Villepinte pendant que je continue ma monter sur la belgique. J’hésite un moment à l’arriver sur Lille de suivre la direction Tournai, mais en bon petit soldat, je m’exécute, je trouve vraiment long cette déviation à la con. Bien entendu à l’heure ou j’arrive à Brugge, je ne devrais pas avoir à ralentir, 23h, je me pose sur un des rares renfoncement qui servent à ce garer dans le chemin d’accès de l’usine.

Mardi 21

8h pile poil, je rentre dans l’usine, le café est en train de couler faut que je fasse gaffe de ne pas benner la cafetière, déjà 2 camion devant moi, au moins j’aurais le temps de le boire le café. Les deux ne prennent que des petits paquets et en moins d’une heure, ils sont partis. Le problème de Zeebrugge, c’est qu’ils chargent au fur et à mesure, donc je pose mon chevalet, je vais à la douche, et quand je reviens... Il y a toujours rien de fais! Ok, il est déjà 9h30, ça promet. J’en profite pour remplir ma paperasse, et comme je l’avais un peu pensé, c’est à 11h que je repars. Je repasse en france par la frontière de Mouscron, et en fait je m’aperçois qu’il ne faut pas plus de temps en passant par là, donc pas de regret pour hier soir, je descend par l’A26 et je commence à apercevoir le soleil en début d’après midi. Je m’arrête manger en milieu d’après midi DANS MON CAMION où j’ai super bien manger, au calme et personne pour me prendre la tête. Je repasse en début de soirée par Crissey et aussi m’être un coup de balais sur mon pare-brise souillé par des moustiques kamikazes. Avant 22h je me gare entre deux frigos mais c’est cool, il ne tourne pas. Le Danois à ma gauche si je peu le photographier demain matin....

Mercredi 22

Ben sur les deux frigos, il y en a un sur les deux qui c’est fait engueuler dès le réveil; faire tourner son moteur pendant plus d’un quart d’heure alors qu’il avait toujours pas tirer ses rideaux, voilà le genre de truc qui m’énerve du grand matin, et il la su au moment où je gueulais comme un putois en tapant à sa fenêtre, non mais! Bon ben vu que je suis réveillé, je met ma caf’ en route et je déjeune tranquille, j’en profite pour prendre une photo du R500 à coté de moi, j’ai pas tous perdu. J’arrive avec 1h d’avance à Poncharrat, mais il est 9h passé et Stéphane a fini de charger ses camions, je pose donc immédiatement. Je suis surpris de recevoir par message le reste du programme pour cette semaine, je n’y croyais pas trop. Bon je remonte et vais manger avec Nicolas qui trimballe mon ancienne remorque, ça me fait bizarre de la suivre comme ça. Vu la suite des événements, je profite d’un max de nationale cette après midi, je monte jusqu’à un petit bled entre Haute-Marne et Vosges. J’ai le temps de me mater un bon filme tranquille ce soir, je verrais un renard passer juste devant la cabine, tranquille!

Jeudi 23

Que c’est agréable de se faire réveiller par le chants des oiseaux, sa aurais pu y être celui du lama, mais je sais pas quelle bruit peu faire cette bestiole... Autant vous que démarre sans user les ampoules ce matin! Je fini ma visite des Vosges pour l’instant. Je complète mon gasoil à Rodange et comme à chaque que je suis pas pressé, il n’y a pas un chat! Je vais charger à Athus, il est déjà midi, mais je suis tous seul et on m’amène mon chevalet presque tous de suite, c’est pour ressortir de l’usine que je vais miséréré une bonne vingtaines de minutes; vu qu’il n’y a pas (plus) de gardien, on s’enregistre sur un ordi qui nous délivrent un pass pour entré et ressortir de là. Pas de bol, cette p****** de machine de m***** veux pas me laisser sortir, retour au poste de chargement, on me dit que c’est bon, je remet la carte, elle veux toujours rien savoir, machine raciste!!! Le troisième passage sera le bon, non mais, j’avais commencé à sortir la barre de cric moi. Allez je me fais un p’tit Mc Do à midi c’est la fête, et surtout je vais me chercher cette oreillette blutooth qui me manque depuis que j’ai changé mon téléphone, j’en peu plus de ces fils dans tous les sens. Je prend ma douche en peu plus tard à Pont à Mousson, et j’entame ma descente via les Vosges j’aime bien passer par là que par Neufchâteau, la route y est bien moins dur pour mon 420; cette fois c’est Maxime qui me klaxonnera comme un gaga au moment ou je recoupe un petit quart d’heure avant Vesoul, on c’est louper de peu, il redémarrait du parking également. Je stop au milieu de la pampa encore une fois, je n’ai pas de réseau pour me brancher sur internet, tant pis, un filme (bien naze) et je vais me coucher, j’entame un nouveau bouquin, j’aurais du commencer par ça d’ailleurs...

Vendredi 24

Rien de bien transcendant aujourd’hui, à partir du moment où je démarre, il me reste 2 h de route à peine pour être à la maison, j’ai presque l’impression de rentré un samedi matin avec mes croissants. Ciao, bon week-end à tous.

Samedi 25

Dimanche 26

Lundi 27

Bon ben voilà une petite semaine qui commence, 8h, je viens de raccroché, je me sauve. En arrivant sur Chalon j’hésite une seconde pour savoir si je vais au dépôt pour une séance de lavage, et je me rappel vaguement le bulletin météo d’hier soir… Je passe mon chemin! Arrivé à la croisière, nous sommes dévié sur l’autoroute en direction de Paris pour ensuite reprendre la route en sens inverse: 16kms de détours! En arrivant sur Limoge, j’envoi un petit sms à Sandy, coup de bol, elle est à son dépôt à Brive. Je me gare au milieu des frigos et fait ma coupure avec elle, super sympa la rencontre! Je reprend ma route en direction du sud ouest sous les orages, j’ai bien fait de ne pas laver ce matin. J’arrive à Bon Encontre en tous début de soirée, mange un morceau, et me branche sur le forum; j’y retrouve Toto47 à qui j’envoi un message pour lui signaler ma présence sur Agen; quelques minutes plus tard il débarque avec un Zaphira volé pour passer une partie de la soirée vers moi, plus tard on ira se boire un café à Agen, cool la deuxième rencontre de la journée. Je vais me pieuté encore bien tard ce soir, maudit ordinateur!!!

Mardi 28

J’ai bien du mal à sortir de mon lit ce matin, je prépare mon café, il est 7h15. Prêt à boire « mon délicieux nectar qui réveil le gars qui as la tête dans le luc », un des ouvrier vient me chercher et me demande mes papiers pour connaître les référence que j’amène, dans la seconde, il me demande de me mettre en place tous de suite, bête MAIS discipliné, je replace mon bazar pour ne pas foutre mon café partout et je pose mon chevalet. Le réceptionniste me demande à quelle heure je suis arrivé hier soir parce que, il aurait bien aimé avoir sa came la veille; bon ouais, je me pense que le camion est assez gros et que s’il ne pas vu dans la cour c’est pas des lunettes qu’il lui faut… Un peu avant 10h je reprend mon chevalet, j’ai bu mon café, pris ma douche, un homme nouveau, neuf, propre et prêt à aligner des kilomètres qui appel son chef; Thierry à bien vite fait de calmer mes ardeurs, je rentre à chalon! Bon ben du coup je vais faire un arrêt déjeuner chez mes grands-parents, ça fait quelques années que je les aient pas vu. Si les gourmet savaient ce que j’ai mangé… je continue tranquille ma remonté et je me pose pour ce soir sur la station entre Montluçon et Montmarault, j’ai pas vraiment fini mes heures, mais me garer plus loin va risque d’être périlleux.

Mercredi 29

7h je remet en route pour rentrer au bercail. A mon arrivé je me met sur la piste de lavage, papote 2 mns avec Philippe, et me prépare à enfilé mon habit de lumière; Thierry à vite fait de me calmer, je dois aller charger une Taut’ à quelques kilomètres d’ici. Je raccroche cette magnifique remorque, prend les sangles nécessaire et repars du dépôt; surtout faire attention au porte à faux! Je regarde mes rétros, j’y vois la moitié des sangles voler au vent, ça m’énerve! Je charge ma petite affaire, sangle consciencieusement, resserre ces sangles et rentre au dépôt. Je profite d’être en solo pour nettoyer mon châssis de fond en comble, l’ensemble suit juste après. Je vais rentrer avec ma vieille R5, celle qui traîne depuis quelques semaines sur le parc, bon viaduc à tous!

Jeudi 30