Le repas des anciens de la VIT
26 et 27 mai 2007
par Alain
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Le camping-car de Jean-Marie Ogé, garé dans notre cour, à Ste Vertu, il est venu accompagné de sa femme, Christiane, pour la 2 ème année. C'est un «mercenaire» il travaillait pour son compte et roulait pour la VIT.
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Apéro sous le parasol
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L'apéritif s'est pris dans notre jardin, il n'a même pas plu !
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Michèle, qui fit les beaux jours du standard de la VIT. On adorait sa naïveté si gentille qui nous faisait dire tant de grivoiserie, mais elle a adoré cette période, sinon, elle ne serait pas là aujourd'hui.
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Ce soir-là, il y avait une potée au menu. Préparée par le traiteur du coin, pour la petite histoire, elle était exquise.
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Distribution de la potée. A droite il y a Marina, qui nous est venue de Turin où elle travaillait au bureau de la VIT avant de travailler à Bonneuil.
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Claudine remerciant affectueusement Martine pour l'aide efficace apportée au bon déroulement du Week-end.
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Il est évident que la mélancolie et la tristesse d'un passé et d'une jeunesse à jamais disparue ont laissé des traces sur ces trognes d'un autre age…
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C'est dans notre salle que se passe une partie des libations du Week-end.
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CLAUDINE, c'est elle qui organise, prépare, à des idées, pense à ce que n'aurait pas pensé le plus penseur des organisateurs… c'est LA maîtresse de cérémonie, on lui doit la réussite de ces réunions magnifiques, et en plus, c'est ma femme et ne dites pas que ça me rend peu objectif.
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Quelque joyeux fêtards.
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Lydie et Gérard, ce sont des voisins (30 km) lui a travaillé chez Cisternas, Carrie et je ne sais plus qui, mais ça lui a quand même permis de rouler sa bosse jusqu'en Mongolie !
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Christian et toute une tablée de gens motivés (pour faire la fête)
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Denise Christiane et Toutou.
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Michèle et Yves, son mari
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le groupe du samedi, photo avec Laetitia (notre fille) qui a laissé sa place de photographe à Claudine.
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Avec juste les employés de la VIT.
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Une partie de tarot qui nous emmène tard dans la nuit...
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et qui finit la journée du samedi, voilà 4 années de suite que le rituel est instauré et tant pis si on ne dort pas vraiment cette nuit-là.
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Dimanche 27 mai 2007
Il s'agit de la salle mise à notre disposition par la mairie. Elle à la particularité d'être décorée par une collection d'environ 5000 étiquettes de fromages, œuvre d'un de nos aimables concitoyens qui est toujours heureux de montrer sa passion à qui vient là voir. Sur les murs, il n'y en a pas deux pareilles ! c'est quand même étonnant.
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Comme nous sommes plus nombreux que la veille, le repas se fera là.
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Et l'apéritif dans la salle des fêtes, au rez-de-chaussée
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Simone et Jean Chevalier.
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Michel Richard.
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Jean-Marie Ogé et Jean-Pierre Galloy
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A gauche Alain Parville, à droite Geneviève Martin et René Bézin, mon beau-papa.
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Jean-Lionel et Claudine Barbier
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Le groupe du dimanche tel qu'il est paru dans l'Yonne Républicaine, un journaliste venant chaque année nous faire un petit papier avec photo à l'appui.
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Le service du repas, avec les enfants de Gérard Bonnet qui ont bien participé.
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Les gâteaux. Avec l'inscription «pour les Bagdadis» surnom que ma fille nous a trouvé.
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Daniel Marche et sa compagne.
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Claudine sous un autre angle.
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Michel Gugger.
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Simone Chevalier.
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Jean Chevalier.
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Denise Parville et Jean chevalier.
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Un autre Toutou.
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Le dimanche, en fin d'après-midi, retour chez nous pour ceux qui ne sont pas déjà repartis, et le tarot s'impose à nouveau.
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Françoise et Alain Barrachin, mécano à la VIT, c'est le premier d'une autre qualification que chauffeur à nous rejoindre.
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Jean-Marie Ogé, Alain Parville, et Henri Martin, le seul d'entre-nous à avoir déjà une avenue dans Paris à son nom !
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Jean-Marie sans doute en train de nous expliquer le principe de la prière appliqué au mécréant que nous sommes.
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Les Barrachin et les Gugger.
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Michel Richard impressionnant aux yeux des jeunes générations…
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Christiane Ogé dans ces œuvres de cuisine.
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Complètement à droite, au bout de la table, c'est moi.
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Finalement, une des principales occupations du week-end, c'est de bouffer.
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Denise et Alain Parville, et moi.
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Henri Martin, Laetitia ma fille, et encore moi.
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Les Pillas Père et fils, Christian et Cédric.
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Nous voici donc maintenant au lundi 28 mai 2007. Il n'y a plus encore présents que les traînards, les retraités, et ceux pour qui l'occasion est toujours bonne pour boire un coup. Oui, je sais, les trois définitions s'appliquent en général à chacun de nos convives du week-end, et c'est pour cela qu'on les aime. L'ambiance du lundi matin est particulière, tout le monde voudrait partir vite car il y a du chemin à faire, mais chacun retarde encore un peu, ce qui fait que le midi c'est une tablée conséquente qui nous fait honneur.
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Ce matin-là, le réveil fut laborieux pour la Reine de la Pentecôte.
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Départ de Michel Richard, avec son immatriculation bulgare.
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Petit déjeuner avec autant de brume dans les yeux de chacun que dans les yeux de Claudine, ou presque.
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Départ de Denise et Alain Parville.
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Départ de Christiane et Jean-Marie Ogé sans ses feuilles de « palmiers » ni ses plaques « Paris-Bagdad » qu'il m'a gentiment offertes.
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Christian qui a investi tout le pays et y circule en propriétaire.
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Départ de Jean-Pierre Galloy.
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Dernières images sur la place de la mairie ou Christian avait planté son campement.
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Voilà, un résumé de notre week-end, qui s'est passé comme chaque fois dans les meilleures conditions possibles d'amitié et de fraternité. Tout le monde est reparti enchanté et toujours bluffé du travail époustouflant de Claudine. Le meilleur compliment que chacun ait pu lui faire, c'est : « l'année prochaine, on revient ! »
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