Carnet de bord de Mai 2021 | Partager sur Facebook |
C’est calme mais à partir du matin ici, ça n’a pas arrêté de la nuit. On module avec Georges qui est garé à 500m et on décide d'avancer au client à 7h50. Il y a 2 quais, impeccable, pas besoin de se battre même si Georges tenait à ce que je passe avant. Je suis vide une petite heure plus tard je repique l’A6 puis l’A31 pour filer au 2éme à Nuits St Georges, sans St Georges de Beaurepaire. C’est vide aussitôt. Stéphane m'a suggéré de me trouver un rdv de mines sur le secteur de Chanas ce jour, vu que je galère à trouver par chez moi semaine prochaine. Entre un centre en travaux et l’autre qui n’a pas de dispo jusque semaine d’après. Je descends d’abord charger à St Clair du Rhône, ce sera du lourd, et il y a un rdv de pris à Salaise à 15h30 16h. Impec. Je fais un stop douche baguette à Mâcon sans traîner quand même. C’est bien rouge sur Lyon, périf comme le bout de l’A46 à Communay. Je vois Philippe Cancade dans le file vers A47, il va sans doute à Givors. Je passe par Condrieu et Chavanay pour rejoindre St Clair. Là bas à 13h30, je rentre assez vite. Les 2 quais sont occupés, j’ai le temps de casser une graine et de refaire un dernier tour des feux. Le reste a été checké aux derniers congés. Je charge assez vite un complet de 22t mais à la sortie faut attendre la douane vu que c’est de la UK. Là je vais être à la bourre à Salaise. Un autre camion de chez nous pourrait passer prendre le doc plus tard, Ph Cancade j’imagine, je le vois passer au dessus pour aller vider sa navette Givors. Le gardien me fait poireauter encore 10 minutes pour avoir l’accord de me laisser partir. Là je suis en retard, je préviens Dekra, il me dit de venir quand même. C’est pas loin mais il faut le temps d' y aller avec Roussillon à contourner. J’y vais par la 86 et Serrières, ça parait plus direct pour la zi de Salaise. J’y suis à 15h45, un camion rentre, peut être celui qui devait passer derrière moi, mais c’est bon, le gars du CT me fait signe de venir à la suite, ouf, la tension commence à retomber.
Le contrôle se déroule sans souci, RAS ni au tracteur comme à la semi, et c’est la zénitude retrouvée. Et pas un mot pour mes 3 pauvres loupiotes oranges de la visière. ça change des grincheux vosgiens qui te refusent quand t’es en retard. Je remonte à Jarcieu pour passer à quai. Il s’est juste passé un truc lors du CT, c’est la pédale du réglage de la colonne de dirction qui al’air de faire des siennes, il n’y a plus que le réglage de l’inclinaison volant qui fonctionne, la colonne plus rien, résultat j’ai une position de conduite assez proche de l’époque F1020. Aller, encore un tour au garage à prévoir. A Jarcieu, c’est le rush du vendredi, dans le plus épais. Fabien prend un cours de sanglage par Phil. Je me moque un peu jusqu’à ce que j’apprenne que c’est une semi pour ma pomme. Bon, ça va, ce qui ressemble à un coffrage a l’air sérieux quand même. Du coup je n’ai qu’à vider ma semi puis dételer rateler. Je passe au rouleau, ça fait pas de mal, la semi que je prends n’était pas bien rutilante non plus. Je repars à 19h passé, go via Lyon périf, ça roule mieux que c’est aprem dans le secteur. J’enquille la 83 à Bourg, j’ai pas lourd ni de plaque orange. Je vise la zi à Poligny pour ne pas faire de bêtises avec l’amplitude. Finalement je me pose juste après la sortie, contre la fromagerie Juraflore.