FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • en montant la Faucille
    aux Rousses 39
  • Jeudi 25 Avril 2024
  •  

    Café, pain-beurre, douche je décolle à 7h et demi. Une heure après je suis chez Carrier à Culoz, visiblement ici ils fabriquent des groupes frigos pour l'industrie et pas de frigos pour les camions. Gardien, en place, un cariste vient me sortir la longueur de 7m, un coup de fourches et je me sauve. J'avoue que j'avais un peu sous-estimé le temps pour aller au deuxième client, je n'y serai jamais avant midi, pas grave. J'ai le temps d'admirer le paysage, les paysages même, la route serpente au bord du Rhône d'abord ensuite il faut changer de vallée et grimper sur la montagne.

    Il a neigé pas sur Yesterday comme chantait Marie Laforêt mais sur le col de la Faucille, la route a été salée mais à haute dose, en quelques km mon camion est tout blanc de sel. A midi et quelques je suis chez Girod à Bellefontaine, un gars me dit qu'ils reprennent à 13h, ça me laisse le temps de manger un bout. A la fin de ma 45 je me mets en place, ici je livre le plus gros lot, j'ouvre les deux côtés. A 1h pile un mec se pointe avec un chariot latéral, ça va pas trop mal, pas super rapide m'enfin voilà.

    Le troisième point est à 13 km, c'est un dépôt Girod dans l'ancienne usine des jouets Charton, je suis le seul camion, le gars me fait mettre à quai direct, en 10 minutes c'est réglé.

    Je descends à Besançon, j'ai voulu tester la route d'Arbois pour changer, c'est pas une bonne idée, à un moment la route passe entre des rochers, il a fallu croiser des bagnoles...prochain coup je passe par Salins et basta.

    En premier je passe à la halle fret, Nico me charge 7 palettes de pellets. J'ai un peu de temps je change mon garde-boue fendu sur la semi, ça ne se voyait pas trop mais c'est plus propre. Après ce bricolage je descends au dépôt, pour charger un lot de terreau. Le lot est dans une semi, il me faut attendre que le collègue la mette en place ensuite je transvase dans ma calèche. Ça rentre ric rac aux portes, purée il peut neiger ça ne va pas patiner. Un coup de gas-oil et je me rentre. A 19h30 je pose le camion à Bourogne, fin du bal comme dit Jean-Charles.

     

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  • en montant la Faucille
    aux Rousses 39
  • Jeudi 25 Avril 2024
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    Café, pain-beurre, douche je décolle à 7h et demi. Une heure après je suis chez Carrier à Culoz, visiblement ici ils fabriquent des groupes frigos pour l'industrie et pas de frigos pour les camions. Gardien, en place, un cariste vient me sortir la longueur de 7m, un coup de fourches et je me sauve. J'avoue que j'avais un peu sous-estimé le temps pour aller au deuxième client, je n'y serai jamais avant midi, pas grave. J'ai le temps d'admirer le paysage, les paysages même, la route serpente au bord du Rhône d'abord ensuite il faut changer de vallée et grimper sur la montagne.

    Il a neigé pas sur Yesterday comme chantait Marie Laforêt mais sur le col de la Faucille, la route a été salée mais à haute dose, en quelques km mon camion est tout blanc de sel. A midi et quelques je suis chez Girod à Bellefontaine, un gars me dit qu'ils reprennent à 13h, ça me laisse le temps de manger un bout. A la fin de ma 45 je me mets en place, ici je livre le plus gros lot, j'ouvre les deux côtés. A 1h pile un mec se pointe avec un chariot latéral, ça va pas trop mal, pas super rapide m'enfin voilà.

    Le troisième point est à 13 km, c'est un dépôt Girod dans l'ancienne usine des jouets Charton, je suis le seul camion, le gars me fait mettre à quai direct, en 10 minutes c'est réglé.

    Je descends à Besançon, j'ai voulu tester la route d'Arbois pour changer, c'est pas une bonne idée, à un moment la route passe entre des rochers, il a fallu croiser des bagnoles...prochain coup je passe par Salins et basta.

    En premier je passe à la halle fret, Nico me charge 7 palettes de pellets. J'ai un peu de temps je change mon garde-boue fendu sur la semi, ça ne se voyait pas trop mais c'est plus propre. Après ce bricolage je descends au dépôt, pour charger un lot de terreau. Le lot est dans une semi, il me faut attendre que le collègue la mette en place ensuite je transvase dans ma calèche. Ça rentre ric rac aux portes, purée il peut neiger ça ne va pas patiner. Un coup de gas-oil et je me rentre. A 19h30 je pose le camion à Bourogne, fin du bal comme dit Jean-Charles.