FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2020 Partager sur Facebook
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  • on est à l'heure nous
    Englishman in Marseille
    Pouzin Barage
    banane sèche liner
    on disait qu'on chargeait pour la catalogne
  • Mercredi 8 Juillet 2020
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    RAS ce matin sur le parking de Vitrolles. Par contre hier soir, à 19h, c’était trop tard pour prendre la douche à la Total, je suis descendu au resto en bas, y avait du peuple qui attendait. Du coup j’ai mangé, une première depuis la crise du Covid, et même tout court. 

    Café au camion, je mets en route à 5h45, on peut vier à partir de 6h ou  plutôt 6h30 selon le gars présent sur le chantier que j’ai eu au tél hier. J’ai un peu cherché la rue exacte sur map, car il y avait confusion entre Boulevard et Rue de Plombière, et même ce gars bien sympathique tout de même m’a embrouillé en me disant que c’était rue de la Palombière. Mais c’est bien l’idée de départ, qui colle au sms du chef. Le chef a toujours raison, c’est la règle.

    Et du coup ce n’est pas trop stressant à accéder, c’est tout contre l’A7 au triangle de l’A557.

    En 20 minutes j’y suis, Pete arrive derrière. Notre homme n’est pas là, il finit pas arriver à 7h. C’est un complexe sportif en rénovation, il nous vide les bigbag de sable le long du trottoir du boulevard, ça va impec.

    Il est presque 8h quand je peux repartir de là, direction l’A7 nord, avec quelques bouchons quand même dans ce sens, ainsi qu’aux sorties Vitrolles.

    Je dois recharger en Ardèche, au Pouzin, c’est vacances quoi. 

    Je sors à Piolenc et fins par la N7 jusqu’au barrage du Pouzin où je franchis la frontière et arrive chez mon client, la bonne maison SAT. Je charge un complet de cagettes cartons, sans prendre le temps de prendre en photo le beau Leyland qui trône sur le parc. 

    Route sur Mions, je récupère A7 à Loriol, casse une graine au péage de Reventin, où c’est animé, puisque je peux voir passer un autre ardéchois sympa, le petit Mich zéro sept.

    J’arriv à Mions à un dépôt de bananes, ça caille, je mets le gilet pour assister au déchargement qui occupe bien 1h.

    La suite est à prendre chez Mazet à Feyzin, un groupage partiel pour la Roca del Vallès. ça met le temps aussi, mais le mec serre bien, gerbe comme il faut. 

    C’est l’heure de pointe quand je repars, je gratte un peu du bouchon du bout du périf en passant par derrière Solvay, mais c’est du lourd quand même au niveau circulation. 

    1h plus tard, au quai 5 de Jarcieu, on ressort mon groupage, san ne rien trop bouger au niveau des gerbages pour que ça tienne le même métrage dans la semi du collègue Vilardell. J'avais caressé l’espoir de le garder et de descendre pour rouler un peu. Mais no. Enfin, d’un autre sens c’est la quatorzaine qui appréciera. 

    Du coup je reste ici ce soir, il y a Jérôme, un nouvel affrété picard, mais ancien à la fois, il a connu Giraud Sonnay. On doit attendre un espagnol qui vient charger un complet de boissons, et ensuite on va acheter 2 3 trucs à bouffer chez Clément à Jarcieu, et c’est apéro dinatoire en guise de dîner, avec entre autre du pâté lorrain et aussi un saucisson maison de Philippe Giraud, une tuerie. 

    La cabine a pu refroidir un peu.