FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mars 2020 Partager sur Facebook
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  • Mercredi 11 Mars 2020
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    Ben n'en vlà un bon plan coupure ! On dort au calme, le menu est à 10€, faut rajouter la somme folle d' 1€10 pour le café, seul bémol la cabine de douche est un peu petite, je dois rentrer mon bide pour entrer.

    Un peu avant 9h je suis à Santa Perpetua. Gros bordel dans ma remorque, tout ce que j'ai dépoté vendredi ne s'est pas rangé tout seul, je passe une bonne heure à tout refaire et vider. Marionna se pointe entre-temps, elle part en éclaireuse.

    Avant d'arriver à Sant Joan elle m'appelle, c'est le gros bordel dans la rue des clients, faut que je me gare avant. Elle vient à ma rencontre et on va voir à pied. La maison est au bout d'une zone industrielle, on est bien à Barcelone, le sens de circulation dans la zone est incohérent on se croirait à Santa Perpetua, ça vous donne une idée. Des bagnoles garées de partout, y compris dans les virages à l'équerre, je décide de rester où je suis. Il fait 21°, au bout de la rue on boit un café en terrasse au soleil, pas longtemps mais c'est un moment délicieux. On passe la piscine au-dessus d'un mur, faut que je grimpe pour faire le contrôle, stage commando, c'est plus de mon âge ces conneries. En deux voyages je suis vide. Direction Girona.

    Je prends le temps de manger un bout en vitesse, à 14h30 je suis chez les transports Porqueres. Au bureau on me dit de me mettre à quai mais qu'ils partent à la soupe, on verra ça à 16h. Bon bon.

    Juste avant 4h un cariste arrive et me charge des lingots d'alu, en même pas une demi-heure c'est fait. Bureau, papiers, du super boulot.

    Le gas-oil et l'ad-blue crient famine, comme d'hab' je fais les pleins à la Petrem à Figueras. On est mercredi, on reçoit les programmes pour dans 15 jours, j'aurai une piscine à Las Rozas de Madrid. Les affaires reprennent, j'avoue que je suis assez, non, très content. La semaine prochaine je fais de la merdouille en Alsace Lorraine, pas grave j'ai la carotte pour me faire avancer.

    Je finis la journée à Poussan, en passant devant, avant d'aller faire demi-tour au rond-point suivant j'avais bien vu que ça allait être chaud, je prends la dernière place potable. Le parking est en entonnoir, les premiers ont facile à manœuvrer, le dernier donc moi se fait copieusement chier.