" Voici donc une possible solution pour l'avenir du régime des retraites. Du fait de sa spécificité, elle ne peut qu'être valable que pour les personnes qui naissent à partir de sa date d'application. Donc pour nous tous actuellement, il va falloir que l'on continue à se démerder.
Dans un premier temps, il faut monter une caisse spéciale, genre URSSAF ou sécu et compagnie, mais en plus léger au niveau de la structure, ce afin d'en diminuer les frais généraux. Ensuite à chaque naissance d'un enfant, cette fameuse caisse prends au nom de la nouvelle personne, un prêt bancaire d'une valeur de 15 000 ?, ( 100 00 FRF). Il est évident que la famille du nouveau-né n'a aucune démarche à accomplir, et la situation fiscale, familiale ou autre des parents n'a rien à voir. C'est à chaque nouvelle naissance que le processus s'engage. Donc la somme de 15 000 ?, est confiée à une banque, qui s'engage à faire fructifier l'argent avec un minimum de 5% de taux d'intérêts. Sachant que les 5% de ces intérêts sont là afin d'amortir le capital. ( C'est compliqué, réfléchissez bien sur le raisonnement).Si la banque place cette somme à plus de 5%, et croyez moi, les placements bancaires sont plus près de 15 ou 20 % que de 5, la différence que la banque peut gagner , elle se la garde pour elle. Le principal étant qu'en l'espace de 20 ans, le capital de 15 000 ? soit
remboursé par ses intérêts à 5%.
Afin de simplifier ma démonstration, je vous schématise le truc: Vous faites un prêt de 15 000 ? sur 20 ans. Avec la somme en espèces, vous allez dans la banque à coté, et vous la placer à 5%, donc tous les ans vous avez 750 ? d'intérêts. et tous les ans vous devez 750 ? échéance à la première banque pour rembourser le prêt. Bon c'est pour vous faire comprendre, le système, car en fait le particulier ne s'occupe de rien.
Dans ce système, il est évident que la personne assurée, et toute sa famille, ne dispose pas de l'argent, à la limite, elle n'en voit pas la couleur, quoiqu'il arrive.
Nous arrivons donc au moment où la personne en question arrive à l'âge de 20 ans. C'est donc l'âge où théoriquement elle commence à travailler. L'organisme en question, gère donc sur son pécule un capital de 15 000 ?, qui a été entièrement remboursé à la banque par l'intermédiaire des intérêts. L'opération est simple, si on a 5 % d'intérêts par année, il faut vingt années pour arriver au 100%.
Sachant que pour notre exemple, la retraite est à 60 ans, que la personne travaille ou ne travaille pas, le capital de 15 000 ?, cours toujours et est productif d'intérêts. Nous limitons pour la simplicité du calcul les intérêts à 5% encore. Donc et sachant que les intérêts sont productifs d'intérêts, nous avons à la 21° année, un capital de 15 000 ? plus 5 % soit 15 000 + 750 =15 750 ?. Pour l'année des 22 ans, c'est donc 15 750 ? de capital qui sont productifs d'intérêts soit 15 750 + 787.5 = 16537.5 ?. Et ainsi de suite jusqu'à 60 ans. Donc cette personne, bien qu'ayant travaillée ou pas, étant malade ou pas, arrivera à ses 60 ans avec un complément de retraite, qui pourrait être prélevé sur les salaires comme aujourd'hui. Ce qui me fait dire que dans mon système, les ponctions des cotisations de vieillesse ou de retraites ne serait plus obligatoires. Donc nous avons une amélioration du pouvoir d'achat.
Sachant que par exemple en 2001, il y a eu 774 800 naissances, c'est un pactole de 11 milliards 622 millions d'Euros au départ. Cette somme ferait en 2061 un montant que ma calculatrice ne peut calculer. Montant que les banques et l'organisme de gestion des retraites devrait gérer.
En cas de décès de la personne avant l'âge de 60 ans, disons qu'au niveau strictement financier, ce serait tout bénéfice pour la l'organisme, puisque le montant des cotisations, quelqu'il soit reviendrait à la caisse et ferait toujours des plus-values, alors qu'au titre de la personne décédée, elle n'aurait plus rien à lui verser.
Après l'âge de 60 ans, tout en commençant à verser une retraite à cette personne, l'organisme fait toujours fructifier le capital.
Donc voici le principe que j'ai imaginé. comme je l'ai dit plus haut, ce n'est que dans vingt ans que le système sera fiable, et exclusivement pour les personnes qui naissent maintenant s'il démarre aujourd'hui. Il y a aussi lieu de noter que ce système est tout à fait légal, personne n'est lésé, et qu'il peut s'adapter à l'assurance maladie ou autre.
Je suis étonné que parmi les grosses têtes qui nous gouvernent, et qui sont sorties des grandes écoles, il n'y a pas un seul qui n'aurait imaginé un truc si simple.
Donc j'aimerais avoir vos commentaires objectifs sur mon idée. Si vous avez des idées dans le style merci d'en faire part. C'est maintenant à nous de nous prendre ne main.
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