Carnet de bord de Septembre 2021 | Partager sur Facebook |
Rien à signaler tant sur mes bâches qu’à ma jauge. Je repars à 7h30. C’est à peu près calme pour un vendredi, à Chasse tout ça, et même Sainté. L'ironie du voyage, je vais vider mon dernier enlèvement de matières premières d’hier à Montbrison, là où j’ai chargé lundi. Je veux y aller par la natio, Sury le Comtal mais je me fais avoir à Andrézieux, c’est tout bouché cette fois sur l’échangeur. Je file vers Veauche et reprends l’autoroute plus haut. J’arrive à Montbrison vers 9h passé, déjà 2 camions dans la cour qui vident, et un porteur de palettes vides. Ma foi on verra, mon rack de parois de camping car doit se vider à 35 bornes de là avant midi. Mais ça va bien, le 2éme est un camion portugais en fond mouvant, ça ne traîne pas à sortir ses big bag. J’enquille derrière, je suis vide un peu avant 11h, ouf. Un collègue à Juju42 arrivait avec sa city, qui avait l’air bien pressé, mais finalement il chargeait. Je file au terminus du voyage, à Panissières. A travers pour rejoindre Feurs, qui se traverse avec une perte de temps assez conséquente vu la déviation pl, et un peu de petites routes direction Tarare. ça rapelle encore une route des dernières vacances. Je suis à 11h30 au constructeur de camping car et vide en 10 minutes le rack de parois isolées. J’ai une suite à prendre à St Bonnet les Oules, dans la grande distri, pour prendre un partiel de catalogne. Ironie encore, c’est la même chose que je devais remonter hier, et pour ce même expéditeur. Peu importe, quoi qu'on fasse, le transport est symbolique pour tout le monde. Je redescends par Feurs et Montrond les Bains et revois son beau chateau, souvenir de l’été 2021 encore. Avant d’aller charger, je fais un peu ma vie, en allant au gazole au Leclerc Andrézieux puis au pain au Blachère un peu plus loin. Je suis un peu avant 13h30 à la plateforme où on s’inscrit à une borne tactile, puis j’attends d’être appelé au tableau en mangeant ma salade Blachère. Elle est juste achevée que je peux déjà rentrer charger. Le réceptionnaire est bien gentil faut se charger, mais il m’aide. Il est juste réceptionnaire, c’est rare qu’il expédie. Il suppose que c'est de la camelote à date de consommation proche. A 14h15 je peux repartir et ramener direct ce lot à quai à Jarcieu. ça va encore au niveau circulation, un peu moins pire que tous ces derniers passés. Le ciel n’est pas joli une fois Chanas passé, et c’est carrément le déluge en arrivant à Jarcieu. Soit je suis bien vu, coup de bol ou hasard, j’ai le quai 7 à prendre, soit un abrité sous le haut vent. Sans parler qu’il y a toujours un Emeric de service pour ouvrir les portes de la semi. On cide tout ça, je ais voir Jean No pour savoir à quelle sauce je vais être mangé. C’est pas trop compliqué, juste 2 lots. Pas trop compliqué, sauf l’odeur, il y a une partie du chargement qui sont des ails et des oignons. Greg me ramène en direct des palettes de fibres de verre, puis on boucle avec une palette 59 de Peliaffrètements. C’est mort pour rentrer, en gros pour 10 minutes, mais pour durée journalière et aussi l’amplitude, donc inutile de faire le bandit. Du coup je passe sous la douche avant de partir à 17h30. J’ai pas bien lourd, je file par Beaurepaire et SQF. ça roule quand même jusque Beaune, mais on a connu pire. Je ne tire pas les heures et m’arrête à Gevrey Chambertin. Là, c’est cool, pas foule, zéro caravane.