FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Septembre 2019 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Mont Blanc
    I love the twenty six
    Philippe et sa machine
    vert et bleu
    bleu et vert
  • Vendredi 13 Septembre 2019
  •  

    Je marche 10 minutes pour aller au gasthaus à la douche et au pain beurre puis rebelotte dans l’autre sens. ça peut pas faire de mal pour ce que j’ai comme dirait Pierre et avec l’été qui joue les prolongations ça fait du bien. Je décolle à 6h45 vers l’est Lyonnais, Meyzieux. Via A432 ça file, et la vue sur le Mt Blanc est cette fois bien nette et claire. Aussi bien que depuis les hauteurs des Vosges.

    A7h35 chez le client des pieux. Ils n’y sont plus, mais c’est réunion de travail avant de commencer. En fait on est chez un agenceur de containers maritimes qui doit stocker les pieux.

    On vide très doucement, sans accrocher l’ibc, ouf. 

    Je file au 38 proche, SQF, mais avant arrêt au pain et viennoiseries à la boulange de la zone de Meyzieu, au poil. A SQF c’est chez l’équipementier poids lourd, qui fait dans le raccord de compresseur et orifice de citerne, j’y avais déjà livrer des autres palettes de gb avant les vacances. 15 minutes plus tard je peux filer à la suite dans le 26, et par full autoroute, c’est déjà vert sur A43 A46, ça gagnera du temps.

    J’ai du Portes les Valences et Sauzet où il ne pourra pas me vider entre midi et 2. 

    Je monte le Boeuf à 70, je tente alors le PLV en passant, chez Gondrand en principe ça va toujours bien.  

    ça se confirme, en 20 bonnes minutes c’est vide et j’ai eu le temps de dessangler tous les ibc de produits. J’appelle le client à Sauzet, pas de souci si j’arrive à 11h30.

    Julie dit “good”. Ben  J’ai paëlla demain, d’abord.

    Route de Dieulefit à la Coucourde, on se croirait en vacances, 26 power, ou lover.

    A 11h30, le tir pal attend dans la cour, 20 minutes encore et c’est vide, et toujours avec le sourire. Je boucle 35 minutes en cassant une graine et remonte “à quai Jarcieu merci”.

    Cette fois, je suis vide, mais je ne monte le Boeuf qu’à 40.

    Je passe au gazole à la Total de Salaise et monte à Duarig land. 

    J’ai encore les 2 longueurs de Aylesbury, je pose ça sur le quai à l’os, pas besoin de mettre à quai. Je passe au lavage, non pas que les nappes phréatiques ont dû totalement se reconstituer depuis la dernière fois, mais là le camion est “sale”, donc éventuellement justifié.

     En attendant mon programme se concocte mais c’est bien du lourd, plus de 25t passé. Alors même après un bon lavage je ne pense pas avoir perdu 900 ou 1000kgs de poids mort. 

    Faut prendre une “Duarig” dit Jean No. Oui mais avec hayon c’est pas encore ça.

    Stéphane trouve la solution en me confiant la Kogel Guillot Bourne, pas de hayon. “Tu feras 14t à vide avec ça”  . 

    Faut juste que je la vide puisqu’elle fait office de stockage, pour transvaser dans la mienne un complet de pvc en sacs. 

    Emeric et Nicolas reviennent de table.

     Emeric a un beau groupage UK à faire rentrer et à ne pas gerber n’importe comment. Il va découvrir Stafford, Stone et surtout Elland. J’ai peur qu’il veuille rester là bas quand il aura vu la beauté des paysages...le 05 c’est surfait à côté!

    Nicolas qui ne me croyait pas que j’accroche une des 1ere semi Duarig, puisque de 2005, pour monter en GB, se résigne à me filer la main pour achever et charger mon complet d’Andrézieux et un lot dessus.

    Stéphane dit qu’elle de 1871. Peu importe l’année, je préfère autant ça que d’accrocher une neuve, c’est moins flippant du point de vue coup de cutter dans la bâche ou autre souci, et surtout il y a d’abord le FH vert à Philippe devant à déplacer. Je m’en charge avec l’accord de ce dernier. Je le remets sous la Schmitz bleue.

     Instant de bonheur, j’ai rajeuni de 20 ans, alors que j’allais avoir bientôt le FH12 ex transak.

    Fermer les portes de la Kogel c’est moins drôle par contre, faut garder le pied de biche sur soi.

    Je repars à 16h20, avec mon poids je descends par Chanas et Lyon, où ce n’est pas encore trop rouge.

    Je croise Fabien en bas, qui me sonne un peu plus loin, étonné de me voir avec la vieille Kogel Guillot. ça défraie la chronique au moins.

    Lyon a pas si mal passé, je trace l’A6, l’A31 et sors à Dijon nord. Elle roule cette vieille Kogel, je suis sûr que le FH vert en aurait demandé autant. 

     Il est 20h au péage.