Mon Carnet de bord... Suivez mes aventures, semaine après semaine!

Janvier 2009

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Jeudi 1

 

Vendredi 2
Samedi 3
Dimanche 4

Lundi 5

Ouf, je reprends du service, et oui il Faut bien bouillir la marmite.
Il est 8H45, ma femme se sens d’Attac de monter à Roncq, il fait bien froid – 5°et il neige .Sur Fismes les routes sont encore glissantes, mais bon, ma femme en grande professionnelle de la conduite sur neige et sol verglacer se réjoui déjà, tout comme moi.
Nous parton donc, prudemment en direction de Soisson, puis St Quentin pour reprendre l’autoroute qui nous mène jusqu’à Lille malgré la neige et quelques glissades nous arrivons à Roncq chez mon patron à 11H35 .On file droit au camion. Il n’a pas bougé depuis le 10 décembre à la datte de mes congés. La première chose à faire c’est de démarré le camion car depuis le temps qu’il est là les batteries doivent être déchargé. J’avais vue juste, il faut que je vois un mécano pour le faire démarré ce camion, et je ne suis pas le seul dans mon ka, sans parler des freins bloqué par le gèle sur certain camions. (Pas le mien)
Une fois démarré avec l’aides des mécanos, je laisse tourné le moteur et je mes le chauffage puis je commence à ranger mes affaires, ( l’aide de ma femme es précieuse pour cette tache je fais le tour du camion, je voie que la remorque à étais ouverte , je regarde à l’intérieure et je vois que l’on ma voler mes barre d’arrimage , la je suis fou de rage ,il est déjà midi ,le patron es parti , je lui téléphonerais dans l’après-midi pour lui dire.
Il y à vraiment des chauffeurs qui non aucun respect au matériel des autres, aller volé dans un camion des choses à un autre chauffeur là vraiment et un collègue de la même
Boitte, j’en n’ai pour plus de 200 euro de vole, il aurai pris mes équerres ou des sangles là j’aurai râler un peut et j’aurai étais au garage en prendre d’autres mais mes barre là j’ai de la haine pour se connard (et le mot est faible) de chauffeur.
Je charge sur Lesquin 2 clients un sur le Havre et l’autre sur Caen, pour commencer l’année du bon boulot.
13H je suis à Lesquin, je charge dans 2 dépôts, c’es bien calme sur la zone et chez mes client très peu de camion, sa ira bien plus vite.
14H38 je suis charger, je reprend la route bien tranquillement, je passe pas Arras, Abbeville, je rattrape l’autoroute qui va sur Rouen et je bifurque pour prendre la direction du Havre, il est déjà 18H45, je vais pousser jusqu'à la station Esso de Bollville là au moins j’aurai de quoi manger, de la place pour dormir et demain je ne serai qu’à 30 km de mon premiers client.
19H15, je suis bien stationner là ou je veux, le parking n’es pas encore plein se qui démontre que l’activité n’à toujours pas repris. Je fais mes heures : 4H35 de conduite, oui je c’est se n’es pas grand-chose, mais je vous fais remarqué que je rentre de vacance donc il ne Faut pas me forcer dans ma tache et vue l’heure il faut bien manger. Pour le kilométrage je n’ai fais que 311 km pour un lundi c’es déjà bon.
Je téléphone à ma femme pour lui souhaité une bonne soirée, je vais manger un peu et regardé la télé, aujourd’hui le camion fera une bonne coupure de 11H voir plus.

je monte chercher mon camion
il fais froid et il y a de la niege , du verglas
et sa glice bien

Mardi 6

5H45, je suis déjà à la station le tant de me faire une beauté, puis déjeuné (je reprends mon train- train habituelle comme un rituel programmé).
6H15, il fait très froid on pelle dehors , c’est le grand départ pour une nouvelle journée de on travaille, je ne suis qu’à 36 km de mon client et comme j’ai RDV à 7H, j’y serai assez vite.

6H50, je suis au parking, un autre camion est déjà là et sa depuis hier soir donc il sera devant moi, le chauffeur me dis qu’il n’a que 2 palettes à vider, sa ira donc vite pour lui, moi je dois démonter la cabane et par se froid sibérien (- 6) je vais me geler.
7H45 je suis déjà parti pour allez en direction du Havre, je fais une pose café au centre routier et allez au toilette (gros gastro).

Je repars en direction de Caen, je passe le pont de Normandie et je file en direction du froid du calvados ou j’arrive à 9H20 chez mon dernier client, il y a 2 camions devant moi donc j’attends, je vais sur le net pour passer le temps. Un petit tour sur FDR pour lire un peu et je vais sur d’autres forum .Mon téléphone n’a pas chauffé se matin à croire que touts mes contacte sont encore en vacance ou endormis, pas grave la radio me tien compagnie. 9H46 c’est à moi de me mettre en place, j’ouvre le porteur et le cariste me vide et à 10H31, je suis vide .Je téléphone au petit chef pour la suite .Je recharge du PET pour vider demain à Verdun entre 10Het 12H, donc je rentre chez moi ,voilà une bonne nouvelle. Comme je ne suis pas trop loin, je ne suis qu’à 15 km de là à 10H50 je suis chez se récupérateur de déchet .Il me faut attendre devant la bascule vue le nombre de camion qui vienne vider toute sorte de matériaux à recycler (fériales, alu, plastiques, carton, ETC ….).
Même pour charger il y a de l’attente, le cariste termine un camion de carton et après il me chargera donc je suis en attente, j’en profite pour ouvrir le camion pour gagniez du tant et à 12H10 c’est à mon tour de charger. Le cariste me charge t à 12H45 je suis reparti. Je retraverse Caen, et je reprends l’autoroute qui vas sur Paris .Il y a deux route soi je prends l’autoroute, (à péage) je passe la grande poubelle et là je risque d’avoir des bouchons et là je perds du tant, et je reprends l’autoroute A 4 la plus cher de France .Donc je décide de passer par Rouen , Beauvais , Compiègne , Soisson et Fismes chez moi .Et demain il me restera plus qu’à faire Reims, et Verdun un petit 2H15 de route .
Je roule donc bien tranquillement, il y a du monde sur l’autoroute de Normandie que je quitte au nivaux de Rouen que je traverse et là je fais une pose pour manger et faire une coupure de 45 mn .IL a bien neiger dans la région et le froid persiste encore -2° ce qui promets encore une nuit très fraiche.
Il est 19H, je suis à mon parking, je biphone ma femme, je range un peu mes affaires, je fais mes papiers : 8H34 de conduite, pour 504 km, pour un mardi je dis que c’est très bien. Je vais faire une bonne coupure, je ne repartirai que vers 7H du matin, j’ai RDV à 10H demain .La soirée sera bonne et agréable auprès de ma femme et mes gosses.

je vide mon 2 client a Caen
il fais toujours froid - 5°

dans la file d'attente pour la bascul
pour charger le PET

les routes de normandi sous la niege

Mercredi 7

6H50, je profite que ma femme ramène un de mes enfants à la gare e Fismes car il prend le train pour Reims pour allez en cour.

7H, je suis au camion il fait très froid – 13°, je démarre le camion, sa fume, le webasto tourne pour réchauffer la cabine et à 7H15 me voilà parti pour une nouvelle journée toujours accompagniez avec le grand froid sibérien de l’Est de la France.
Je prend la direction de Reims , vu l’heure , sa circule sur la route et sa bouchonne avant d’arriver sur Reims , je prend la direction de chalon en champagne , je voudrais prendre la route de Verdun mais là la gendarmeries nous bloque la route , je vais donc allez jusqu'à chalon en champagne et bifurque pour rattraper la route de Verdun , bon un petit détour de 20 km .
Il fait toujours bien froid, mais la route est bien dégager, seiche et à 9H49 je suis chez mon client .J’attend un peu car il termine à vider un camion je vais boire un café, discuté avec d’autres chauffeurs qui comme moi vide du PET. 10H20, le cariste vient me chercher .Le temps d’ouvrir, de me vider il est déjà 11H10, je suis vide je quitte le client et je biphone au petit chef pour la suite. Je recharge à St Mihiel (55) pour Saultain (à coté de valencienne) à vidé demain matin pour 8H.
Je reprend la route , je fais une pose pour manger à la cafétéria de cora de Verdun et une petite sieste ,puis je repars en direction de mon lieux de chargement ou j’arrive à 13H09 .Je me suis pas le seul à être là nous somme 5 à attende l’ouverture de 13H30 .
14H3Oc’est à mon tour de charger mes conteneurs vide, sa pas trop vite et c’est à 15H19 que je quitte mon client.
Je vais remonté par les Ardennes, c’est un peut plus court et vue le poids j’irai bien vite .
je rattrape Verdun, puis je prend la route en direction de Sedan ,c’est une petite national que j’aime bien, on traverse de beau villages .Aujourd’hui il y à de la neige dans les pâtures , dans les champs , dans les sous bois , un beau paysage d’hivers que je contemple aujourd’hui , que de belle photos que l’on pourrai faire si j’avais le temps et le matos . Je roule donc bien tranquillement, je passe Sedan et me voilà déjà à Charleville Mézières et là vu l’heure je fais une pose pour casser la croute, j’ai faim.
Je repars après avoir fais une bonne coupure de 55 mn, sa ma fais du bien cette pose.
Je continue mon chemin en direction de Cambrais et je bifurque pour reprendre la direction de Maubeuge et je roule un peu, il y a du brouillard et en plus givrant, donc comme je ne suis plus très loin de mon client je décide de fais ma coupure de nuit un peut avant Maubeuge il y a un resto et un parking poids lourds.
Il est 20H10, je suis bien garé, je fais mes heures et mes papiers : 7H19 de conduite pour 449 km, c’est bien, je téléphone à mon amoure de femme pour lui dire plein de truc et plus que sa, on ce quitte en se disant des mos d’amour.

je vide mon PET à Verdun

la ou je recharge le parking une vrais patinoire
il aurai put salé

je vide mes conteneurs dans le froid
et le brouillard givrant

Jeudi 8

6H15, je n’arrive plus à dormir, je me lève, le resto et encore fermé, bon pas grave je déjeunerais plus tard.
6H30, comme je ne suis pas de patience,( mon gros défaut ) je ne veux plus attende, je décide de partir, oui je sais je serai à l’avance chez mon client, mais comme je sais que je ne suis pas tout seul à livrer des conteneurs chez mon client, je préfaire être le premier.
Le brouillard est toujours là, il fait encore bien froid – 4,5 °.
Je roule donc prudemment, je passe Maubeuge, et je file en direction de Valencienne.
Mon client se trouve du coté de Saultain, dans une grande zone et à 7H15 je suis chez lui .Je suis bien garé sur son parking, je vais au poste de garde, je discute avec le gardien et je retourne au camion, je suis le premier camion et il en attende deux autre pour se matin.
7H50, on me fais rentré, mais je doit attendre le cariste qui lui n’es pas pressé comme d’habitude .8H10, enfin le voilà qui arrive et il me dis que je doit vider dans deux endroit différant, se qui me faire perdre du temps, de toute fasson le client est roi, donc je ferai avec.
C’est bien long aujourd’hui et en prime un camion est en panne sur le trajet et je ne peux pas faire marche arrière donc je suis planté un bon 20 mn .Le temps de vider à es deux endroit et de sortir de cette usine il est déjà 9H39, oui sa étais bien long aujourd’hui.
Je téléphone au grand chef pour la suite, bon je recharge sur valencienne pour vider dans la foulé à Auxerre et j’ai RDV à 22H, et oui, je vide cette nuit.
10H15, je suis chez mon client, ils auraient pus déneiger un peu, sa patine chez eux, bon je suis à quai et c’est là qu’il faut avoir beaucoup de patience car on ma dis que je ne serai pas parti avant 14H si tout va bien.
Je passe le temps à discuter avec mes collègues et bien sur je vais faire un tour sur le net , le temps passe bien plus vite et comme convenue à 14H je repart du client , il me reste plus qu’à désandre sur Auxerre. Le plus rapide serais que je passe par Paris, si je veux faire des heures comme certain je passerai par Reims puis Troyes et Auxerre mais la je perdrais du temps .Mon chois fut vite fais je passe par Paris, vu l’heure sa devrai passer encore bien et comme je voudrais faire ma coupure de bonne heure chez mon client, il me faut gagniez du temps .

La déssante sur la grande poubelle se passe très bien, je roule normalement, le téléphone me tien compagnie un bon bout de chemin (pratique le kit main libre via l’autoradio du camion).
A l’approche de la capital, je consulte le net sur : http://www.sytadin.fr/ et la j’ai la situation du trafique en temps réelle sur paris et sa région .C’est sa d’avoir le net au camion on gagne du temps et dans notre métiers le tant perdu ne se rattrape pas .
Aujourd’hui je passerai par l’A3 puis le périphérique c’est la solution la plus sage car de l’autre coté il y a 4 accidents et là je perdrai du temps.
Avant 18H Je téléphone au petit chef pour mon rechargement de demain, je recharge à Nogent / Seine pour le nord, (du bon boulot) La ou j’irais, demain matin il ne charge pas l’après-midi et comme il y a toujours du monde je voudrais être chez eu de bonne heure et remonté chez moi en début d’après-midi.

La traversé de la grande poubelle se passe pas trop mal en un petit 3/4H et me voilà au sud de paris , je continu mon chemin , je passe le péage et là je fais ma coupure de 50mn , j’en profite pour manger un peut , je fais du net et je repart en direction d’Auxerre après ma coupure .
Il est 20H26, je suis chez mon client il me donne 2 quais et là je peu dire que ma petite journée est bien fini, bien que je serai réveillez dans la nuit par des gugusses un peu brut qui videront le camion avec une douceur de déménageurs.

Il fais bien froid dehors - 4, le webasto tourne déjà, je fais mes papiers 7H24 de conduite pour 434 km, vraiment petite cette journée mais rentable pour le travaille là c’es le plus important pour mon patron et pour moi aussi .Je téléphone à ma cher et tendre femme pour lui dire tout mon amour que j’ai pour elle, et je lui dis bonne nuit , je vais faire un peu de net et je dormirais un peu .

la ou je recharge c'est une vrais patinoir ,
mais il faut bien se mettre a quai et sa patine

Vendredi 9


6H30, je suis déjà debout, je ne dors plus depuis bien longtemps, je m’habille et je sors dehors, oh ! Là il fait bien froid, même pour pisser il faut du courage pour sa, je remonte vite au camion, je regarde le thermomètre et la je lie : - 8, j’aurai pu attraper un gros rhume en pissant dehors en petite tenue.( le kiki aurai pu s’enrhumé )
6H45, je décide de partir, la première opération sera de trouver un resto pour me laver, et déjeunée (j’ai faim ) , je roule donc en direction de Sens ,là au moins j’espère pouvoir me restauré. Je roule et je roule tout les bons restos sont fermé il me reste plus qu’un seul et là c’est la kata, la chaudière ne marche plus donc je ne débarbouille à l’eau froide et je ne vous parle pas du petit déjeuné (j’ai eu mal au ventre tout le restant de la matinée). Bon je repart en direction Nogent /seine je ne suis plus très loin et à 8H51 je suis chez mon client, il y a du monde et je doit attendre un peu pour un quai .Je discute avec les chauffeur en buvant un bon café bien chaud et à 9H20 c’est à mon tour de charger, on me donne 2 quai et à 10H33, les papiers en main je suis reparti.
Il me faut au moins deux bonne heures pour rentrer chez moi, et là j’ai tout le courage et la force pour les faires d’une traite .Je fonce pieds à font sur la pédale de droite tout en respectant la vitesse réglementaire.
J’aime bien prendre la route qui va sur Sézanne, Épernay, Reims, on y roule très bien et le peu de trafique routier me permet de gagner du temps, que de beau paysage surtout en période d’hivers.
Il y a bien longtemps que je n’ai pas traverser Épernay, sa à bien changer, ils nous on fait une déviation pour les PL, un peut plus rapide là je le reconnais mais on passe toujours un peu dans la ville.
La montagne de Reims est toujours aussi belle en hivers, je rattrapé Reims, je téléphone à ma femme pour lui dire que je rentre avant 13H et quelle me prépare à manger ( il vaux mieux prévenir c’est pas un resto chef moi )
Il est 12H46, je suis dans mon parking, je range mes affaires, je fais mes heures : 4H03 de conduite pour 250 km, là encore aujourd’hui elle n’a pas très grosse cette journée. Je peux dire que pour une reprise cette semaine fut très calme pour moi, oui là je constate que la crise ai bien la et que l’activité à du mal a redémarrer.
Je bip ma femme elle ne tarde pas à venir, il fait toujours aussi froid dehors .

au retour pour rentré chez moi ,
je traverse Epernay
et je passe à coté d'un cave de
champagne

Samedi 10
Dimanche 11

Lundi 12

4H , ma cher et tendre femme ,malgré un froid sibérien (- 5°) me ramène au camion .
Hier en fin de soirée je suis venu déjà pour ranger mes affaire et faire tourner le moteur , il faut dire qu’il à fais -15° dans la nuit de vendredi à samedi et pour dimanche elle n’à pas changer de beaucoup .
Le moteur toussote et à du mal à démarré même avec un bon préchauffage ,il tousse , et il démarre et fume blanc .Bon c’est déjà sa le moteur tourne , il me faut mettre le chauffage ( webasto ), et je retourne à la voiture pour me réchauffer un peu .4H15 je dis au revoir à ma femme et me voilà seul à mon triste sort de chauffeur routier qui débute sa semaine par un froids sibérien.
4H20 , le moteur est bien chaud , la cabine aussi .
4H30 je décide de partir, je file sur Soisson , la route est bien seiche, sa commence à bien circuler , la radio me tien compagnie jusqu'à 8h car à cette heure là je peu téléphoner à tout mes amis (es) .je fais une petite pose avant Lille pour un bon café etje repars pour ne pas changer sa déjà bloqué sur l’autoroute A1 il me faut plus d’une heure pour arriver chez mon client à Halluin (59).
Il est 8H15, je suis chez lui , on me donne un quai et là c’est l’attente car il charge leur camion et après il vienne me voir pour me vidé et la on peu passer un certain temps .
Il est 11H28, je suis enfin vide, je biphone au grand chez, il me dit de venir au dépôt et de venir le voir, j’en profiterai pour me faire réparé mon câble TIR car un de mes embout est casser. J’aurai bien voulu laver mon camion mais là comme il fait toujours froid le lavage est fermé, je resterais donc avec mon camion encore très sal. Je vais voir le grand chef, je recharge en Belgique de l’isolation pour deux client en France et je dois le rappelez une fois charger comme j’aurai encore de la place (il faut bien rentabiliser le voyage par un petit lot) . J’ai le temps de manger un peu , je vais donc au CIT de Roncq au milles patte , là je demande à manger que le menu du jour ,sa ira plus vite , un café , je prendrais ma taxe une foi fini à la frontière .
13H10 ,je suis chez mon client , je ne suis pas tout seul 3 camions devant , bon, j’en profite pour faire une petite sieste .14H13 ,le cariste frappe à ma porte c’es à mon tour . C’est bien long aujourd’hui car entre le chargement et la remise de mes papiers je ne repars de chez eux à 16H25.
Comme prévu, je repasse chez nous et je vais voir le grand chef pour le complément, il me dis de prendre 33 palettes Europe pour les rendre à un transporteur de Cosme /Loire, et oui il faut bien les rendre les palettes Europe.
une fois charger je repart donc en direction de Lille, vue l’heure, je tombe sur l’éternel bouchon du soir, oui il me faut plus d’une heure pour être de l’autre coté de Lille .La déssante sur paris se passe bien, mais pour sont approche là on pouvais sens douté sa bouchonne dure et là il me fau 1H30 pour être de l’autre coté de la grande poubelle. Je regarde mes heures, je voie que je peut rouler encore un peu je pousse donc jusqu’au péage et la je me gare au parking, il est 21H33 il reste de la place se qui montre encore la baisse de l’activité dans les transports routier.
Je fais mes papiers : 9H01 de conduite pour 556 km , pour un lundi c’est très bien , se soir je mangerai au camion ,je biphone à mon amour de femme pour lui donner de mes nouvelles pour là XX foie de la journée , on se dis des mos d’amours , on ce quitte le cœur bien triste nous ne somme que lundi et elle me manque déjà .
Je fais un peut de net , je lie mes messages , il est déjà 23H35 , il est temps de dormir un peu .

je vide il aurai pu mettre du sel , on patine poiur se mettre à quai

je recharge en Belgique de l'isolation

Mardi 13

6H15, il est heure de se lever, il fait bien frais se matin -3°, les 430 CV sont frigorifier, comme il n’y à rien sur se parking, je vais devoir rouler un peu pour déjeunée et faire un brin de toilette un peu plus loin.
6H35, c’es le grand départ pour une nouvelle journée, je fais un bon 40 km et je fais ma pose pour me laver un peu et déjeuner bien sur.
Un petit 20 mn ma sufi et me voilà parti en direction de ma livraison, je roule bien , la température se radoucie . Il est 8H45 je suis chez le transporteur, on me mes à quai et à 9H10 je suis reparti.
Mon premier chantier que je doit livrer c’est une rénovation de l’isolation du toit (terrasse) de la poste de Decize (58), elle se trouve en plein centre ville , en camion on ne peu pas y accéder ,donc je téléphone à mon client pour lui dire que l’accès à sont chantier .Il me donne par téléphone un emplacement ou il me rejoindras pour videz ces 7 palette d’isolation
Il est 10H50, je suis sur le parking, mon client est déjà là, sa va allez très vite pour me vider et à11H24 je suis déjà reparti pour allez à Chalon / Saône (71)
Mon téléphone de camion sonne, c’est mon chef qui me préviens que pour mon 2 ème client que le chantier est fermer et que je dois livrez au dépôt de Corbas .Sa va me rallonger pour cette nouvelle destination.
Donc changement de direction, je déssant en direction de Corbas au dépôt d’un de mes clients habituels .Je prend le temps de manger un peu de faire une petite sieste et me revoilà partis.
Il est 16H15, je suis dans la court, et on me vide de suite, vu l’heure, le cariste regarde sa montre et avec un petit sourire me fais comprendre que sa journée fini à 17H et que encor aujourd’hui il fera des heures supplémentaire pour me vider.
17H18, je suis enfin vide, je bip le très petit chef pour la suite, je recharge à Longvic pour Reims à vider demain matin à 7H30 et Soisson dans la foulé. Là il rêve le petit chef pour 7H30 à Reims, et ma coupure de 9H, et en plus une foie arriver à Longvic je n’es plus d’heures et je ne pourrai pas charger avant les 5H30 voir 7h du matin, ou au pire s’y il veule me charger quand j’arrive, là encor il ne faut faire mes 9H de coupure donc je ne serai qu’a Reims qu’en début d’après-midi, pas avant.
Je file donc en direction de mon rechargement, sa commence à bien faire froid, il y à déjà du brouillard givrant, et les arbres et l’herbes sont déjà givré, la température est déjà à – 3,5°il va faire froid cette nuit. Et c’es à 20H32 que je suis chez eux, les chargements sont prévu pour moi à 23H30. A cette heure là je dormirais et même très bien donc je leur dis que pas avant 5H30, quant le camion aura fais s coupures de 9H et pas avant.
Se soir je mange au camion, je téléphone à ma femme, je fais un peu de net, entre deux je fais mes papiers : 9H53 de conduite, pour 699 km.
Il est 22H45, là je suis fatigué, je me couche.

c'es dans cette petite rue que je doit
rentrer , mais je ne peu pas trop grand le camion et trop gros

et c'es sur une petite place que l'on me vide
mon isolation

 

 

Mercredi 14

Il est 4H45, je suis debout, dehors il fais très froid, d’après la radio il y a du verglas sur Dijon et déjà de nombreux accident sont à dénombrer sur les routes, donc la prudence si je par de bonne heure. Je vais au toilette , me faire une petite beauté, et discuter avec le distributeur de boisson chaude .Je vais voir le chef pour savoir à quelle quai je pourrai placer mon camion .Là il me regarde et avec un grand sourire me dis : mais on ta attendu à 24H et tu n’es pas venu donc nous à 5H30 ont à fini notre journée et tu sera charger qu’à 8H du matin avec l’équipe du matin .
De toute façon, je ne vais pas me battre avec eux, je file au camion et à 7H je téléphonerais au chef pour lui dire.
Comme prévus et pas avant car sa ne servirai à rien je préviens le grand chef de la mésaventure à Longvic et je me replonge dans mes rêves.
7H55 , je vais voir l’équipe du matin , on me dis d’attendre un peu , il y a du monde avant moi .8H10 , on me donne un quai et là ils vont très vite car à 9H15 , je suis déjà repartis , il me faut donc que je file sans perdre du temps , si un peu car je doit déjeuné , prendre des forces , une petite halte de 17 mn et me revoilà partie en direction de Reims.
13H35 , je suis à Reims , mon client ouvre les portes à 14H des fois plus tard , j’en profite pour casser une petite croute , la route donne faim .
14H15 , je suis à quai , on me dis que je suis en retard , moi non , je ne suis jamais en retard, j’ai prévenu chez nous , et il on du faire le nécessaire pour téléphoné au client de mon retard , de toute façon ce que j’ai dans le camion il en mon besoin donc pas de polémique il me videront quand même .
14H58 , je suis déjà reparti , là il faut faire vite car Soisson il ferme de bonne heure .Le peit chef me bip pour les nouvelle , je lui dis que je file à Soisson et là je lui dirai s’y je peu vider encore car il ferme à 17H .
pas le temps de faire une pose de 5 mn chez moi, je passe mon village et à 16H10 je suis dans la cour du client, je décroche titine et me voilà à quai , je fais l’échange de palette Europe vide et à 17H10 , je sort et je biphone le petit chef pour la suite .
Je recharge des bouteilles vide pour l’Alsace, mais je dis au petit chef que j’ai des palettes dans le camion et qu’a la verrerie il ne veule pas me charger s’y j’ais des palettes, là c’est un gros problèmes, je vais donc chez mon client pour voir si par miracle , ou si la chance est avec moi , des fois sa marche ,on peu laisser les palettes et sa dépend du chef d’équipe. Comme je suis à coté il me faut que quelque minute pour arriver chez eux .Il est 17H20 , Je vais voir le chef , je lui dit mon numéro de chargement et là il me dit que c’est à charger demain matin , je lui dit si on peu pas le faire aujourd’hui , et bien non il attend encor 4 camions et que sa ferme à 18H30 et pour mes palettes il n’en veux plus trop de problème pour les stoker et sa leur prend du temps à les vidé donc il me dis de revenir demain matin sens les palettes pour le chargement .
C’est vraiment de la merde ces palettes Europe, plus personnes ne veule les prendre pour que l’on puisse recharger. Bon je biphone au petit chef pour savoir ou je vais les mettre ces palette demain.
La solution il me la trouve, je vais devoir retournée demain matin chez mon client là ou j’ai vidé et demander de les décharger, car un autre camion de chez nous dois venir videz chez eux.
Vu comme sa, s’a m’arrange, comme je ne suis pas très loin de chez moi, je file en direction de Reims.
Il et 18H je suis à mon parking, je bip ma femme, dans l’attente, je fais mes papiers : 6H49 de conduite pour 435 km, je range un peu mes affaires et voilà que ma femme arrive . La soirée sera belle et bonne, un des bon coté de rentré en milieu de semaine .

il fais froid , je suis à quai pour enfin charger

il y a du verglas et un camion c'es coucher sur l'autoroute sur dijon

il est 14H15 , je suis à quai on me vide ,j'étais attendu depuis se matin 7H30

Jeudi 15

6H45 , je suis au camion , j’ai fait une agréable et bonne coupure , un peu de rangement dans la cabine et me voilà repartis , il est 7H du matin , le but de se matin c’es de pouvoir ne faire vider mes palettes et de recharger pur vidé en fin d’après midi en alsace , là c’est possible si tout le monde mes un peu la main à la patte .
7H35 , je suis chez le client , et là je demande bien poliment si je pet laisser mes palettes chez eux pour que mon collègue qui lui doit venir dans la matinée vider et comme sa il reprendrai ces palettes et le mienne , et bien non il ne veux pas , il me faut donc attendre sa venu pour faire le transfère , il y a des client comme sa sur terre , moi je ne voie pas le problème pour m’interdire l’entré et déposer les palettes qui seront reprise plus tard par un autre chauffeur . Et encore une foi, je ne vais pas me batre contre un client stupide.
Je bip le petit chef, je lui demande s’il y a une autre solution, et bien non plus personne ne veux de ces palettes , Je dois attendre et là pour attendre, j’attent.
Il es 11h, je suis en fin débarrasser de ces palettes, je file pour charger mes palettes de bouteilles, je doit attendre un peu il y a du monde, vu l’heure je ses que pour moi je ne pourrai pas vider ce soir , je prendrai donc mon temps pour monté .
13H, je suis sur la route, je bip ma femme pour lui dire que je rentre pour manger, que je ferai une pose de 2H et que je repartirai pour l’Alsace.
Sa fais encore du bien de rester à la maison, c’est bien rare ces moment là avec ma femme enfin seul, plus de gosse, pas de contraint à la maison pour pouvoir profité pleinement de sa femme.
Il est temps de repartir, la récréation doit prendre fin, et c’es avec tristesse que je file en direction de L’Est de la France .je décide de monter jusqu’à St Die , la au moins j’aurai de la place pour m’arrêter au resto des deux frère , je ne serai pas trop loin de mon client , je pourrai manger et demain matin ,je déjeunerai , je me laverai et partirai frais et en forme pour une nouvelle journée.
Il fais bon , je roule bien , la N4 est assez fluide , le trafique reprend depuis quelques jours .Je passe donc Nancy et puis je prend la route de St Die , il est 20H24 , je suis au parking du resto , je fais mes heures :6H04 de conduite , pour 413 km , oui je sais pas grand-chose pour un grand routier comme moi , je fais avec .

Je téléphone à mon amour de femme pour lui dire bonne nuit, je vais au resto ,se soir je n’es pas le courage et le moral pour rester au camion il me faut du monde , de la compagnies , c’es sa la vie de routier , il y a des jour ou l’on à le moral et là on peu rester des heures seul au camion et des jours comme aujourd’hui ou il est préférable d’être avec d’autres personnes .La soirée se passe bien ,l’ambiance du resto est très bonne , je ne coucherai le cœur plus joyeux .

je reprend la route , je rentre chez moi ,le nouveau rond point de mon village

Vendredi 16

6H15, oh que c’es bon d’avoir bien dormis, bon il faut se lever, nous sonne déjà vendredi, il la semaine est presque terminer enfin je pence que oui. Il a du faire encore bien froid ici, le sol est encore bien geler, les voitures aussi .Bon je file au resto, vu le monde au bar, je vais au toilette pour me faire une beauté (il faut être présentable chez le client) .
7H , je décide de reprendre la route , le col du bonhomme n’a pas changer depuis la dernière fois , si il y a de la neige , et il fais froid .Les 430 CV le monte avec souplesse , pour la décante es 430 CV retienne la masse et je file à 30 KM /H jusqu’en bas , que c’es bon d’avoir du bon matos .
8H17 , je suis chez mon client , il y a du monde , les prioritaire et nous les autre qui livrons le dépôt de bouteilles , dans cette attente , j’ouvre le camion pour gagniez du temps .9H c’est à mon tour , le cariste , je l’aime bien , il va vite , et en plus ai très sympathique contrairement à sont collègue qui lui fais souvent la gueule à croire que le travaille ne lui plais pas .
9H46 , je suis vide , je biphone le petit chef , je recharge du coter d’Épinal pour Roye ( 80) du bon boulot et en plus je ne serai pas lourd.
La traverser de L’alsace et les Vosges par le col de la Schlucht pour rattraper Gérardmer puis Épinal, je l’aime bien , la D417 , une petite route peu fréquenter par les camions , et l’hivers avec la neige que de beau paysage à regarder .
11H45, je suis chez mon client , chez eux le net passe très bien et en plus on a une connections Wifi , gratuite , j’en profite car des foi il y a de l’attente tout comme aujourd’hui .
13H10 , je suis à quai ,on me charge un complet de couche , je ne serai pas très lourd pour remonter chez moi .
14H , bon là , il me faut du courage , c’est la dernière ligne droite pour cette semaine , il me faut 4H45 pour allez chez moi donc je devrai faire une coupure de 45 mn .
Je reprend la route, je file sur Épinal puis la route de Nancy, je fais une pose et je rencontre un couple d’un autre forum ou je vais souvent ( bien sympas le site , pas de prise de tète avec les membre en treus ). Un bon 28 mn de bavardage et on se quite , je continue mon chemin et à St Dizier je fais ma coupure de 35 mn , je discute avec un chauffeur que je connais depuis des année , il fais la ligne de Dijon /Reims le jour , on bois des cafés on papote un peu et je repars en direction de Remis .
Il est 19H30 , je suis dans mon parking , la semaine est bien fini , je fais mes heures : 8H06 de conduite pour 502 km , et pour ma semaine qui pour moi à étais petite je n’ai fais que 2600 km .
Je range ma cabine, je téléphone à l’amour de ma vie , là je peu dire que j’ai fini de travaillez .

la D417 qui va de Colmar à Gérardmer par le col de
la schucht une petite route de montagne
que j'aie bien prendre

Samedi 17
Dimanche 18

Lundi 19

9H15, et oui c’est à cette heure que je commence ma petite semaine ,après un week-end mouvementé , avec plient de surprise, de travaille , de détente, d’amour , de tristesse me voilà fin prêt pour une nouvelle semaine de voyage , d’attente , de remise en question sur ma vie en général , et sur tout sur une chose qui nous tien à cœur à savoir notre ……
Pour ne pas changer, ma chère et tendre femme me dépose à mon camion et c’es toujours le cœur triste que l’on ce quitte, tout comme moi sa semaine sera de remettre en question. Et oui, nous voilà dans une période de notre vie ou on se pose des questions sur notre avenir avec notre …
Bon, mes affaire sont dans le camion, le moteur tourne déjà, les vérif. sont faite, il est 9H30, je par plus tôt que prévus, la route que je prends d’habitude est en barrière de dégel, donc plus de km et une perte de temps.
Le temps est pourri, il pleut, il y a du vent, enfin tout pour commencer une semaine morose et triste.
Je prends la direction de Soisson et comme la route qui va sur Moyon est en barrière de dégel, je continue sur Compiègne, que je contourne pour rattraper, l’autoroute qui va sur Lille.
Il est 11H20, je suis à Roye, je vais au gardien et là on me fait attendre au pas très longtemps et à 11H52 je suis à quai, je profite pour téléphoné au petit chef pour savoir si je recharge sur place, et bien non, je dois charger sur Compiègne pour le nord, mais j’aurai la confirmation après avoir vidé .Je discute avec un de mes collègue qui comme moi vide et lui recharge sur place.
13H je suis vide, je bip le petit chef pour la suite, je recharge quand-même sur place pour vider dans la fouler dans le nord (au moins je n’aurai pas à faire des km à vide) je vais donc m’inscrire et on me dit que mon chargement est prévus que ver les 15H30 voir un peut plus tard. Je bip le petit chef pour l’informer, il me dit que je remonte sur Henin Beaumont et là je chargerai pour Paris donc pas d’attente pour rein on gagnera du temps.
Je reprends la route en direction du nord, et c’est à 14H51 que je suis chez mon client, on me donne un quai et on me charge. J’en profite pour aller sur le net et je vois que j’ai ressue un message d’un membre de FDR (miss Sandy) qui me demande si je suis toujours sur Roye car elle monte sur Lens et on pourra se rencontré. Je lui dis que je suis dans le nord et que je redéssant et que surement on pourra se voir, je lui confirmerai une fois reparti de mon client.
16H24, je suis enfin charger, je reprends la route en direction de la grande poubelle, comme convenu je bip miss Sandy pour savoir si cette croisure peu ce faire, on calcul pour voir à quelle niveau on se Véra et je lui dis que Roye serai le plus adapter pour cette rencontre et vu la distance que chaqu’un doit parcourir on y sera au même heur.
Je repars donc en direction de Paris et comme prévu je fais cette croisure avec miss Sandy, oh tout comme elle on ne ces pas trop éterniser car nous avion de la route à faire .Le temps d’un café, de papoter un et et faire une photo nous voilà reparti chaqu’un dans une direction différente.
Il est déjà 20H, je suis à Vemar au parking sécurisé là au moins j’aurai de la place bien qu’il devient si populaire qu’il commence à se remplir facilement.
Je fais mes papiers : 5H48 de conduite pour 370 km, la crise s’installe bien que je travaille tout les jours, mais je voie que je ne roule pas trop, le plus important ces que mon patron a bien de la chance par rapport a d’autre de faire rouler chez chauffeurs.
Comme je n’es pas trop le moral, se soir je mange au camion, je bip ma femme, je fais un peut de net, je sui bien triste se soir.

je recharge des palettes de carton
à henun beaumont ( 62)

moi et mis Sandy
trés belle rencontre

Mardi 20

Pour certain, cette journée sera bonne, pour moi, j’ai très mal dormis, cela est du à des soucis personnel, qui me font mal, mon cœur est bien triste, j’aurai voulu être chez moi, allez voir le toubib pour prendre du repos, mon cœur et mon esprit n’es pas au travaille.
Ne pouvant plus dormir depuis bien longtemps je dédise à 5H45 de prendre la route sa ne fera du bien et je passerai Paris sans problème, vu l’heur tout les restos, café sont fermé et là je vous dis pas de partir le ventre creux, pas laver sa plombe encore plus mon moral.
Je prends L’autoroute A1 et je file en direction de la grande poubelle, sa commence à bien rouler ah ! C’est parigaut ils sont très matinaux, et à 7H je suis chez mon client, je suis le premiers, il ouvre à 8H, là au moins je suis à l’heure .Je fais un peu de rangement, je suis sur le net, je commence mon CDB de se jour et les minute pas vite. 8h, on frape à ma porte mon client me demande les papiers et me dis de me mettre à quai .Il sont bien pressé aujourd’hui car à 9H25, je suis déjà reparti, je bip le petit chef, je recharge à Villabé un chargement de papiers pour Roubaix (59)
Je par donc en direction de mon point de chargement, je regarde mon logiciel sur mon PC portable pour localiser la et je me trace mon itinéraire le plus pratique pour y accéder. Pour s’eux qui ne comaise pas Villabé , c’est une petite ville traverser par une voie ferré et mon client se trouve comme par hasard de l’autre coté et pour corser l’affaire tout les ponts don le plus directe est à 380 M et on y passe à 4 M pas plus mais il fau pouvoir s’aligner car il se trouve dans un virage. Donc moi avec mon camion remorque je ne peu le prendre car il est en voute et je risque de ne coincer dedans, il me Faus refaire le tour et passer par le centre ville et là il y a un autre pont en voute mais si on passe bien aux milieux on passe à 4,3M.
Bon avec tout sa j’ai perdu du temps et à 10H43 je suis à quai , chez eux je recharge du papier sur palettes , je serai bien lourd et on me dit qu’il devrons gerbé des palette donc on me demande de les sanglé , pour moi sa ne pose pas de problème .12H04 , je suis enfin parti , je refais le chemin inverse avant le fameux pont il fau que je me place bien au centre , mais là il faut faire comprendre à tout ces conard avec leur voiture de merde que je doit passer au sente et là sa clackson dur . Je rattrape l’autoroute qui va sur paris, je décide de passer la grande poubelle et je mangerai après. Pour une fois je la passe bien cette banlieue et je fais ma pose du coté de Senlis là je casse la croute et une petite sieste me fais du bien.
Comme je ne vide que demain matin à Roubaix, je vais allez chez DAF pour l’entretien intermédiaire du camion (graissage, control des nivaux, éclairages ETC …).Je téléphone au garage pour leur demander si à 17H ils peuvent me prendre là on me dit que sa ne pose pas de problème. Je file donc en direction de Lille et à 16H45 je suis au garage.
Je leur fais une petite liste de se qu’il doive faire et à 18H je ressors avec toute la bobologie faite sur mon camion, se soirs je ferai ma coupure au CIT de Roncq.
Il est 18H15, je suis bien garé, ma journée est finit, je fais mes papiers : 6H47, pour 370 km, oui encore une petite journée, je commence à me poser des questions sur l’avenir du transport routiers et de la rareté du fret.
Mon moral est toujours aussi bas, malgré mon manque d’appétie je mangerai au camion, le net passe pas trop bien donc je le ferme, la télé, rien de bon, il me reste que les DVD mais là comme un con je les ai oublié chez moi. Je bip ma femme, je lui dis mon désespoir, ma déprime .Cette nuit je pence quelle se passera encore très mal.

un des pont à Villabé je doit passer dessous ( 3m80) et bien je passe à 4m

le client me demande de sanglet les palettes gerbé en bon chauffeur je le fait

Mercredi 21

5H45, je suis debout et sa depuis bien longtemps, entre le net et le faite que je ne peu toujours pas dormir la nuit à étais très courte. Je file au resto pour me laver, et déjeuné il y a déjà foule au bar.

6H40, je décide de partir il me faut 20 mn pour arriver cher mon client de Roubaix.
On me donne un quai, le plus pourri celui qui est prévu pour les conteneurs donc plus haut que les quais prévu pour le camion mormeaux. Pour le remorque il manque un bon 10 cm pour quelle soit de niveaux et pour le porteur là je vous dis pas un bon 20 cm et la le cariste râle car il à des difficultés à me vidé, moi j’aurai préféré avoir un autre quai mais se n’es pas moi qui décide de prendre t’elle quai.
8H39 je suis vide, je biphone au grand chef pour la suite, je recharge à Dourges pour Macon (un bon voyage). La traverser de Lille se passe pour ne pas changer avec des bouchons de s’eux qui vont travailler .9H17, je suis à quai et on me charge de suite mes 38 palettes filmés de boite de carton, vu le poids sa doit être de la ferraille car je repars avec 23T200 .10H46, je repars, Je fais un petit tour a la station total pour un café, discuter avec le distributeur de billet (il fau bien payer le café).
La descente sur Reims ce passe très bien , le téléphone chauffe entre ma femme et moi , on à des chose à se dire , plus de 3H de discutions fructueuse , ah que c’es bon les forfais illimité .Je fais une pose du coté de Reims (20 mn ) au centre commercial de Tinqueux , là au moins on peu garé 25 camion et faire ces course et pourquoi pas allez au cinéma qui se trouve à 2 km de la ( la marche à pieds fais du bien pour la santé). Je fais un petit tour pour me détendre dans la boutique du magasin et je repars car j’ai encore de la route à faire. Je roule tranquillet sur l national, malgré les 23T les 430 CV digère bien le poids et la route .Une seconde halte je la fais à ST Dizier chez le marchand de caravane et de camping-car, Dison c’est plutôt le camping car que je vais voir et rêver devant des beau véhicule que je n’aurai jamais. Je profite de téléphoné au petit chef, oui celui qui va me recharger demain matin pour savoir là ou je rechargerai car je serai vide quant lui sera encore en train de dormir. Bon je rechargerai sur Macon pour le 78 chez un fabricant de mousse (donc du liégé). Après 35 mn de coupure, je reprends la route en direction de Chaumont, puis je reprends l’autoroute en direction de Dijon .Je n’es pas de courage voir le moral pour continué ma route et c’es à Beaune que je décide de quitter l’autoroute pour faire ma coupure de nuit. Il est déjà 19H, je suis bien garé et là je vais pouvoir prendre une douche et manger au resto, oui se soir je serai comme les autre chauffeurs attabler à une table de bon vivant .Au retour à mon camion je fais mes papiers : 8H30 de conduite pour 587 km ah oui là aujourd’hui j’ai enfin roulé comme avant .Je bip ma femme, elle me manque, mon cœur est encore bien triste, j’espère pouvoir dormir un peu.

aprés avoir charger à dourje une petite pose
à la station pour un bon café

N° 6 le relaie routier de semoutier
à 2 km de l'aitoroute
t"es bien situé et on y mange trés bien

Jeudi 22

3H50, je suis debout, le camion à bientôt fais sa coupure de 9H, moi non, c’est la merde de ne plus pouvoir dormir il est tant que je vois un toubib.
4H, le camion est prés pour sa nouvelle journée.
Je fais partis des premiers camions à décoller de si tôt se matin, les autres chauffeurs dormes bien au chaud dans leur cabine. J’ai RDV à 5H30 pour vider, là ou je vais ils sont a cheval sur l’heure d’arriver des camions il taulaire un petit quart d’heur de retard après il téléphone au transporteur (sa mes déjà arriver non pas que j’étais en retard mais moi j’appliquais la coupure de 9H et je suis arrivé avec 1H30 de retard et là il mon traiter de fenians, de mauvais chauffeur, j’ai du démontré avec mes disques ma bonne foi).
5H25 , je suis au gardien , il faut appliquer la procédure pour rentré chez eux , pressanter une pièce d’identité , là moi je lui montre mon permis provisoire , il y a ma photo , mon identité , j’aurai pu lui montré mon permis d’ambulancier qui lui aussi à la photo et toutes les informations qu’il veux ,une fois inscrit il me dis que je doit allez au quai n° 9 .
Il est déjà 5H31, je me dis le temps qu’il ce décide à venir là, je peux comprendre, 5H30 pour commencer là journée c’est un peu tôt pour eux .je suis à quai ou plutôt à 1M50 car il doit me déplomber la remorque et j’attends le bon vouloir de se cariste. Je suis dans ma cabine bien au chaud et se n’est qu’à 6H14 que l’on vient me dire de déplomber moi même et de me mettre à quai, et oui 45 mn à attendre se cariste. 6H45, comme j’étais assoupi sur ma couchette, un de mes collègue viens me réveiller pour me proposer de boire un bon café, se n’es pas de refut car depuis 4H je mai pas pu en prendre. 7H20 je suis enfin vide , je raccroche titine et je ressort de mon client , je récupère mon permis , le gardien me fais ouvrir la porte de la remorque pour contrôler si je n’es rien volé , c’es bon pour lui , enfin moi je dis qu’il ne fait pas sont boulot il ne control pas le porteur et sa à chaque foi ,je pourrai bien volé et mettre des chose dedans et ni vu ni connu .
Come je sais la ou je vais charger et que je passe à coté d’un resto routier , je n’arrête pour me laver , et déjeuné , oh que sa fais du bien de sentir bon , rayer de très prêt , et bien sur le ventre remplis de bonne chose .
8H22, je suis chez mon client, il y a 3 camion devant moi, j’ai de l’attente, je profite de sa pour téléphoner à ma femme (nous avons des choses à nous dire), le téléphone chauffe entre nous .Plus d’une heure de conversation à se poser des questions sur l’avenir et la survie de notre …
9H41, c’es à moi de charger, bien que mes bâche son bien tendu, mes planche toute mise je ressors de mon client avec un camion remorque don la caisse ressemble a des citernes, la je n’aime pas sa. E ne voie plus l’arrière de mon camion, je ralle en silences c’es toujours comme sa des rouleaux de mousse charger et tasser pour en mettre plus il monte dessua et il tasse et là tu rouleras en citerne mon petit José. (Quel horreur).
11H51, je qui mon client je reprends l’autoroute avec mon camion citerne ou plutôt, je roule hors gabarie et je file en direction de la grande poubelle. Je prends le temps pour faire une pose pour manger et faires une très bonne sieste et me revoilà parti. Le téléphone chauffe toujours entre moi et ma femme, même mon fils et mes amis, ne me feront changer, je continue à dire et à redire des choses à ma femme qui me sont chère à mon cœur.
Je roule bien , je m’approche de la grande poubelle , sa commence à coincer dure et là je décide de faire ma coupure de nuit , oui pour rouler à 20 km / h voir pas du tout , me tresser , bouffer du temps pour rien , je rentre au parking de l’aire de village , la il y a un MC-Do ,de la place et comme demain c’es vendredi ,donc fin de semaine ,j’ai assez d’heures pour aller vider ,recharger et rentré chez moi .
Il est 16H55, je suis garé, je fais mes heurs : 6H55 de conduite, pour 497 km pour un jeudi c’es déjà bien, vu la crise je me dis que le principal ces de pouvoir travailler même un peut comme aujourd’hui.
Le téléphone sonne toujours et il chauffe toujours au tant entre moi et mas femme c’es sa l’amour on ne peu plus ce quitter et sa fais du bien (sauf pour orange).
Se soir sa sera un bon MC-DO et du net, pour la télé rien de bon comme habitude à se demander pourquoi je l’allume.

sur une brettelle d'autoroute un camion
à fais un porte-feuille pas trés bon pour lui

une nouvelle poubelle au parking de
Villabé c'es vraiment dégeux

Vendredi 23

4H45, debout déjà depuis bien longtemps, je décide de partir, un petit tour à la station pour un café et à 5H je quitte la station et tout les autres chauffeurs qui eux on bien de la chance de dormir encore.
Je sais que mon client ouvre à 7H, j’aurai le temps de déjeuné, me laver et profité de l’heur matinal pour contourné paris avec à vitesse grand V.
7H10, oh putain le client de Nantes la Joly se trouve enclavé dans des cartiers ou moi je ne laisserai ma voiture pas plus de 5 minutes encor moins je ne pourrai y habité.
C’st pas des rapide chez eux, il bosse par rapporte à leur salaires (sa veux tout dire) rien que de voir le camion et d’appendre que ces un complet de rouleau de mousse , là on ne les vois plus les réceptionnistes.
Ils leurs faut du temps pour me vidé et c’est à 9H25 que je suis vide .Je bip le petit chef pour la suite, je recharge à ST juste du carton et pour vidé à coté de chez moi et le cadeau sur la séries c’es que mon client ai fermé lundi mati donc à livrer à 13H, là il est bien sympas le petit chef. Le téléphone recommence à chauffé oui toujours avec ma femme , l’heur est grave on ai vendredi et l’on doit prendre une décision et la bonne .
Je reprends la route, bon j’ai deux possibilité pour aller chez mon client, ou bien je contourne paris et la je tire à pile ou face que sa roule bien ou non, ou je passe par paris et la c’es l’aventure sa roulera ou pas ? Je vous laisse deviner se que j’ai pu faire.
J’ai pris le temps de faire une petite pose à l’aire de Vemar, pour manger un peut et me soulager (toilettes).
12H38, je suis chez mon client, j’attends, comme toujours l’attente chez eux est interminable ou tu passe de suite ou bien on te dit que ce n’es pas prés et la tu voies les minute voir les heures passer.
13H43, c’est à mon tour de charger et là tu dois encore attendre car les caristes sont en nombre réduit (la crise ou la mauvaise organisation)
Une fois charger mes 21 palettes de carton, je fais mes papiers et je repars en direction de chez moi, oui qu’il est bon de revenir a la maison après une semaine de boulot. Il me Faus un petit deux heurs pour me retrouver à mon parking.

16H50, je suis bien garé, à ma place comme prévu, un petit rangement de ma cabine, je fais mes papiers : 7H37 de conduite pour 385 km.
Vraiment petite cette semaine un petit 2008 km, mais bon j’ai travaillé pare rapport à certain qui sont en chaumage forés
voilà que ma femme viens me cherché, il faux dire que l’on doit avoir une conversation entre quartes yeux, plus de 2H45 de papotage avec moi dans la cabine, que de chose à nous dire. Oui depuis une semaine on discute pour savoir la pérennité ou le retrais de se qui nous es chère.

BON on la change ou pas notre vielle voiture (mono-pass) avec qui nous avons passé de bon moment, de bon voyage, et le plus bon c’es qu’avec elle on peu faire des choses ; une fois les banquettes sont mis à plat.( sa vous fais rêvé un grand lit comme sa )
Nous somme toujours pas d’accord et vue la crise on n’es pas prés de changer notre voiture .

une petite pose au parking de vémar
un casse croute un café , au toilette
et je repart pour charger et rentré chez moi

Samedi 24
Dimanche 25

Lundi 26

Que c’est bon de resté au lit avec ma femme, que du bonheur, ont en à profité, les gosses sont au collège et au lycée.
11H et oui il est temps que je reprenne la route, ma femme me dépose au camion, mes affaires sont déjà dedans car hier nous sommes allez au camion faire un petit ménage car sa s’imposer et les mains de fée de ma femme ont étaient apprécié pour le nettoyage et bien sur on a pu apprécier mon nouveau couchage de la couchette toute propre.

11H15, les 430 CV sont en forme après cette grande coupure. Je quitte ma femme (je vois dans sont regard de la tristesse) pour une semaine de travaille, je reprends la route de Reims, sa roule déjà bien .Mon premier arrêt sera pour le camion, lui aussi doit manger, un bon 500 L de GO lui fera du bien. Je reprends la direction de Chalon en Champagne et puis la route d’Épernay et me voilà arriver chez mon client .Il est 12H30, je ne suis pas le seul à attendre il y a 2 autres comme moi qui vident. On me donne un quai et c’est a 13Hque l’on me vide les 21 palettes de carton. Je téléphone au petit chef pour la suite, je recharge des bouteilles à Oiry pour vider à côté de Saumur, un très bon voyage. 14H je suis vide, je reprends la route pour mon rechargement, je ne suis pas trop loin et c’est à 14H27 que je suis à la verrerie de Orry (51), un camion est devant moi donc sa ira bien vite dans l’attente, je prépare le camion, j’ouvre les côtés et j’attends le bon vouloir du cariste.
15H34, je suis reparti, je prendrai la route la plus courte et adapter à mon chargement, j’ai 23T760, pour 28 palettes de bouteilles, donc les 430 CV vont apprécier cette charge .Je décide de passer par Sézanne, Sens, Montargis, Orléans, Tours, puis Saumur Sa devrais aller comme itinéraire. La route sera bonne et roulante, je passe mon temps entre le téléphone (surtout pour ma femme) et à écouter la radio .Je fais une coupure de 50 mn aux niveaux de Montargis et la je casse une petite croute, sa me fais du bien, et une petite sieste bien salutaire. Je repars toujours bien tranquillemt, je passe Orléans, je biphone à mon ami Duduche qui lui est en coupure pour voir si on peut se rencontrés, et non cette fois il était déjà parti, je recontinu ma route en direction de Tours et Saumur.
Il est 22H28, je suis au péage de Saumure donc à 30 km de mon client, je n’ai pas le courage d’allé plus loin. Pourtant il y a un routier proche du péage mais vu l’heure le parking doit être archi bonder, alors je reste ici. Je fais mes papiers 7H45 de conduite pour 551 km, je suis bien satisfait de ma demi-journée.
Je téléphone à mon amour de femme, elle me manque déjà, on papote un peu, et je lui dis des mots d’amour ;
J'ai tellement hâte de pouvoir te voir mon amour, sentir tes lèvres si douces
Contre les miennes, de coller mon corps contre le tien, de pouvoir … ETC….ETC….
Bonne nuit mon amour, à demain.

les vigneronts champenois
dans leur vignes

Mardi 27

7H15, debout déjà depuis plus de 2H, et oui, je ne dors plus, un peu de net, je passe mon temps comme sa.
IL est temps que je parte, les 430 CV sont bien reposer et les derniers km qu’ils vont faire seront de la rigolade.
7H30, je suis reparti, oh pas trop, un bon 20 mn le temps d’aller au resto routier, hier je n’avais pas le courage de faire les derniers km de peur de ne pas trouver de place.
Je déjeune avant d’aller me faire une beauté, les lavabos sont tous occuper se qui montre qu’il reste des chauffeurs encore propres (sa me rassure)
C’est à 8H30 que je suis chez mon client, c’est un dépôt de bouteilles qui appartient à SGE et la on y vient livrer et recharger des palettes de bouteilles pour les régions limitrophe
On me donne l’emplacement ou on doit me vider, j’ouvre les cotés et j’attends le bon vouloir du cariste qui vide et recharge un autre camion.
Je profite pour téléphoner au petit chef pour la suite, je recharge à Chinon du PET pour vider demain à 13H à Colmar, un beau voyage, la ça fait plaisir, je vais enfin faire de la route.
Je reprends la route en direction donc de Chinon et au bout de 15mn on me fait des appelles de phares, la je me dis qu’il doit y avoir un control de gendarmerie. Et bien oui et en plus le bonhomme en bleu s’avance sur la route et me fait signe de stationner sur le parking, en prime un bonhomme tout vêtu lui en jaune vient à ma portière et sans autorisation me la ouvre, là c’est moi qui suis choqué de son comportement (il n’à pas le droit sans mon autorisation). Et d’un ton sûr de lui me demande les documents et tout le reste pour faire le control, et fini par me demander ma carte numérique, la, pas de problème je lui file tout se qu’il veut et il repart dans son fourgon. Je suis toujours au téléphone avec ma femme et l’attente devient interminable. Au bout de 10 mn se fonctionnaire revient et me dit que tout va bien et me demande pourquoi je suis fâché avec l’amplitude car pour lui le 12 Janvier sur 24H je n’es fait que 7H30 de coupure, pour moi j’ai fait 9H de coupure entre deux périodes de travaille. Il me dit que sa va me coûté 135 Euro .La je lui dis que l’amplitude dans le transport publique n’existe pas et qu’il n’y a pas de loi, pas de décret et que s’il me dresse un PV il sera contraint de notifier par un article de loi sur le PV. Je lui fais une petite cour de RCE et du code du travaille Français, on a papoté un bon 5mn sur se sujet .Je lui démontre par des exemples concrets le bien fonder de ma position et je repars avec mes 135 euro dans les poches.
Je repars satisfais de moi , je reprend la conversation avec ma femme ,que de choses à nous dire et nous discutons jusqu’à mon client , il est déjà 11H , je suis sur la bascule et on me dis de me mettre en place , j’ouvre les cotés et on me charge mes balles de PET et à 12H06 je suis repartis .Je roule jusqu’à Montargis et là je fais une pose pour casser la croute ,un bon 50 mn de coupure , et je suis toujours au téléphone avec ma femme . Il y a des jours comme sa on papote sur des sujet très important, sur notre avenir, de nos proches, enfin de tout se qui nous touche de très prés et de loin. Il y a des rires, des pleures, des remises en questions, que c’es bon de discuter avec franchise, ce sont des moments rares et salutaires pour la pérennité de notre couple. La route et le temps passent très vite, je suis déjà sur la route de Vesoul, je décide de rouler encore un peu et je fais ma coupure de nuit dans un relais routier que je connais très bien, là on y mange bien, c’est très propre et demain matin je serai qu’a 2H30 de mon client.
Il est 20H20, je suis garé, je fais mes papiers : 8H31 de conduite, pour 612 km, bonne journée, je rebiphone ma femme pour lui dire bonne nuit, pour lui dire des mots d’amour ;
Tu me plais mon amour, je t'aime tellement. Profitons de tous les moments que nous pouvons passer ensemble car la vie avance à pas de géant. Je t'aime à la folie,
comme je n’ai jamais aimé personne, je t'aime pour la vie, et mon amour, je te le donne.

comme moi il se fais éplucher
par la DRE

Mercredi 28

9H15, Je suis debout depuis bien longtemps, j’ai déjà déjeuné, laver, je suis prêt, comme j’ai RDV entre 13H et 14H, et comme je me suis qu’à 2H30 de route de mon client, j’ai fait une très grande coupure. Je n’ai pas bien dormis, je fais une grosse déprime actuellement, je me pose la question sur le bien fonder de ma vie sur cette terre, oui je sais c’est très grave d’avoir de telles pensés, mais voilà, je suis arrivé a une époque de ma vie ou je me pose des questions. Je suis au bord d’un gouffre ou un vent de folie peut être là pour me pousser dans cet abime à l’indifférence total de ce monde.
Je fais mon travaille toujours avec conscience professionnel, bien que le moral n’y ai pas.
Il est 9H30, je dois partir pour une nouvelle journée ou je passerai mon temps au téléphone avec mon seul et véritable amour avec qui je partage mes joies, mes peines, mes espoirs ; à savoir ma femme .Je ne répond pas au téléphone. Même pour mon fils, mon téléphone reste muet. (À sont grand désespoir)
Le temps passe bien vite avec ma femme au téléphone et je suis chez mon client de Colmar à 12H30, je suis à l’heure.
Je profite qu’ils sont à la pose casse-croute pour en faire de même et une petite sieste récupératrice de cette nuit presque blanche.
13H28, le cariste vient me chercher, je passe à la bascule et je vais là ou l’on doit vider le PET. J’ouvre les rideaux et le cariste me décharge, il va très vite et à 14H38, je repars de l’usine de fabrique de bâches plastiques (et oui avec les bouteilles ils font sa chez eux). Je téléphone au très petit chef pour la suite, et d’un ton monocorde qui démontre sa joie dans le travaille il me donne mon travaille. Je vais charger du PQ pour un pays qui pour moi fait parti de ceux que j’aime le moins : La Belgique. En cette période de détresse et de grosse déprime, me donner se boulot me plonge encore pire dans mon désespoir.
En bon chauffeur, je laisse ce problème (majeur) de coté et je file à Kunheim pour charger le PQ.
15H07, je suis arrivé, à peine inscrit ils me font rentrer et me voilà à quai, ils sont rapides aujourd’hui car il est 16H31 et je suis déjà reparti, je pense pouvoir rouler très loin se soir, vue les heures qu’il me reste, je reprends donc la direction de Strasbourg et ces éternelles bouchons de la fin de journée, je fais une pose casse-croute au péage pour pouvoir rouler le restant de mes heures.
21H32, Le téléphone chauffe encore j’arrive à la frontière et la je me gare, non pas pour faire ma coupure de 9H mais pour profiter encore du réseau français pour continuer ma conversation avec l’amour de ma vie. Les minutes passent et bientôt une heure, et là je décide de rester là comme je suis en plein débat avec ma femme et que mon moral et celui de ma femme ne vont pas très bien.
Tout en parlant, je fais mes heures : 7H29 de conduite pour 505km. Vue la journée de merde que j’ai passé c’est plus que bien.
Il est 23H30, nous sommes toujours pendu au téléphone, il est l’heure de se quitter, on se dit des mots doux, je lui dis des mots qui sortent de mon cœur, au plus profond de moi ;
Tu es ma joie de vivre, Mon seul et unique bonheur, Ton amour m'enivre,
Et fait chavirer mon cœur.

on me vide le PET a colmar

Jeudi 29

Nuit, perturbé, je suis toujours dans le doute, au font de moi, il y a toujours se vent de folie qui voudrai me pousser dans cet abime éternel, là ou l’on ne revient plus .Toi l’amie à qui j’ai donné la clef de mon cœur, toi qui peut comprendre ses mots, mon cœur est meurtri, blesser à vif, hurle de douleur de cette blessure qui me pousse dans cette folie.
IL est 6H30, je suis toujours en frontière du coté du Luxembourg, je me prépare à partir, le clavier du téléphone me brûle les doigts, je suis à l’étranger et là je suis hors forfait, il me faut téléphoner à ma femme, j’ai tant besoin d’elle, il me faut attendre 8H car à cette heure là elle sera debout.
6H40, le camion à fait sa coupure de 9H, je dois partir, je prends la direction de la Belgique ce pays qui me stresse ou plutôt leurs polices, avec leurs méthodes de rackettes pour nous chauffeurs étranger. La stupidité de ses interdictions de doubler, ETC….ETC….
Je roule une petite heure et la je fais une pose déjeuner et me lavé, pour cela je quitte l’autoroute à la sortie 27, il y a un grand resto routier et là j’aime bien m’y arrêté.20 mn pour cette petite pose sa me fait du bien, je reprends la route .Il est temps que je téléphone à ma femme, oui je sais je suis hors forfait mais là il me faut l’avoir au bout du fil.
11H04, je suis enfin chez mon client après avoir subit l’éternel bouchon de Bruxelles.
Je suis à quai, se qui est bien chez eux c’est que le chauffeur reste sur le quai et se sont eux qui vident le camion. Je repars de chez eux à 12H55, je téléphone au grand chef pour la suite, je recharge à Eeklo pour Artenay, un bon voyage pour la fin de semaine.
Il me faut 1H30 pour y arriver, je suis le seul camion, habituellement il devrait y avoir du monde c’est bizarre, aurait il une crise dans le secteur des couches pour les femmes ?
Bon on me donne un quai, on me charge de suite et à 15H16, je suis repartis en direction de la France, je passerai chez mon patron pour vider ma carte numérique, connaitre mon RDV pour vider demain matin, et pourquoi pas laver le camion.
Ouf, je suis en France, je peux téléphoner librement à l’amour de ma vie et aux autres personnes à qui je n’ai pas effacé leurs numéros de téléphone se matin, et oui j’ai fait des tris dans mon répertoire téléphonique, une bonne vingtaine de numéro effacer pour toujours.
Je suis chez mon patron, j’ai pu faire tout se que je veux même une pose de 30 mn qui me permettra de rouler assez loin et faire ma pose avant paris
Je repars en direction de Lille, vu l’heur je suis étonné qu’aujourd’hui c’est la fluidité de la circulation, sa roule très bien, mon téléphone chauffe à nouveau et toujours avec l’amour de ma vie, ma femme, qui m’épaule dans ma déprime, mes angoisses, mon stresses, mes interrogations sur mon avenir.
Je passe la capital du nord, et sa banlieue, en direction de Lens même là sa circule très bien contrairement à l’habitude.
Je suis sur la descente de Paris, je roule tranquillement, j’ai du temps car mon RDV n’est qu’à 12H et là je ne vous dis pas ma coupure de nuit.
Il est 20H25, je suis à Vemar, les parkings sont blindé de camions, une vraie concentration de camions, le seul endroit ou l’on peut trouver de la place c’est le parking sécuriser et même la il commence à être plein.
20H30 , je suis enfin garé , je fais ms papiers 9H49 de conduite , pour 642 km , c’est une belle journée de conduite .Se soir je suis à l’hôtel , resto, DAF Grimonprez , le net passe bien , et la télé aussi mais je préfère avoir ma femme au téléphone , sa présence me manque énormément . On fini par se dire bonne nuit, mes larmes coulent sur mes joues, mon cœur lui crie tout mon amour que j’ai pour elle ;

Je ne cesse de t'aimer depuis tout ce temps, et de penser à toi chaque jours à tout moments, ton amour m'est indispensable, et ta présence irremplaçable.
Comme je te le dis souvent, et je ne m'en lasse pas honnêtement, tu es la personne au monde qui m'est le cher, et c'est pour ça que je t'aimerai ma vie entière.

je vide mon PQ cher un transporteur en belgique
à Puurs

Vendredi 30

La vie me rend toujours triste, cette nuit les larmes de mes yeux ne mon pas permis de dormir (si un peu) mon cœur est toujours déchiré, meurtrie par la vie que j’ai mené jusqu’à se jour, ce vent de folie est toujours là derrière moi prés à me pousser dans ce gouffre, cet abime qui me tant ces bras.
Les heures passent inlassablement et moi j’égraine les minutes, les heures qui me séparent de mon tendre et belle amour .Oh ! Ma femme si tu pouvais être là pour me soutenir, et toi mon amie je te tends la main et je suis seul face à mon destin.
7H15, je suis dans l’attente de partir, je n’ai pas envie de déjeuné (se qui est très rare chez moi) et encore moins de quitter mon camion.
7H36 je me décide à partir, vu l’heure la grande poubelle sera un calvaire à traverser, mais il faut bien la traverser cette capital, mais de quelle coté ?, là c’est toujours le problème, je consulte le net sur : http://www.sytadin.fr/ et là je vois avec stupeur que tout est bouché. Que je prenne d’un coté ou de l’autre je ne pourrai pas aller plus vite ,donc je prends par le centre et il me faut plus de 1H45 pour être sur l’autoroute qui va sur Orléans. Comme j’ai le temps , car je ne vide qu’à 12H et pas avant , je prend la national 20 en direction d’Orléans , là au moins je trouverai un resto pour enfin déjeuner ( car là j’en ai envie ) et me faire une beauté .J’arrive donc au resto de Château Gaillard , la j’aime bien se resto , très sympa , et au moins je ne suis qu’à 8 km de mon client . Je déjeune donc et je fais ma toilette, je me pouponne, se soir je rentre chez moi, il faut être encore plus beau pour revoir l’amour de ma vie.
12H25, je suis chez mon client, c’est un des plus gros transporteurs de France, qui fait aussi de la logistique (comme tout les autres) la grande maison rouge .On me donne un quai et on me vide de suite, ils sont bien rapide et très presser car ils se mettent à deux pour me vider les 38 palettes de ces fameuses couches féminines (les tue l’amour comme je les appelle).
Je bip le petit chef pour la suite, je recharge à Giens encore du PQ et je remonte en Belgique, à croire Qu’ils ne connaissent que cette destination chez nous, bon de toute façon se n’est pas moi qui choisi le boulot.
Je reprends la route en direction de Gien, il me faut 1H35 pour arriver chez lui, bien sur mon téléphone chauffe encore avec ma femme, qui voudrai bien être la avec moi pour me soutenir dans cette descente aux enfers, et mon moral qui n’est vraiment pas bon .
14H je suis au parking, il y a du monde à quai et là je pense pouvoir rester un certain temps .Et bien non, on me fait rentrer de suite et je recharge derrière l’usine il y a un autre quai de chargement le 511, très peu de chauffeurs le connaisses celui là.
Pour ne pas changer c’est un peu long mais nous sommes vendredi et il y a du monde pour charger et très peu de cariste. Donc c’est à 15H46 que je ressors avec mon PQ.
Je regarde mes heures, si tout va bien il me faut 3H30 pour rentrer chez moi.
Je vais pouvoir rentrer sans coupure, si juste une petite pour faire du GO à Nemours comme sa je rentrerais avec le réservoir plein.
La route me semble bien longue, mon téléphone chauffe toujours entre ma femme et les quelques amis qui me restent le temps passe plus vite.
J’ai hâte de me retrouver chez moi, de revoir ma femme qui me manque, mes cris, mes larmes, mon angoisse ,elle seul pourra les atténuer, elle est bien triste cette vie sur terre
Je n’ai plus d’ambition, je n’ai de but pour regarder au loin l’horizon dans l’espoir de voir un avenir plus joyeux, un monde meilleur, ou l’on pourra vivre dans la joie, et la paix
Il est 19H38, je suis à mon parking, je range mes affaires, je fais mes papiers : 8H51 de conduite pour 499 km cette semaine j’ai fait un petit 2800 km, le boulot reviendrait il ? Je ne crois pas mais ,pour moi j’ai bien roulé.
Ma femme arrive, descend de la voiture et me fait signe de vouloir monter à coté de moi au camion, là je sens que je vais avoir une bonne discussion entre 4 yeux, je ferme les rideaux et là, dans une passion que seul nous deux pouvons connaitre nous passons un doux moment de tendresse partager.
Que des mots doux, que de tendresse dans les bras de ma femme ;
J'aime te regarder, t'admirer, me balader avec toi pour oublier tout, tout à part toi.
J'aime sentir ton odeur, te faire tout plein de bisous dans le cou et t'embrasser en posant mes lèvres sur les tiennes avec tant de tendresse. J'aime te sentir à mes cotés.

sur la route de gien , je passe à coté de la
central nucléaire de Ouzouer /Loire

Samedi 31

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