Mon Carnet de bord... Suivez mes aventures, semaine après semaine!

Fevrier 2009

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Dimanche 1

 

Lundi 2

3H40, je suis très matinal aujourd’hui, je suis au camion, il commence à bien neigé, il ne fait que 2,5°.Mes affaires sont déjà au camion depuis hier soir à 22H, je suis passé les mettre et faire tournée un peu le moteur, j’ai toujours peur de ne pas démarré vu le froid qu’il fait actuellement. Se week-end, avec ma femme nous nous sommes bien retrouvé, que du bonheur, de la tendresse, de l’amour et encore de l’amour. Pour mon moral sa va un peu mieux, grâce à la thérapie que me fais faire ma femme, je remonte la pente.
J’ai une pensés à mon gendre qui lui part pour 6 mois à la guerre, et oui il part en mission pour la chasse au terroristes, sa doit lui faire mal de quitté ma fille et bien sur sont petit garçon. Sa ma fais mal pour ma fille qui doit vivre sa première séparation aussi longue et le faite de savoir qu’il y a un risque de ne plus le revoir là je ne vous dit pas sa crainte, tout comme nous et le reste de la famille.
4H, je décide de partir, la neige tombe de plus en plus, pourvue que sa roule, je prends la direction de Soissons puis Laon, je ne croise que 2 saleuses sur se tronçon. J’ai deux solutions ou je prends l’autoroute à Laon et là je passerai par Valencienne ou je continu et je passerai par Maubeuge. Le choix est vite fait, le plus rapide c’est par Maubeuge et au moins je pourrai prendre ma taxe au resto le relais des Colombes un peu avant Avesnes. Et je prendrai un bon café pour me réveiller car je n’ai dormis qu’un petit 3H et encore je crois que c’est un peu moins que sa. (Je suis resté coller dans les bras de ma femme).
Comme prévus je l’ai faite ma pose et même 47 mn pour vous dire, et me revoilà parti en direction de la Belgique, il neige toujours, mais que des petits flocons, sa tient sur la route, mais comme il y a de la circulation sa roule bien. Me voilà chez les Belges, pour ne pas changer sa commence à très mal rouler en direction de Brussel plus de 10 km à rouler au pas.
Il est 8H55, je suis enfin chez mon client, on me donne un quai, tien je vide avec 2 camions de chez nous ou plutôt avec 2 polonais qui roulent chez nous.
Aujourd’hui c’est moi qui vide le camion, ils ont du boulot car souvent ils nous donnent un coup de main, sa ne fait rien moi j’ai le temps.
Il est 10H37, je suis vide les papiers en main, je téléphone au grand chef pour la suite, je recharge à Eeklo, pour livrer à Artenay, un bon petit voyage et j’ai RDV à 8H donc une bonne coupure. Je reprends la direction de Gend puis je rattrape Eeklo, il me faut 1H35 pour y arriver, il est 12H06, je suis à quai et on me charge de suite, là ils vont vite car à 13H je suis déjà reparti. Pour le retour, je fais une pose de 35mn pour casser là croûte, sa me fait du bien. Je passe la frontière, je fais un tour chez mon patron, pour voir si je peux laver et bien non, il fait encore trop froid, je profite pour faire contrôler mes pneus car on a maintenant à notre garage une station de montage et de dépannage une entreprise qui a en permanence du personnel pour se service. C’est un progrès à condition de pouvoir passer régulièrement au dépôt et là ce n’est pas sur car moi cela m’arrive de ne passer que très rarement voir pas du tout sur un mois complet. Je reprends la route, je profite que je suis en France pour téléphoner à ma femme, elle me manque déjà .Il n’es pas bon pour moi de faire de l’étranger, car le clavier du téléphone me tente. Je pousse jusqu'à Vemar et la je fais ma grande coupure.
Il est 18H, je fais mes heures ; 10H03 de conduite, il était temps de faire sa coupure, bon pour les 3 mn on peut comprendre (la fameuse minute indivisible). J’ai fait 634 km pour un lundi c’est très bien, je suis toujours au téléphone avec ma femme, il est temps de se quitté tout comme moi elle va préparer le repas, oui se soir je mange au camion pas le moral pour aller au resto de plus sur l’autoroute on y mange très mal. Je fais un peu de net, pour la télé à par les infos que je regarde en fermant les yeux. Dans la soirée ma mère me téléphone (choses très rare) elle m’annonce le décès de son frère, donc un de mes oncles, il n’avait que 67 ans, c’est bien jeune cette disparition, j’en n’ai les larmes aux yeux. Il est 21H30, ma femme me biphone pour me souhaité une très bonne nuit, je l’informe de la disparition de cet oncle qui pour moi étais une personne superbe.
Je quitte ma femme par ces mots d’amour :
Un grand bonheur est dans mon cœur quand je te dis je t’aime mon amour, bonne nuit l’amour de ma vie.
Je coupe tout et je vais dormir.

j'attends que le quai 168 sois
libre pour vider mon PQ

les deux polonay de chez nous
se mette à quai

je commence à écrir mon CDB
du lundi

Mardi 3

4H45, je suis debout, j’ai mieux dormis cette nuit oh ! Pas grand choses un petit 5H c’est mieux que rien. Je pense toujours au discutions que j’ai avec ma femme sur notre avenir en tant que couple, on s’aime toujours, mais je n’étais plus amoureux comme avant, et j’ai fini par regarder si l’herbe était plus verte de l’autre côté (comme tout les hommes). La routine c’est s’installé chez nous, ils nous faut regarder et ce propulser dans l’avenir, nous avons dépassé les 50 ans, 28 ans de mariage et il ne faut pas que le reste qui nous reste à vivre soit monotone, il nous faut faire le point, donc des heures de discutions, de rire, pleures, de remise en question, de concertations, ETC… Et l’annonce d’hier soir par ma mère de la disparition dramatique de cet oncle si jeune, met du poids sur notre interrogation.
5H, c’est le grand départ, comme le dit ci bien la chanson il est 5H Paris s’éveille, il est 5H et je n’ai plus sommeille. J’aime bien cette heure là, je passe la grande poubelle à vitesse grand V.
Je prends la N 20 en direction d’Orléans, et je fais une pose chez Véro le resto de Château Gaillard à 8 km de mon client. La je déjeune et je ma lave, sa fait du bien, je suis en forme et je fais les derniers km pour arriver chez mon client à 7H35, là j’ai affaire à une mal baiser, oui les mots est un peu crut mais là mon mot est tendre par rapport a ce que je pourrai dire sur cette femme qui me traite comme un chien. Oui il y a des clients comme sa, en plus je suis en avance, ou ne donne un quai il est 7H50, et à 8H je vais les voir, on me dit qu’ils sont en pose (10 mn) et à 8H30 sa commence à bouger dans la remorque .Leurs pose à eu de la rallonge un bon 30 mn au lieu des 10 mn officiel. Chez eux ont doit assister au déchargement, en plus il fait très froid sur leur quai, bon il est déjà 10H08, je suis vide, je téléphone au petit chef pour la suite. Je recharge à Gien pour la Belgique tout comme vendredi je vais à Halle et j’ai RDV à 8H30.
Je reprends la route, il me faut 1H35 pour arriver chez mon client, 11H35 ,il y a foule pour le chargement, et j’espère avoir comme la semaine dernière le quai 511, qui lui se trouve de l’autre coté de l’usine.
La chance est avec moi je recharge de l’autre coté et comme sa ,l’attente sera moins longue.
Et à 13H03, je suis déjà parti de l’usine avec mon PQ.
Pour monter je décide de couper à travers et ainsi j’évite de passer par la grande poubelle car la je perdrais du temps. Je passe par Melun, puis je rattrape l’autoroute de l’Est pour sortir à Château Thierry et rattrapé Soissons puis Laon et filer sur Maubeuge pour aller sur Brussel.
Et oui je passe à 30 km de chez moi et je ne fais pas de détour, car je roule mes heures et comme sa je gagnerai 1H45 de conduite de plus pour demain.et 70 km pour ce détour.
Je roule donc comme prévu, fais une coupure de 47 mn sur l’A 4 et je file pour terminer ma journée comme prévu du coté d’Avesnes, un peu avant au resto des Colombes sur la N 2.

Il est 18H45, je suis garé, je fais mes papiers : 8H58 de conduite pour 592 km, pour un mardi c’est très bien.
Se soir je mange au resto, sa changera du camion. La soirée se passe bien, il est déjà 21H30, je suis au camion et je téléphone à ma femme, que du bonheur de l’avoir au téléphone.
Et je lui dis : Qu’es-qui m’arrive je suis retombé amoureux de ma femme, une nouvelle jeunesse à 52 ans ah !que c’est beau l’amour.

je suis à gien , j'attends sur le parking
je regarde le paneaux lumineux pour
voir apparètre mon numéro et mon quai
photos

je passe à coté du relais routier de la bifurque
mais pas le temps de faire une pose café

Mercredi 4

6H, je vais au resto, je me lave (sa fait du bien) et je déjeune (la encore sa fais du bien) je prends ma taxe pour la Belgique.
Il est déjà 6H30, c’est avec courage que je quitte le parking du resto, il y a encore du monde sur le parking. Jusqu’a la frontière je roule très bien, en Belgique sa commence à mal rouler à l’approche de mon client, il faut dire que je vais au sud de Brussel et pour ne pas changer sa bouchonne bien avant la capital de la Belgique. Il est 8H10 je suis chez mon client, il y a déjà deux camions de chez nous qui attende pour vider, moi j’ai rdv à 8H30mais vu le nombre de camions je doute qu’ils me prennent à l’heure et comme ils sont plutôt chauvin il privilégie le flamant que nous les français.
Je papote avec mes collègues, et c’est à 8H52, que l’on me donne un quai, et la surprise c’est qu’ils me donnent un coup de main pour la remorque et quant c’est pour le porteur là ils me disent qu’ils partent en pose, une fois fini je récupère mes papiers, je raccroche titine et me voilà sortis de cette central d’achat Belge.
Il est 10H03, je téléphone au grand chef pour la suite, je recharge sur Maubeuge du PET pour vider demain matin à 10H30 à côté de Chalon /Saones (71) une bonne descente un bon 500 km. Je reprends la direction de la France, mon client se trouve à Hautmont au sud de Maubeuge et c’est à 11H52 que je suis chez lui, on me fait monter sur la bascule et on me dit que l’on me charge de suite, là je suis ravie c’est bien rare de voir les gens qui travaillent pendant midi.
Je suis en place, j’ouvre un coté et j’attends le cariste qui vient avec des grosses balles et commence à me charger .Je vois que pour placer les balles il doit pousser trop fort, les balles sont trop large et les mettent côte à côte comme d’habitude , car cela me ferai rouler à 2m 70 de large et je ne pourrai pas fermer mes bâches et encore moins mettre mes poteaux et encore moins les planches. Je fais stopper le chargement car je ne peux pas rouler comme sa, le chef arrive et constate qu’il y a un gros problème et que l’on doit charger autrement mais là il faut l’accord du client car on à un minimum de tonnage pour la livraison. Une fois obtenue le feu vert il me charge en plaçant les balles dans le sens de la longueur, là sa va mieux, il ne met que 22 balles pour un poids de 12T060.

Il est 13H28 je quitte le centre de tris ménager et je commence à déscendre .Une petite halte au relais des colombes pour un bon café et faire une pose de 15 mn et me voilà reparti en direction de Reims .Si je savais se que je fais demain j’aurai fait ma coupure chez moi , mais voilà on me dit rien, donc je file ,je regarde mes heures .Bon je vais pouvoir aller jusqu’à Semoutier ( Chaumont )
Je dois faire une pose de 35 mn et ensuite j’irai directement au resto de Semoutier.

Il est 20H45, je suis sur le parking, je cherche une place vu l’heure je fais le tour et je recommence et là un camion démarre pour partir, j’en profite, je fonce et me voilà enfin garé.
Je range un peu le fourbi de la cabine et je me prépare pour la nuit.
Se soir je n’ai pas faim, j’ai encore le cafard, un peu triste de savoir que je ne reverrais plus mon cher oncle du midi.
Je fais mes papiers : 8H49 de conduite pour 547 km, j’ai bien roulé aujourd’hui.
Je téléphone à ma femme, on est mercredi, elle est longue cette semaine, ma femme me manque .On parle, on parle, je lui dis et redis tout mon amour que j’ai pour elle, que de mots que de tendresse dans nos mots. On fini par se quitter, le cœur triste, nos mots ne remplaceront pas nos étreintes que nous avons lors de nos retrouvailles.

Il est temps que je rentre chez moi.

je vide avec deux collègues de chez nous


la les balles de peht sont trop large , je ne peu pas fermer les poteaux et les baches , doncon les rechargera de l'autre sens

Jeudi 5

Il est 6H, je suis déjà debout et sa depuis 2H30, encore une nuit presque blanche, le net ma fait passer le temps.
Je prends un bon déjeuné et bien sur je me lave (il faut être beau).
7H, c’est le grand départ pour une nouvelle journée, je pense que je vais faire une très petit journée, comme je suis prés de Dijon, je vais surement aller charger à Longvic pour le nord, le top serai de faire Reims et Soissons, car je dois partir sur Montpellier dans la nuit de vendredi à samedi pour l’enterrement de mon oncle.
La descente sera courte 2H30 pour arriver chez mon client, entre temps le camion à soif, donc un petit tour chez Esso et me voilà reparti.
9H28, je vais voir si on peut me vider, et bien non ils sont en retard, un peu plus de 2H me dis ton .Comme j’ai RDV à 10H30, je verrai bien. Je tue le temps sur le PC entre le net , mon téléphone il est déjà 10H35 , je vais voir pour moi , et bien je dois attendre encore .Il est 10H58 , on viens me chercher , on me place , j’ouvre les bâches et j’attend le bon vouloir du cariste .ouf ! Il ne tarde pas à venir et comme je n’ai pas trop de balles il va assez vite. Il est 12H38 je suis vide, je téléphone au petit chef pour la suite. C’est avec joie que j’apprends que je vais à Longvic et pour faire Reims et Soisson, là je suis ravi, j’aime bien cette tournée surtout en fin de semaine car une fois vide je rechargerai à la verrerie et je rentrerai chez moi.
Je reprends la route en direction de Dijon, j’ai deux choix ou je prends l’autoroute et là je vais très vite ou bien je fais comme certain pour faire des heures je prends la national .Mon choix est vite fait : le plus rapide.
Je prends donc l’autoroute et c’est à 13H30 que je suis sur le parking de mon client à Longvic (21).
Je vais au gardien pour m’inscrire et pour lui dire ma tournée, je lui confirme mon heure pour laquelle ils peuvent disposer du camion à savoir pas avant 22H30 pour ma coupure de 9H.
Je suis au camion, je fais mes papiers : 3H20 de conduite, pour 236 km, et une amplitude de 6H30.Très petite journée, mais c’est comme sa quand on charge le groupage, on met les camions les plus prés de Longvic, pour moi j’ai de la chance je fais la ville proche de chez moi, pour un vendredi c’est du bon boulot. On aurait put me donner une autre destination, le travaille je l’aurais fait quant même, mais là je suis ravis.
Je mange au camion, là ou je suis il n’y a rien à par une machine qui distribue de la merde sous plastique et le distributeur de café.
Je ne suis pas seul il y a un autre de mes collègues qui lui dort déjà, les autres viendrons plus tard
Bon moi je vais prendre une bonne douche (il faut en profiter, elle est libre)
Il est 14H45 je suis au téléphone avec ma femme, on papote un peu on se dit au revoir et à ce soir. Je ferme tout, je vais dormir un peu, le sommeil est là, je m’endors dans les bras virtuel de ma femme dans un rêve doux et plein d ‘amour.

je suis en coupure à longvic , mes collègues dorme déjà et moi je sort de la douche ( il faut bien se lavé )

Vendredi 6

Je suis plonger dans un bon rêve érotique avec ma femme, et oui je rêve aussi d’elle la nuit. Je suis réveillé par une brute qui frappe à la portière du camion et oui il est 0H et on vient me chercher pour charger.
0H15, je suis à quai, on me charge de suite, le temps de boire un café au distributeur et de papoter avec des chauffeurs, de faire mes papiers, me voilà parti.
1H17, je quitte donc mon client, j’ai le temps, j’ai RDV à Reims à 7H30, donc je vais pouvoir rouler relaxe pour une fois.
Je prends l’autoroute de Troyes, que je quitte au niveau de Chaumont et me voilà sur la national qui va sur St Dizier, là je fais une pose de 46 nm à la station total, je déjeune, je fais un peu de net et me revoilà parti sur Reims.

Il est 5H58, je suis chez mon client, le gardien est déjà là, je vais le voir et il me dit que j’ai rdv à 7H30 et pas avant, je lui dis de venir me réveiller quant ils auront besoin de la marchandise.
Je vais dormir un peu, sa va me faire du bien .A l’heure dite on vient frapper à la portière, j’étais encore dans les bras de ma femme, bien au chaud sous la couette.

7H35, je suis à quai, on me vide de suite mes 12 palettes et me voilà reparti pour Soissons .Il est déjà 8H, je téléphone à ma femme pour lui demander si elle voudra ou a le temps de venir avec moi et finir ma semaine ou plutôt mon vendredi avec moi au camion, Elle me dit OUI. Donc comme je passe dans mon village, (donc pas de détour) je la récupère. Sa fais du bien de revoir mon tendre et belle amour de femme (une semaine sans la voir).

9H20, on est chez mon dernier client, ils sont en pose casse-croûte, je dois attendre, mais pas très longtemps car on vient me chercher au bout de 10 mn.
On me vide mes 15 palettes, je quitte mon client, je téléphone au petit chef.
Il y a deux choix ou je recharge sur Soissons des bouteilles à la verrerie ou bien je vais charger plus loin, pour moi peut m’importe du moment que je rentre chez moi cette après midi.
Et bien je recharge des bouteilles pour vider lundi dans le Calvados dans une cidrerie.
10H09, je suis à la verrerie de Soissons, il y a que très peu de camions, sa ira donc très vite
11H07 me revoilà parti avec mes 30 palettes de bouteilles vides pour un poids de 23T205, ce sont les 430 CV qui vont être Heureux de ce tonnage sa leurs changera des petits tonnages.
Je reprends la route de Reims, je fais une petite pose pour un bon café, ma femme ne prendra qu’un chocolat bien chaud, et nous repartons en direction de Fismes.
Il est 12H16, je suis garé dans mon parking, je range mes affaires, je fais mes papiers : 6H49 de conduite, pour 444 km et une amplitude de 12H.
Bonne semaine pour moi, un bon 2445 km.

je suis chez mon dermier client à soissns
j'attends que leur pose soit fini pour rentrer
et vides mes palettes .

je recharge des bouteilles vide

Samedi 7
Dimanche 8

Lundi 9

Déjà 3H30, je suis au camion, encore très fatiguer de mon week-end, je me suis encore couchez très tard (23H45).oui c’est son être dans les bras de sa femmes, les heures passe si vite.
3H40, malgré la fatigue, la pluie, le vent, me voilà parti pour ma semaine de voyage, de galère, d’attente, de joie.
Le téléphone sonne et oui il commence à chauffé, mais là ces mon amour de femme qui me bip, elle me dit bonne route et que je sois prudent, sa fais du bien au cœur d’avoir un coup de fil a cette heurs si national.
La pluie ne tiendra compagnie un bon moment, je passe Paris, vu l’heur je traverse sens problème. Ma première pose je la fais une fois passer le capital dans le parking de la première station de l’autoroute qui va sur Rouen. Un bon 20 mn me remet de ma fatigue, je reprends la route sa commence à circuler en direction de la capital pour moi sa roule très bien. Je refais une autre coupure après avoir passé Évreux là je vais pouvoir déjeuné et faire une pose de 35 mn.
Je reprends la route et là je file directement chez mon client ou j’y arrive à 9H30, il pleut toujours et là j’adore car je dois débâchez pour vider mes palettes, que du bonheur cette pluie bien froide et ce vent qui commence à venir tout pour me plaire. Il y a un camion devant moi, donc je dois attendre .oh ! pas très longtemps car un autre cariste viens me voir et là je dois le suivre, je vide dans un autre endroit.

10H50, je suis vide, il pleut encore plus et le vent souffle encore de plus belle .Je téléphone pour la suite, je recharge du PET à coté de Caen pour vider à Verdun (55) un bon petit voyage à faire. Je reprends le chemin sur Caen, je coupe à travers et à 11H40, je suis sur la bascule, là on me dit pas avant 13H, pour moi sa me pénétra de casser une petite croute et pourquoi pas une petite sieste. Je vais là ou je dois charger, j’ouvre le coté et je file au camion, bien au chaud.

13H15, le cariste viens me voir et commence à me charger les grosse balle de PET, et le vent redouble de puissance sans parler de la pluie, bien que je sois bien vêtue, je suis un peu mouillez. En tout j’en ai 40 balles de PET pour un poids de 17T460 .Vu le vent qui souffle par rafales et la pluie ,mon camion sera bien stable sur la route avec le poids du PET.
Je reprends la route en direction de Paris, pour ne pas changer mon téléphone chauffe entre ma femme, mon fils, ma fille qui plonger dans sont chagrin pleure toute ces larmes pour sont mari qui est parti pour 6 mois en mission. Mes amis aussi font parti de mes appelle téléphonique, le temps passe vite et me voilà donc prés de Paris. Vu l’heure ou plutôt mes heures qu’il me reste je dédise de faire ma coupure a la dernière station avant la capital.

Il est 18H30, je suis garé, je fais mes papiers : 8H45 de conduite pour 555 km, pour un lundi et vu le peu de temps que j’ai dormis, j’ai bien roulé.
Se soir je mange à l’hôtel resto DAF Grimonprez 5 étoiles, je biphone à ma femme, je papote un peu et je vais pouvoir dormir dans ces bras virtuel, bercer par le vent qui commence à bien soufflet.

j'attend mon tour pour vider les bouteilles , et il pleut il y a du vent, que du bonheur

j'attend pour charger le PET il plut toujours et le vent soufle encore plus fort

Mardi 10

3H30, je suis très matinal, j’ai étais bercer toute la nuit par le vent, la pluie, que du bonheur.
Malgré sa j’ai bien dormis, pour mon moral il y a du mieux, la thérapie commence à avoir du résulta.
3H40, il est temps de partir, Je passe Paris sans problème, j’aime bien passer de très bonheur sur la grande poubelle .Je récupère l’autoroute de l’Est qui va sur Metz, je roule bien tranquillement. Comme je dois faire une coupure de 45 mn je prends la national de Reims à St Ménehould, là il y a un bon resto routier ou je pourrai déjeuner et faire un brin de toilette.
Ne revoilà parti pour arrivez chez mon client de Verdun à 8H15, un de mes collègue est déjà en train de vidé. Tout comme lui j’ai RDV à 8H mais comme il ne vide que un camion à la foi sa ne sers à rien d’arriver à plusieurs et d’attendre pour rien. 9H c’est à mon tour de vidé, le vent et la pluie sont toujours là pour me tenir compagnie pour vidé, que du bonheur pour moi.
9H43, je suis vide, je biphone au petit chef, je recharge à St Mihiel (55) pour Saultain (59) une belle petite balade par les Ardennes.
Je quitte mon collègue qui lui recharge au Luxembourg pour Paris, le téléphone chauffe déjà avec ma femme et mon fils, sans parler de mes quelque amis qui me reste fidele.
Il est 10H30, je suis chez mon client, oh ! Que de monde qui attende les chargements, je croix que je vais avoir des heurs devant moi pour le pc, le net, casser la croute et pourquoi pas une sieste.
C’est à 13H15, que le cariste viens me chercher, et oui j’ai raison tout ce temps ma permis de faire ce que je voulais, sa fait du bien d’être payé à attendre comme sa. Avant il était à deux pour charger, mais depuis la crise il ne reste qu’un seul à faire le même travaille, donc pour nous chauffeurs, plus d’attente.
Il est 14H10 , je par de cette usine , comme je suis un chauffeur sérieux et comme je ne désire pas faire perdre de l’argent pour rien à mon patron , je reprend la route la plus adapté , la plus courte , la moins cher ( pas d’autoroute ) je passe par les Ardennes , belle région, petite routes , petits villages , petits virages , on ne peut pas rouler bien vite , sa fais des heures .

Il est 18H15, je suis à mon resto préférais le relais des colombes un peut avant Avesnes (59)
Je suis à 50 km de mon client, là au moins je suis bien, on y mange très bien, les sanitaires sont propres et le matin c’est ouvert à 5H, et ils font la taxe pour là Belgique.
Je fais mes papiers : 8H58 de conduite, et oui à deux minute prés j’étais à 9H de conduite, il était temps de faire sa coupure .Je n’est fais que 585 km, pour un mardi je suis ravie.

Je discute avec un chauffeur du sud, il me demande si je connais bien la région de Lille car il doit charger demain matin, avec mon pc et mes logiciel cartographie je lui trouve sa rue et je lui explique la route à prendre.
Bien sympas ce jeune, il me propose de prendre l’apéro avant d’aller manger, sa ne se refuse pas (je suis un peu radin) .Le repas se passe bien et nous voilà de retour a nos camion.
Je profite que j’ai un peu de temps pour téléphoné à ma femme pour lui dire tout mon amour que j’ai pour elle , il est 22H30 , il est temps de dormir .

j'attend que mon collègue ai fini de vidé sont PET pour prendre sa place

le vent soufle si fort que les palettes de bidon
plastique tombe par terre

Mercredi 11

5H45, debout depuis peu, j’attends l’ouverture du resto, tien ! Ce n’est pas moral il est fermer, il devrait être ouvert depuis 5H, la il y a surement un problème .Il faut attendre 6H, toujours rien de plus en plus bizarre, bon 6H30, toujours rien, bon je pars, pour mon déjeuné, et ma toilette national je la ferai un peut plus loin.
Je reprends la direction de Maubeuge, et la je fais une pose pour déjeuné dans un bar /tabac pour la toilette là on verra plus tard.
Il me faut 45 mn pour arriver chez mon client, je dois attendre 8H pour entré.
8H10 on me dit que je peu me mettre en place et là le cariste me vide de suite et à 9H03, je quitte mon client .Je biphone le grand chef pour là suite.
Je recharge à Valencienne pour Lyon.
Àh !sa c’est du bon boulot, un bon 600 km pour y allé.
De mon client et là ou je recharge je ne mes que 25 mn, et oui la circulation de cette ville me fait perdre un peu de temps et c’est à 9H30 que je suis chez lui. On me donne un quai, je décroche titine et me voilà en place pour le chargement, je sais que sa va être très long et que le départ est prévus vers les 13H, pas avant .Donc je vais me laver, je discute avec mes collègues, un peu de net, je casse une petite croute, une petite sieste et le temps passe vite.

12H45, je suis enfin parti, il me reste plus qu’à rouler. Ma première coupure je la fait au centre commercial de Tinqueux (Reims) là il y a de la place pour garé 21 camions .Je profite que je suis ici pour aller acheté un cadeau pour ma femme, il ne faut pas oublier que samedi prochain on sera le 14 et se jour là c’es la fête des amoureux, donc je profite de cette occasion pour lui acheté sont parfum quelle aime bien (amais).
Une bonne coupure de 50 mn ma fait du bien (sauf pour la carte bleu, elle à chauffé).
Je repars donc bien tranquillement, il fait bon, sa roule très bien, je récupère l’autoroute à Chaumont et je file en direction de Dijon .Je regarde mes heures comme je ne veux pas dépasser les 9H de conduite je dédise de faire ma coupure du coté de Beaune (21), je pence que j’ai assez travaillez aujourd’hui.
Il est 20H05, je suis au parking de la station de Beaune, il y a foule déjà, je trouve avec difficulté une place.

Ouf ! Je suis garé, je fais mes papiers : 8H47 de conduite, pour 590 km, c’est bien, bonne journée. Se soir je mange au camion, je n’ai pas le courage pour allé au resto routier de la station.
Je téléphone à ma femme, on papote un certain temps, elle est très longue cette semaine j’ai hâte de rentrés chez moi, mes semaines deviennent de plus en plus longue ; ah ! Que c’est beau l’amour.

je vide mes 60 conteneurs vide et neuf

Jeudi 12

5H, le réveille me fais comprendre qu’il est l’heur de ce lever, que c’est bon d’être sous la couette, il fait si bon dans la cabine .Je m’habille, je fais le tour du camion, je me prépare pour une nouvelle journée.
5H15, le camion à fait sa coupure de 9H, moi un peu moins. Vu l’heur tout et fermer pour le déjeunée, je devrais attendre pour c’a, je pense m’arrêter un peu avant Lyon, car j’ai de la marge dans mon horaire, sa devrais coller pour mon déjeuné.
Je reprends la route en direction de Lyon, l’autoroute est fluide très peut de camion, je roule très bien, il commence à neigé oh ! Pas très fort ,sa ne tien pas au sol c’est déjà sa .Ma pose je la fais au resto de l’ave-maria un peu avant Villefranche, un bon 15mn pour déjeuné.
Je repars en direction de Lyon, je passe le grand péage, puis je prends la rocade A 46 pour contourné Lyon et pour ne pas changer sa commence à bouché aux niveaux de la descente de Bilieux. La il neige un peu plus et sa tien au sol, sa ne va pas faciliter la circulation. Je file en direction de Meyzieu ou j’arrive chez mon client à 7H45. Il neige et sa commence à y avoir une bonne couche, on me donne un quai, si tout va bien ils ne mettront 1H30 pour ne vidé, j’ai le temps d’allez me lavé, faire mes papiers, du rangement et un peu de net. Bien sur le téléphone chauffe pour ne pas changer.
9H26, je suis vide, il neige plus, je téléphone au petit chef, je fais une ramasse pour le nord encore un truc qui vas payer le gasoil comme on dit, je n’ai que 2 m de planché à prendre.
Mon client ce trouve dans la zone de Villefontaine dans le 38, ce n’es pas trop loin de là ou je suis et à 10H07 je suis chez le transporteur. Oh ! Là je charge 71 rouleau de tissu et c’es sur palettes, je bip le petit chef pour lui dire que j’ai plus que de 2 m de planché, il me dit que je dois les mettres en vrac pour n’avoir que 2 m car je complète à Longvic (21) pour le nord et la Belgique. Bon ont dépote les palettes de tissu pour faire qu’une pille de rouleau.
Il est 11H38, je téléphone pour la suite, le petit chef me confirme mon chargement à Longvic et me dit que les rouleaux je devrais les donner à un de mes collègue( il a changer d’avis, se n’es pas moi qui ira vidé ) qui lui est du nord et comme moi je termine sur Charleroi je n’aurai pas assez de temps pour les livrés.
Je reprends la route en direction de Dijon, je ne doit pas perdre de temps donc je ne m’arrête pas pour manger, je file directement chez mon client.
Il est 14H30, je suis garé, je décroche titine et avec mon collègue on place le camion CU à CU et on transvide mon chargement dans son camion, sa nous prends 45 nm.
Après un bon café, je vais prendre une bonne douche, je casse une petite croute, je discute un peu avec mes collègues, je fais mes papiers : 6H18 de conduite pour 431 km, je téléphone à ma femme et je vais aller dormir car je charge à 1 heure du matin ou avant.

il neige sur Lyon

Vendredi 13

23H30, mon téléphone sonne c’est ma femme qui me bip pour me dire bonne route, moi je lui dis bonne nuit et bien sur plein de mos d’amour.
0H, on frappe à ma portière, on vient me chercher pour charger .0H10, Je suis à quai, on me charge mes 3 clients, je commence à St Quentin (02) puis Cambrai, et je termine à coté de Charleroi (B). Arriver l’a haut j’aurai un bon 8h de conduite, donc je c’ai déjà que je rentre samedi matin.
0H45, je suis charger, un bon café et me voilà parti, la nuit est fraiche, le ciel est étoilés, il fait donc très froid.
Je reprends la route, je gagne l’autoroute, je ne suis pas seul cette nuit, de nombreux camions roule cette nuit, je fais une pose de 16 mn à la station de Langres, un bon café et je repars pour reprendre la national à Semoutier sa roule très bien ,je faire une coupure de 40 mn à St Dizier, une petite sieste me fais du bien.
Je reprend la route , je passe Reims , là je prend l’autoroute pour arrivé chez mon client de St Quentin .Il est déjà 7H11 , la sa vas très vite car à 7H33 ,je suis reparti , je prend la route de Cambrai , et au bout de 20 mn , je fais une pose pour déjeuné au resto chez Chantal ( entre ST Quentin et Cambrai ) Sa fais du bien un bon grand crème et des tartines de pain beurs , un petit passage au toilette et me voilà reparti.
8H29, je suis à Cambrai, je dois attendre une bonne 1/2 heur pour rentré.
Il est 9H,après avoir fais leurs pose ils me vide et à 9H39, je suis reparti, je reprends l’autoroute qui va sur Valencienne, je n’arrête pour ma taxe et je reprends la direction de la Belgique, le temps est gris ,un petit crachin tombe sur la route, je roule tranquille et à 11H23 je suis chez mon client. Il se trouve en face de l’aéroport de Charleroi donc facile à trouver, je décroche titine on me donne un quai et à 12H je suis enfin reparti.
Je biphone au très grand chef pour la suite, je recharge toujours en Belgique, de l’isolation pour 3 clients du coté de Lyon (une belle descente pour lundi).
Il me faut 1H30 pour allez chez mon client, il est déjà 13H30, je n’ai toujours pas manger (pas le temps) je voie que je suis le seul camion à attendre, sa devrais allez pour le chargement, bon j’ai des palettes Europe mais je n’ai que la valeur d’une semi à prendre, et le chef ma dit de repasser au dépôt pour les décharger.
14H55, je suis reparti du client, direction Grimonprez pour vidé mes palettes europe et si je pouvais laver le camion sa serais bien, et non il est encore en panne, bon je vais vider mes palettes, prendre des enveloppes pour le courrier que j’envois toute les semaines avec mes papiers, et quelque paperasses.
Il me reste plus grand-chose comme heures , voir quelques minutes à faire, bon je vais terminer ma journée au CIT de Roncq, là il y a le resto : le milles pattes.
Il est 15H45, je suis bien garé, je fais mes papiers : 9H58 de conduite pour 691 km
Demain il me restera plus que 218 km à faire pour être chez moi.
Je téléphone à ma femme, on discute un peu, je lui téléphonerai un peu plus tard dans la soirée je suis fatigué, je n’ai plus envie de manger, je vais dormir un peu.( qui dort ! , dine ! ,c’est ce que dit le dicton )

je traverce Cambrai

mon dernier client ce trouve en face de
l'aéroport de Charleroi ( belgique )

Samedi 14

2H45 , il est l’heure de se levé ,il me reste 218 km à faire , et après je serai dans les bras de ma femme , j’attend cette journée depuis le début de la semaine .Le 14 Février , la journée des amoureux, oh ! que oui j’aime ma femme et en plus j’ai un cadeau pour elle .
2H50 , le grand départ pour cette dernière journée de la semaine .
Je passe Lille , puis je continue sur l’autoroute , que de monde à cette heures là , et oui que des touristes qui parte salir notre neige bien blanche de nos montagnes si belle .
Je sur L’autoroute qui va sur Reims elle est bonder de voitures à croire que je suis le seul à travaillez ,et non , je ne croise que quelques chauffeurs avec leurs camions qui comme moi rentre chez eux . Je fais une pose café à la station BP ,même là je ne voie que des voitures de chanceux qui parte à la neige ( c’est la crise, pas pour tout le monde ).

Je quitte l’autoroute au niveaux de St Quentin , il me reste que 1H15 pour arriver chez moi , mon cœur palpite déjà , j’ai hâte de donner le cadeau à ma femme .
Un peu avant d’arriver sur Soissons , je voie des gyrophare bleu , tien un accident , et oui une voiture dans le fossé , je ralentis , je suis prudent je ne veux pas écraser un gendarme et faire un constat ( je suis presser de rentré chez moi ).
Je passe Soissons , les derniers km , les plus stressant .

Il est 6H13 , je suis à mon parking , je cherche une place , aujourd’hui on ma pris mon emplacement prévu pour moi ( encore un qui ne c’est pas que cette endroit mes réserver ) , sa me gonfle un peut , je doit me mettre dans un autre endroit qui mes pas destiner , il va falloir voir le transporteur se matin pour lui faire remarqué .( pourvu qu’il me demande pas à bouger le camion , il est en coupure et je suis en numérique )
Bon je suis garé , je fais mes papiers : 3H de conduite , pour 218 km , pour un samedi c’est très bien. Je range mes affaires , je téléphone à ma femme .J’ai hâte de la voir , oui je suis toujours amoureux d’elle , et cette journée nous ai destiné plus que d’habitude, une journée juste pour elle et moi , programmé , planifier, organiser, enfin je crois que se week-end sera fougueux , romantique , inoubliable , remplie d’amour , de cadeaux ; que du bonheur .

Dimanche 15

Lundi 16

0H15, je suis au camion avec ma femme, je range mes affaires, je me prépare à partir. Il fait bien froid et il commence à neiger.
Je discute avec ma femme (entre quatre yeux) elle est dure la séparation après un bon week-end entre amoureux.
Bon 1H, ma femme décide de partir avec regret , et moi je suis contraint de partir pour une nouvelle semaine de voyage, la séparation est difficile pour nous deux.
Je prends la direction de Reims, je repense à mon week-end passer avec ma femme, se fut formidable .La route commence à être blanche, je vois dans le lointain les gyrophares bleu des saleuses qui commencent à traiter les routes (bien courageux la DDE se matin).
Je roule donc bien prudemment pour ne pas changer, la radio me tient compagnie, les heures défilent sans trop de souci .Ma première coupure je la fais du coté de Dijon, là j’ai un petit coup de bar, une bonne heure de repos me fera du bien.
Je reprends l’autoroute pour sortir à Macon Sud, mon premier client se trouve à Cluny, c’est un chantier et j’ai RDV à 8h mais comme je les connais ils ne sont jamais à l’heure donc pas de souci.
8H30 je suis sur mon chantier, comme toujours les ouvriers ne sont pas là, je dois attendre car ils viennent de Dijon et ils sont de la route à faire (moins que moi qui suis à l’heure) .8H45 les voilà enfin et en plus arrive avec eux la grue qui leur servira pour monter l’isolation sur le toit de l’immeuble. Il faut un certain temps pour que la grue se place et que pour moi je puisse m’approcher le plus prés pour placer l’isolation sur palettes. Il est 9H22, je vais récupérer titine que j’avais mis sur un parking à l’entrer du village. Je repars donc en direction de Macon puis la direction de Lyon .je fais une pose de 30 mn pour être en règle et j’en profite pour déjeuner, et oui je n’ai pas encore pris le petit déjeuner depuis ce matin donc là j’en profite.
Je continu ma route pour arriver chez mon autre client, il est déjà 11H34, il me vide de suite et à 12H11, je repars en direction de Corbas, la je sais qu’il ouvre à 13H30, donc, j’ai un peu de temps devant moi.

Je décide d’aller directement chez lui et fais une coupure en attendant l’ouverture .12H47, je suis dans leur parking, je casse une petite croûte ça me fais du bien, et une petite sieste salutaire. 13H45 mon client se décide de me vider, et à 14H18 je suis reparti, je téléphone au petit chef pour la suite. Je recharge à Lagnieu pour Douai à vider demain matin avant 11H30 .Du bon boulot un voyage de plus de 650km et ça une bonne partie de la nuit, je prends donc la route qui va à mon point de chargement .IL me faut un bon 45mn pour y arriver, il est 15H31, il y a un camion devant moi, en fin de chargement, je prendrai sa place sait se que me dit le cariste.
Je suis enfin en place, j’ouvre les côtés du camion, le cariste me charge mes 30 palettes de petit pot en verre (pour les yourtes) je serai bien lourd pour la monter sa changera du poids pour ma descente .16H26, je suis chargé, mes papiers sont fait, je quitte la verrerie du groupe SGE de Lagnieu.
Il ne me reste que quelques minutes de conduite, je vais faire ma coupure au resto routier d’Ambérieu en Bugey.
Il est 16H45, je suis garé, fatiguer de ma dure journée, je fais mes heures, mes papiers : 9H48 de conduite pour 682 km. Et dire que demain je devrais faire 650 km pour aller vider mes 30 palettes, la nuit sera très courte.
Je téléphone à ma femme, pour lui dire tout mon amour que j’ai pour elle, lui dire que je vais dormir, que je repars demain à 2H du matin .Je suis fatigué, je me couche, on verra pour manger un peu plus tard.

sur mon chantier la grue est là pour monter l'isolation sur le toit

un des ronds -point de Rilleux la Pape

je vais charger mes paletttes de pots de yaourt en verre

Mardi 17

1H30 , il est l’heure de se lever , j’ai bien dormis , je suis en forme , je range un peu ma cabine ( quelle foutoir ) , bon le camion tourne déjà ,les 430 CV sont prêt pour les 650 km .
1H45, c’est le grand départ, je quitte le parking du resto, la radio me tient compagnie, je cale la radio sur une station qui me diffuse de la belle musique, et je roule tranquille bercer par une bonne musique.
2H30, mon téléphone commence à chauffer et là c’est l’amour de ma vie qui me bip pour discuter avec moi, et oui elle ne peut plus dormir donc on papote. Cela fait du bien de pouvoir discuter la nuit ,surtout avec ma femme. Le temps passe bien vite il déjà 3H50, il est temps pour elle de dormir un peu, on se quitte par des mots d’amour.
Cette nuit mon téléphone n’a pas chaumé, j’ai eu droit a d’autres copains qui comme moi roulent de nuit, sans parler des sms que j’ai reçu .je passe le temps donc à papoter et les heures défilent et la fatigue commence à venir. Ma coupure de 45 mn, je la fais un peu avant St Dizier. Une bonne coupure de 50 mn me fait du bien, je repars en direction de Reims, je fais une pose de 16 mn pour déjeuné au resto de Pony. Le temps est pourri, du crachin, un petit brouillard, la chaussée est grasse, donc un peu glissante, la température est bien fraîche un petit 2°, encore une journée maussade, un temps d’hiver quoi !
Bon maintenant plus de coupure jusqu’à mon client de Douai, ou j’arrive à 11H10.
Il y a deux camions à quai, donc je fais une pose, je discute avec les chauffeurs de la crise dans le secteur de la route.
11H45 c’est à mon tour de me mettre à quai, ils vont vite pour me vider, il faut dire que leur journée se termine à 13H, alors ils sont à deux pour me vidé et ranger les palettes dans le dépôt.
12H33, je suis déjà parti, je téléphone au grand chef pour la suite, je recharge à Valencienne pour Bris conte Robert, et j’ai RDV demain matin à 5H30 .Je prend la direction de mon lieu de chargement et à 13H30 je suis à quai, là je sais que je vais avoir de l’attente, mon départ est prévu pour 16H d’après le petit chef de quai. J’ai le temps de casser la croûte, et faire une sieste.
Comme prévu c’est à 15H56 que je quitte mon client, il me reste un petit 20 mn pour aller faire ma coupure au nouveau centre routier sécurisé de Valencienne. Sa bouchonne un peu sur le trajet et à 16H30, je suis au parking, je suis bien garé. Je fais mes papiers : 10H05 de conduite, oui je sais 5 minutes de trop, et alors vous en faite quoi de la minute indivisible ?
Allez moi de toute façon ma journée est fini, je suis fatigué.
Je téléphone à ma femme, je discute un peu et on se quitte.
Je vais dormir un peu et pour manger au resto je verrais bien à quelle heure je vais me réveiller.

arrèt au resto de Pony ( 51 ) pour déjeuner

je suis à quai et on me vide mes 30 palettes
de pots de yaourt en verre

je recharge à quai à valencienne pour
Bris conte Robert

Mercredi 18

1H15, je suis déjà debout, je vais au poste de garde pour avoir un jeton pour prendre ma douche, et bien oui moi je me lave le matin même à cette heure si matinal et en plus la douche est gratuite pour ceux qui sont dans le parking sécuriser.
De retour au camion, je me prépare pour partir.

2H, là je quitte le centre routier, direction la grande poubelle ou plutôt Bris conte Robert (77) là ou je dois vider à 5H30, mais avant je dois faire une pose pour déjeuner, car j’ai une faim de loup. Je pousse jusqu’à la station ESSO ,la on peut déjeuner ou manger toute la nuit (pratique pour ceux qui roulent la nuit comme moi).
Je poursuis mon chemin pour arriver chez mon client à 5H15, je suis à l’heure, on me donne un quai et on me vide à 5H30, pas avant, car c’est l’équipe du matin qui est là pour me vidé.
7H36, je suis enfin vide, on m’a prévenu de la lenteur du déchargement, ça m’a permis de me mettre à jour dans mon CDB.
Je biphone au petit chef pour la suite, je recharge à Nogent /Seine pour le Mans, encore une petite ballade bien sympa .Je reprend la route qui va sur mon lieu de chargement et j’y arrive à 9H05, on me donne de suite un quai et on me charge de suite, j’aime bien chez eux, ils vont très vite et à 10H25, je suis reparti de Nogent. Je coupe au plus court mise a par que la route d’Orléans au mans nous est interdite au niveau de Morée sur la N°157, donc arriver sur Orléans, je dois prendre l’autoroute qui va sur Blois et reprendre la route de Vendôme et poursuivre vers le Mans. Je regarde mes heures qui me restent. Oh ! Pas grand-chose, comme j’ai déjà utilisé mes 2 fois 10H de conduite, je suis contraint à ne faire que 9H, je n’irais pas très loin. Je passe Vendôme, je prends la direction du Mans et la je vois les minutes qui défilent et pas le moindre parking pour faire ma coupure de nuit .Au niveau d’Azé sur la D 957, je trouve un parking aménager et la je me dis que je n’irais pas plus loin .donc se soir je dors et je mange a l’Hôtel restaurant DAF Grimonprez 4 étoiles.

Il est déjà 15H45, oui pour certain c’est de bonne heure, mais moi je suis sur la route depuis 2H du matin.
Bien garer, je fais mes papiers : 8H57 de conduite, pour 604 km.
Je suis au téléphone avec ma femme, je la quitte pour faire une sieste de quelque heures et on reprendra notre discussion plus tard dans la soirée.


je vidé à 5H30

je vais faire une pose dans cette station

je vais faire ma coupure de nuit
dans ce parking en plaine brousse

Jeudi 19

5H30, je suis debout, je fais mes préparatif pour partir, je fais le tour du camion car j’ai fait ma coupure sur un parking en pleine brousse, on ne sais jamais dans la nuit on pourrait m’avoir volé. Un peu de rangement, et il est déjà 5H45, il est temps que je parte. Je reprends la direction du Mans, je roule une 1/2H et je fais ma pose pour me laver et déjeuner dans un resto routier que je connais. Tient !,il y a u un changement de direction, sa tête me dit quelque chose, et au fil de la conversation on s’aperçoit que l’on a travaillé tout les deux chez Beaugier .ah ! Quelle retrouvaille ! , on papote du bon vieux temps de l’époque ou le métier de chauffeur voulait dire quelque chose (toute une époque disparue).
Je reprends la route avec encore la joie d’avoir revu un de mes collègues qui c’est reconvertis à la restauration des chauffeurs routier, et un de ses jour je mangerai chez lui car je sais que l’on y mange très bien.
Il est 7H09, je suis chez mon client, on me fait attendre car j’ai RDV à 7H30, pour moi pas de problème, j’en profite pour aller au toilette, de papoter avec des chauffeurs.
7H36 on me fait rentrer, sa ne veux pas dire qu’ils vont me vider de suite, il y a deux camions devant moi donc encore de l’attente.
Il est 9H07 , je suis enfin vide , je biphone au petit chef pour la suite, je recharge sur le Mans pour le nord ( Wattrelos ) , à vidé demain matin à 7H30 , mais mon chargement ne sera disponible qu’à 14H , et pas avant .Encore de l’attente à prévoir , je cherche un parking avec un resto pour boire un bon café et me changer les idées .
Je suis sur le net , sur FDR et la je vois qu’un membre du site est connecté et il habite sur le mans , je lui envoi un MP pour lui dire que je suis dans sa ville et si il a du temps on pourrai se voir et faire plus ample connaissance .Le RDV est pris et il vient me rejoindre , on boit un bon café , on papote un peu , pour le forum on fait une photo de notre rencontre et à 11H30 , il est temps pour lui et moi de se quitter .
Comme je ne suis pas très loin de mon client pour charger, je vais chez lui et j’attendrais l’heure ou il pourra me prendre.
12H, je suis dans sa cour, je décroche titine, on me donne un quai et là je casse la croûte, je vais faire une sieste et il est déjà 13H30, je sens que sa bouge dans le porteur. On m charge des cartons en vrac, je crois que sa va être long se chargement.
Et c’est à 15H05 que je repars pour enfin rouler un peu, mon client se trouve à 443 km, d’après mon GPS.
Je prends la route, je traverse un peu la ville du Mans, et je récupère l’autoroute qui va sur Paris, vue mon poids, je ne serai pas peiné dans les montées .Les heures passent, entre la radio et mon éternel téléphone qui n’arrête pas de sonner, les heures passent vite. Je fais une coupure de 50 mn à la station total après le péage de St Arnoult .Je regarde mes heures, bon je passe Paris et je monte au maximum de mon amplitude, je ne serrai pas trop loin de Lille.
Passer Paris se fut aujourd’hui d’une facilité remarquable, de la station Total à Charles de Gaule je n’ai mis que 1H10 de conduite, sa relève du miracle. Je continu mon chemin et j’arrive au nivaux d’Arras, là je décide de faire ma coupure au parking de la Esso, il y a encore de la place. Il est déjà 20H35, je suis bien garé, je range mes affaire, je fais mes papiers :
7H20 de conduite pour 486 km pour un jeudi c’est très bien et puis je ne suis pas très loin de mon client, demain on sera vendredi et une fois charger je rentre chez moi donc pas trop d’heures de conduite à faire demain.
Se soir, je mange au camion, un peu de télé, du net, et bien sur je téléphone à ma femme pour lui dire une bonne nuit et plus mais là ça ne vous regarde pas.


au Mans je rencontre Cursore 72

dans ce vieux dépot , je recharge pour le nord

un des ronds point du Mans

Vendredi 20

5H15, je suis aux toilettes du resto de la station (ouvert 24 / 24), je me lave ou plutôt j’aurai bien voulu prendre une douche mais il n’y a plus d’eau chaude donc lavage rapide à l’eau froide (pas très bon pour moi), je me rase quant même (rasoir électrique).
Je déjeune au bar et me revoilà au camion, un control rapide, je fais le tour du camion (mon sport du matin) et me voilà prêt à partir.
Il est 5H45, je décide de monter chez nous pour faire du GO, je gagnerai du temps et sa évitera de repasser au dépôt.

6H30, Je suis chez mon patron, la lumière des bureaux sont déjà allumé, le grand chef travaille dans son planning (il est très matinal le grand chef, tout les jours de la semaine et il ne repart qu’a 19H, là on peut voir sa motivation et son sérieux pour l’entreprise). Je fais mon plein de GO, un bon 450 L, je vais saluer le chef, je vide ma carte numérique et je repars pour aller chez mon client de Wattrelos.
Il est 7H14, je suis à l’heure ce que me fait remarquer le gardien, après avoir lu et signer le Protocol de sécurité, je vais au quai que l’on me donne.
Ah ! oui j’oublie ; la ou je suis, ils ne sont pas très motivé pour le travaille (c’est grâce au climat social tendu et aux futurs licenciements d’une partie du personnel).
On m’a prévenu de l’attente interminable chez eux .Pour vous dire après avoir vidé ma remorque, (35mn,) je place le porteur et là ils font leur pose de 20 mn (cigarettes, café et papotage), et après ils vont tous à une réunion d’information qui a duré 30 mn.

11H, je suis enfin vide, je biphone au grand chef, je charge en Belgique de l’isolation pour 3 clients dans le 69 (Lyon). Une bonne descente pour lundi .Je dois aller déjà dans un de leurs dépôts proche de la frontière et après compléter à l’usine. Mais avant tout je vais chercher ma taxe pour les quelques Km d’autoroute que je vais faire chez eux.
11H30, je suis au dépôt, je suis le seul camion et sa va très vite pour charger les deux clients, pour le troisième il me faut aller à l’usine et la on me fera aussi tout les papiers.
Il est 12H05, je suis à l’usine, ils sont en pose jusqu’à 12H30, sa me permais de casser une petite croûte. 13H15, le cariste, euh ! Non, une cariste vient me chercher et me dis de la suivre car mon chargement se trouve au dépôt N° 4.
Une fois charger, je vais pour mes papiers, j’ai deux chantiers à faire et le dépôt de Corbas, bon je vais encore bien galérer sur les deux chantiers car ils ne tiennent pas dans le porteur donc je vais devoir y aller avec ma remorque (la merde alors).

14H ,je suis reparti , je passe la frontière et je file en direction de Lille que je passe comme une lettre à la poste .Je roule très vite , j’ai hâte de rentrer chez moi , je compte les KM , les heures , voir les minutes qui me séparent de ma femme .La radio me tient compagnie ,je passe St Quentin , je quitte l’autoroute et je vais sur Soissons , ,il y a un control routier , la gendarmerie est là pour traquer les chauffards qui roulent trop vite , et ils en arrêtent sur cette route . Enfin je suis à Soissons, plus que 35 mn et je suis arrivé, je prends la direction de Reims, la circulation est fluide cette après midi, il fait bon, pas très froid, une journée de printemps.
17H , je suis à mon parking , ma femme est là qui m’attends ,je gare le camion à son emplacement , je m’empresse à dire bonjour à ma femme ( depuis le temps que je voulais l’embrasser tendrement ), je range mes affaires , je vide le frigo , un control sur les achat à faire de provisions pour la semaine prochaine , aujourd’hui je débarrasse tout mon couchage , je ferai le grand ménage dimanche et je remettrai un couchage propre . Je fais mes papiers : 5H17 de conduite pour 325 km , petite journée , mais encore une semaine à 2800 km .
Je repars avec ma femme, là je peut dire que je suis en week-end.

à la frontière je vais chercher ma taxe
pour rouler sur leurs autoroutes

je recharge de l'isolation

Samedi 21
Dimanche 22

Lundi 23

Disons que nous sommes dimanche et il est 22H30, je suis au camion, mes affaires sont déjà au camion depuis cette après-midi, oui je suis très organisé.
Pour cette semaine j’ai une stagiaire avec moi dans le camion, je deviens formateur.
J’ai aussi décidé de ne pas trop téléphoner à ma femme cette semaine (plus de crédit), je ne vivrais que d’amour virtuelle et de clémentines (j’en ai 4 KG)
22H45, je suis sur le grand départ, les 430 CV se sont bien reposé, moi aussi, j’attends encore 5mn, pourquoi est elle en retard cette stagiaire ? Elle habite prés du dépôt ou je gare le camion et pourtant ?
Première mise au point : moi je dors en bas (couchette plus large), toi en haut, si tu veux on pourra dormir en bas à deux, si tu veux ?
Pour manger, le resto, ou le camion ? Moi je fais les deux !
Pour se laver, tu feras comme moi, sois sur la route ou chez le client
Pour le petit déjeuner, moi c’est une priorité
Pour ta vie privé, je te laisse ta liberté tu es grande et majeur et vaccinés
23H enfin, je quitte mon parking, je prends la direction de Reims, qu’il est agréable de ne pas rouler seul, les km me paraîtrons moins long, et je pense mes coupures seront très …...
Je passe Reims, je continue par la national, je constate le peu de camions sur la route, nous sommes en fin de mois, et la crise n’arrange pas la situation. Je récupère l’autoroute au nivaux de Chaumont (52).Ma première coupure je la fais à la station de Langres.
Un bon café, plus une boisson énergisante et me voilà avec ma stagiaire au camion à joindre l’utile à l’agréable. (Je donne des cours)
Après cette coupure de 50 mn me voilà reparti en direction de Lyon .La descente se passe très bien en compagnie de ma charmante passagère que tu bonheur .Je refais une autre coupure à Villefranche, là je dors un peu, la fatigue est là.
Une bonne heure m’a fais du bien, je repars en direction de mon premier chantier à ST Foy les Lyon, ou j’arrive avec difficulté à 7H35 il faut dire qu’avec titine dans les petites rue ce n’est pas évidant.
Je dois rentrer dans ce chantier en marche arrière, comme il a plut je vous ne dis pas la joie dans la boue. (Dans quel état va être mon camion et ma cabine)
9H12, je suis vide, je repars en direction de mon deuxième client, c’est aussi un chantier, qui se situe à Villeurbanne dans une petite rue, bon sa va être galère encore.
Comme prévu, s’est galère, je dois déposer titine pour rentré dans la ruelle, et puis aller pour vider le porteur sur le chantier.
10H40, je suis vide, je vais à Corbas, au dépôt, j’ai pour eux 8 palettes. Je dois récupérais titine, et reprendre la direction de mon client, je pense y être avant midi.
Sa circule très bien pour une fois même sur la rocade sa roule (46).
Il est 11H20 je suis arrivé, et comme ils sont très pressé ils sont a deux pour vidé mes 8 palettes d’isolation, et à 11H55, je suis repartit. Je téléphone au petit chef pour la suite, je recharge à Lagnieu pour Douai et oui comme la semaine dernière.
Je reprends donc la direction de mon point de chargement et j’y suis à 12H43, là il y a du monde et comme ils sont au casse-croûte, je dois attendre.
Je profite pour manger et faire une petite sieste.

13H47, c’est à mon tour de charger, il lui faut faire un tri dans les palettes car le lot est mélangé et se n’est qu’à 15H12 que je suis reparti de la verrerie.
Il me ne reste que quelque minute de conduite, je vais faire ma coupure comme lundi dernier à la station qui se trouve a coté de l’autoroute.
Il est 15H26, je suis bien garé, je fais mes heures : 10H01 de conduite, pour 646 km et une amplitude de : 16H45, encore une très bonne journée.
Je vais voir si je peux prendre ma douche, et bien non c’est fermé et sa ne rouvre qu’a 18H, je vais donc dormir, la douche se sera pour plus tard, je vais dormir je suis fatigué .La coupure sera chaude, (j’ai un bon chauffage dans la cabine)..

je vous présente ma stagiaire

je suis sur un chantier sur Lyon
on me vide mon chargement

Mardi 24

0H45, je suis debout, il est temps de me levé, très bien dormis, la soirée a été très bonne. Je fais mon sport du matin : le tour du camion pour un control de routine.
Ma stagiaire est déjà debout, la carte routière dans les mains de peur que mon GPS se trompe (la confiance règne)
1H, je décide de reprendre la route, ma coéquipière aura-t-elle la force se tenir le coup pour ne pas dormir ? Là j’ai un doute ?
Je prends l’autoroute, la musique met de l’ambiance dans la cabine, on discute très bien avec ma copilote, en plus elle chante et elle gigote (elle à le rythme dans la peau).
Le temps passe vite, je suis déjà sur St Dizier, là il faut que le camion fasse sa coupure de 45 mn, je dors un peu, ma copilote aussi, elle est morte.
Elle m’a fait du bien cette pose, j’ai besoin d’un bon petit déjeuner, je reprends là route et à Perthes je déjeune.
Je reprends la route, il commence à faire jour, ma coéquipière dort encore, je l’avais bien dit quelle ne tiendrais pas le coup, des heures à rester debout.
Sa commence à bien rouler, vu l’heure sa paraît normal, je passe Reims, je récupère l’autoroute pour continuer en direction de Douai, dehors il fait bien froid, sa à gelé, le sol est blanc se que constate ma stagiaire qui est debout depuis peu .Les heures passent vite, entre la musique, le téléphone qui pour ne pas changer chauffe depuis 8H du matin, et les grandes conversations avec ma copilote nous voilà arriver à Douai, il est 11H.
Il y a un peu d’attente, un camion à quai, et je retrouve aussi les chauffeurs qui comme moi avons chargé hier pour livré ici.
C’est à 12H36 que je suis vide de mes 30 palettes de pot de yaourt, je téléphone au grand chef pour la suite. Je recharge à valencienne, je refais la même chose que la semaine dernière, je charge pour vider demain à 5H30 à bris conte Robert (que du bon boulot).
Me voilà donc parti en direction de mon lieu de chargement je suis sur la rocade minière de Douai, en direction de valencienne, ils nous font des travaux, pour améliorer la 4 voie.
Il est 13H30, je suis à l’heure pour le chargement, on me donne 2 quai, un pour titine et l’autre pour mon porteur .Je profite que je sois là pour faire un peu bossé ma coéquipière (elle doit apprendre à connaitre le maniement du camion).
Comme le chargement va durer plus de 2H, on profite de prendre une bonne douche, (un grand plaisir à 2 sous la douche).
15H46, me voilà reparti, il me reste que quelques minutes pour terminer ma journée, je vais faire ma coupure au centre routier de valencienne, là au moins je serai bien tranquille pour dormir et puis manger.
16H, je suis enfin garé, sa fait du bien de terminé cette journée, je fais mes heures, mes papiers, 10H de conduite, pour 705 km, et une amplitude de 15H, pour un mardi je suis heureux.
Avec ma copilote, on fait un tour au centre routiers, et on revient au camion, il fait un peu froid dehors. Vu l’heure, on va faire une petite sieste, se regarder entre 4 yeux et puis lui faire un petit cour de mécanique (disons plutôt joindre l’utile à l’agréable pour faire court).
La fin d’après-midi et la soirée fut merveilleuse entre les bras de ma stagiaire.

ma stagiaire apprécie ma couchette

je vide mes pots de yaourt a quai

Mercredi 25

1H45, je suis debout, le camion à fait sa coupure, moi pas trop dormis et on peut le comprendre (être en si bonne compagnie).
Je fais un tour aux toilettes, (je ne suis pas de s’eux qui pisse dans les bouteilles plastique ou pisser par terre) ensuite je discute avec le distributeur de café (le bar est fermé) et me revoilà au camion, il est temps de reprendre la route .Ma stagiaire dort encore, quelle chance elle à.
2H, c’est le grand départ pour une nouvelle journée d’aventure.
La descente sur le capital se passe plutôt bien, une petite pose, de 16 mn pour déjeuner et nous voilà reparti en direction de Bris conte robert ou j’y arrive à 5H15.
On me donne un quai et à 5H30 je sens que sa bouge, là au moins ils sont à l’heure.
Il est 7H15, je suis vide, je biphone au chef pour la suite, je recharge à Marolles (77) un client dans le nord à vider bien sur dans la foulée (oui c’est sur il faut que je bosse un peu)
Je pars donc en direction de mon point de chargement, mais avant, je fais une pose pour boire un bon café.
Il est 8h, je suis chez mon client, se matin j’ai droit a l’équipe de bras casser, que du courage ils ont pour travaillé, de toute façon nous chauffeurs nous ne pouvons rien dire. Que d’attente chez eux et tout sa pour un chargement qui ne tient que dans une petite remorque .Il est 9H44, les papiers en main je quitte cette usine, il me faut maintenant, que je rattrape le temps perdu, mais là ils se gourent car moi je vais faire une coupure de 45 mn pour manger et après on verra pour livrer.
Je repars le cœur joyeux d’avoir toujours ma copilote à côté de moi qui me soutien moralement face à mon souci éventuel de retard.
Je monte sur la grande poubelle, que je contourne sans difficulté (se qui est très rare)
Ma pose je là fais au centre routier de Roye (80), je profite pour casser la graine, un petit tour dans la boutique histoire de digérais et me voilà reparti.
Ma copilote me tient compagnie, on discute de tout et de rien.
Il est 15H, je suis chez mon client, c’est un marchand de matériaux, là ils vont très vite pour me vider, et tout sa entre deux clients, il est 15H48, je suis reparti.
Je regarde mes heures, ou plutôt les minutes qui me restent.
J’ais 8H16 de conduite, comme j’ai fait 2 fois 10H, je ne pourrais aller trop loin pour recharger. Je biphone au très grand chef, je lui dis qu’il ne me reste que 45 mn, là sa l’embête un peu, mais il faut qu’il fasse avec.
Je recharge donc demain à côté d’Arras, pour vider 2 clients dans le 77.
Je reprends là direction de Béthune, je connais un petit resto bien sympa, et il n’est pas très loin de là.
16H15, je suis garé, je suis même le premier camion à être garé, je fais mes papiers : 8H41 de conduite, pour 638 km, encore une belle journée.
Avec ma copilote, on décide de faire une petite sieste, après on ira au resto, sa changera du régime clémentine, nous avons je crois pris assez de vitamine C.
Du le resto pour ce soir.


ma stagiaire fais la pose devant mon
camion

Jeudi 26

5H25, il est l’heure de se lever pour un nouveau départ, le resto est déjà ouvert, ma stagiaire est aussi réveillé .On fonce donc aux toilettes pour se laver, pour la douche là on verra plut tard, car le chauffage ne marche pas et prendre une douche dans un frigo se n’est pas le top. Pour moi je réussi à me décrasser un peu.
Mon rituelle du matin : le petit déjeuner, sans sa ma journée serais gâchée d’avance.
6H10 nous revoilà, en forme avec des souvenirs plein la tête de cette nuit polissonne au camion.
Bon il est l’heure de partir, le camion à fait une coupure de 14H et des poussières
Je ne suis qu’à 60 km de mon client, il me faut un bon 45mn pour y allez.
7H je suis à sont portail, et il est fermé, je suis arrivé trop top (on aurait put dormir un peut plus)se qui est fait, est fais .Au moins je serai le premier camion à charger. Je passe mon temps à écrire mon CDB, je discute avec ma coéquipière, le temps passe vite on aurait même put se regarder entre 4 yeux, mais là les minutes qui nous restent n’étais pas suffisantes pour faire ça (même sur le pouce).
8H, le portail s’ouvre, le cariste vient me chercher, il à déjà ma feuille pour le chargement, je le suis et il me charge mes deux clients.
9H26, je suis parti, vu l’heure je doute de faire un client avant midi, donc je roule pépère, je décide de faire une coupure de 45 mn a la station ESSO de l’autoroute A1 pour prendre une bonne douche (il faut bien se laver après cette nuit torride et cette bonne douche se ne fut pas du luxe).
Je pense qu’il est temps de partir, là je vais aller directement chez mon client et j’arriverais à l’heure de l’ouverture.
Je prends l’autoroute de Paris, sa roule plutôt bien, le ciel est bleu, il fait que 12°, mais un petit rayon de soleil se pointe a l’horizon .Il fais bon de roulé comme sa, ma coéquipière me rend un plaisir fout d’être avec moi et la vie est plus agréable.
Il est 13H16, je suis au portail, et on me fait rentré, j’ai de la chance je me place et le cariste me vide de suite, oh là il va vite car à 13H49, je suis déjà parti.
Pour mon dernier client, je dois prendre la direction de l’A5 en direction de Troyes j’ai un bon 80km à faire.
Une petite coupure de 10 mn pour allez boire un café et se détendre un peu et nous voilà reparti pour arriver chez mon client à 15H16 .La cour est déserte, on me fait rentrer et on me vide de suite.
Je téléphone pour la suite, je recharge 2 clients pour le nord, mais le problème c’est que j’ai RDV à 19H pour charger, donc je risque d’avoir de l’attente, et en plus mon client est à 45 km a vol d’oiseau.
Je reprends la route, je fais une pose de 35mn, sa me détendra un peu et comme j’ai de l’avance et que là ou je vais ils ne sont pas très courageux donc un peu de repos me fera du bien et comme sa je pourrai mieux regarder les beaux yeux de ma copilote (ils sont vert).
Je repars le cœur joyeux pour arriver chez mon client à 17H30, comme j’ai RDV à 19H j’ai encore de la marge, à moins que par un élan de courage on me charge de suite, là j’en doute.
18H15, on me donne un quai, je décroche titine pour charger le porteur, sa deviens la catastrophe chez eux pour me charger mes 38 palettes il leur faut 1H40 et je ne compte pas le temps pour les papiers.
Il est 19H45, je suis parti de mon client , je vais couper à travers pour rattraper l’autoroute A 1 , mais le courage n’est pas là , je roule jusqu’à Plessis Belleville , là il y a toujours de la place dans cette zone industrielle , enfin je fais ma coupure de 9H .Je suis bien garé , là au moins je serai tranquille , la gendarmerie passe toute la nuit en patrouille sur le site .
Ma stagiaire prépare à manger, c'est-à-dire : épluché des clémentines, moi je fais mes papiers : 7H48 de conduite, pour 515 km.
La soirée se présente plutôt chaude avec toutes nos vitamines C.
Que d’énergie que nous devons prendre pour cette soirée.

je vide chez un fabicant de parping
pour vidé le polystyrene

Vendredi 27

5H30, Quelle nuit ! Que des bonheurs d’avoir dormis dans les bras de ma stagiaire.
Nous sommes vendredi, c’est la fin de la semaine, triste journée pour moi, je vais devoir me séparé de ma stagiaire cette après midi, la semaine prochaine je serais à nouveau seul dans le camion.
Je me prépare à partir, un peu de sport, je fais le tour du camion (en petite foulée). R.A.S
Je peux partir enfin, il est 5H45 je quitte le parking pour rattraper l’autoroute A1 au niveau de Senlis .Je suis en retard, disons vu l’heure ou j’ai quitté mon client, je savais bien qu’avec mes 9H de coupure je serais déjà en retard.
Bon de toute façons retard ou pas je dois me laver et déjeuner, en encore avec ma stagiaire nous allons faire une pose de quelques minutes.
Un petit 16 mn nous a suffi et je suis repartis pour arriver chez mon premier client il est 8H50, je lui explique mon retard et me dis que de toute façon il était débordé se matin et que j’aurai du attendre longtemps pour être vidé. Je suis rassuré, et il me vide mes 4 palettes .Je repars chez mon dernier de l’autre coté de Lille.
Il est 9H55, Mon client pousse une gueulant en me disant que je suis en retard et que je devais être chez lui à 8H, moi en retard ? Mon c’est votre central d’achat qui ne prennent pas les camions à l’heure et qui en plus trainent pour charger, donc je pars en retard et je livre en retard .Il me fait attendre 50 mn, pour moi cela ne me fais rien, je téléphone au petit chef pour lui dire, et j’attends, je discute avec ma stagiaire, on fait le point de cette semaine elle devra faire un rapport écrit pour sont stage de formation de chauffeur routier.
Au retour on fera une révision des courts que je luis ai appris.
11H, on vient me chercher, j’ai droit a 2 quais pour une fois et à 12H, je suis vide .Je téléphone au grand chef, je recharge à Lesquin 2 clients pour l’Est (Nancy et Strasbourg) et je dois le rappeler une fois charger car je n’ai que 13,5 m de plancher à prendre donc un petit rajout ne fera pas de mal.
Il est 12H30, je suis pour la première ramasse Deux palettes, puis je vais chez mon autre client pour le reste, la je dois ouvrir les côtés, et en plus il y a du monde, alors je dis a ma stagiaire que nous allons casser une petit croûte dans cette attente.
Il est 15H12, je suis chargé, je biphone au grand chef pour la suite, il me reste 1,50 m dans la remorque, mon chef me dit de remonter au dépôt j’ai une palette pour Kunheim, et que je rechargerais sur place.
15 H50, je suis chez mon patron, je charge ma palette, je vais vider ma carte numérique, un petit tour au garage pour que l’on vérifie les pneus du camion, pour le lavage du camion là il ne marche toujours pas, je fais visité un peu le site à ma stagiaire et nous voilà reparti.
Le retour fut agréable, déjà on roule très bien, je suis joyeux, je pense et là j’en suis sur, je suis encore plus amoureux de ma stagiaire.
Elle me dit quelle doit refaire un stage au mois d’avril, là pour une formation de logistique dans le transport et voudrais bien venir avec moi. (Je suis un bon prof)
Les heures passent, il est déjà 19H33 et nous voilà à mon parking, comme je suis à pied elle me propose de me ramener chez moi. On débarrasse toutes nos affaires, je fais mes papiers : 8H15 de conduite, pour 498 km, j’ai fait une très bonne semaine de 2999 ,0 km.
AH ! , j’oublié ma stagiaire ce prénomme Ludivine.
Je t’aime ma Ludivine, voici mon numéro de téléphone 06 07 12 29 10.

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Mon petit rapport de mon stage avec M. turbo
Ouf !la semaine est enfin finie, ce n’était pas facile de se lever pratiquement toujours de bonheur. Moi qui pensait que la route serait une affaire les doigts dans le nez et que je me la coulerais douce et bien pas du tout, d’abord mon maître de stage me met au parfum pour le fonctionnement dont les choses allaient se passer pas cool le prof .Nous voilà parti pour une semaine d’apprentissage, nous roulons et nous roulons toujours premier point dans mon apprentissage éplucher des clémentines pour le prof il en aura besoin me dit t’il. Ensuite il faut aussi apprendre la patience car c’est vachement long l’attente pour charger ou l’inverse, mais en plus de il faut aussi faire des coupures de 45mn, la mon prof me propose de dormir un peu ou autre chose de plus intéressant. J’ai opté pour la 2 ème option, quand nous étions en plein débat, voilà que son téléphone sonne encore c’est un sois disant chouchen punaise celui là il a le chic de toujours biper au mauvais moment, déjà que nous avons si peu de temps et à chaque fois, que nous étions les yeux dans yeux voilà l’autre qui bip. Mon prof a une santé d’acier, parce que au téléphone monsieur il n’a pas arrêté d’appeler ses copines sa fiancée son amoureuse et en plus il drague les secrétaires, de ses clients, moi qui croyait que s’était que moi qui faisait tanguer son camion .Mon prof, plaît beaucoup c’est un serial lover, je comprends mieux les 4kg de clémentines. Au mois d’Avril je dois faire un autre stage j’aimerais bien le faire avec lui, mais là et oui se seras moi qui poseras les conditions.
1 : plus de téléphone pendant les coupures.
2 : pas de drague aux secrétaires même si elles ont de beaux obus et de belles miches.
3 : fini l’épluchage de clémentines.
4 : c’est moi qui choisiras la couchette, après tout les femmes d’abord.
5 : fini le resto DAF même si c’est un cinq étoiles.
6 : s’il vous plaît, monsieur les constructeurs opter pour les WC chimiques, j’en ai eu marre de me geler les miches, toutes les nuits pour mon pipi, toutes les deux heures en plus et oui je suis une fille, donc une pisseuse.
7 : en résumer j’ai passé une semaine formidable avec mon prof râleur mais très pro, envers ses clients, son patron, et surtout ses coupures avec moi, nous avons passé une semaine très instructive et mouvementer.
Au faite , je me présente , moi c’est Ludivine .


ma stagiaire voudrais bien le conduire
mon camion et bien non il faut quelle le passe le permis avant le raport de stage

la voilà qui 'écrit son rapport

Samedi 28

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