FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Décembre 2020 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Lapeyrouse Mornay, le client est dans le champ
    Ya, le 9 cube est là
    le 7 cube aussi
    N7 Salaise Chanas
  • Vendredi 4 Décembre 2020
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    Il a plu une bonne partie de la nuit et ça continue pour aller rejoindre la douche où heureusement le chauffage fonctionne bien. Un café au distri de la cuisine et je mets en route un peu avant 8h pour Agnin. Oui, c’est zone courte ça au moins. Chez les frigomen à Pole 38, 1ere fois que je vais là. Je suis à quai de suite, j’attends en cabine. Fabien arrive, avec un frigo ronronnant, pour charger. Mais ce n’est pas ici, mais à Anneyron qu’il doit aller en fait.  ça me rassure, y a pas que moi qui ne lit pas les sms jusqu’au bout! 

    Chargé à 8h et quelques, de résidus de cassis à destination de Lapeyrouse Mornay, very zone courte spirit. Quoique dans un autre département tout de même. C’est à une fabrique de thés un peu perdue dans les champs, le lavage de la veille ne va pas s’en remettre. ça vide assez vite les palettes de fûts, je suis dispo à 9h. Cette fois le moteur va monter un peu en température, direction Andrézieux Bouthéon. Faudrait que j’aille au gazole, je suis sur la réserve depuis hier mais bof, encore pas trop le temps, faut que je sois revenu à 13h15 à Salaise normalement. Il reste 96 l théoriques à l’odb, c’est quand même pas le bout du monde le 42. Aller je file. Je croise en chemin le p'tit nouveau du 9 cube, Yannick, à Chasse. 

    J’arrive à SNF Andrézieux bien avant 11h. ça va pour du déchet il n’y pas trop de formalités, je peux rentrer direct, et le plancher de ma semi à fosse ne pose cette fois pas de problème. Cette usine est énorme, heureusement qu’un cariste me retrouve à la pesée, y a 2 places à charger. D’abord 2 caristes, puis 3, j’arrive pas à suivre, du ibc plein au sol, et du vide gerbés dessus, et quelques fûts. Une bonne heure et une bonne suée plus tard, je peux repartir, ça n’a pas trainé. Je serai à l’heure à Salaise, ou pas loin. Surtout que je ne vois pas où faire du gazole sur Sainté. La jauge n’a pas bougé, toujours 2 barrettes de la réserve. Bon j’ai 23t600 par contre. J’y vais molo sur la A47,  un beau pléonasme que de dire ça. 

    Je croise un Stéphanois notable, Juju, vers Vienne mais me prend un vent non moins notable. Ah le Daf ça donne des œillères ou quoi!

    Entre Chanas et Salaise, j’oublie encore pour l’arrêt à la Total, vu que je peux être à l’heure à poubelland tout proche, on verra après. J’ai l’entrée du fond pour adresse. Mais j’ai 4 bons, ce qui veut dire 4 pesées.. Et encore mieux, j’ai l’autre entrée à faire en fait pour les ibc vides. Je croise mon copain Christophe 73 qui arrive de son pays, il a rdv qu’à 16h.J’arrive  manger une salade vite fait avant la 1ere pesée et vide assez vite les ibc vides et revient au fond, direct en bascule, en snobant les Jéremy et le père Philippe Cancade. L’ex bleu savoyard a lui pu déjà vider, il est bien vu. Sans suis 3 aller retour bascule, et autant d’ouverture fermeture de la bâche, le tout sous une météo bien humide. A 16h c’est enfin vide, en remerciant presque l’analyse des produits qui m’a permis de valider enfin 30 minutes, chose non faite depuis ce matin, sans quoi je n’arrivais pas à remonter à Jarcieu d’une traite. ça bouchonne sur la route de Chanas, tant pis, je snobe encore le gazole, je vais d’abord monter recharger, via la petite route de Agnin Sonnay. L’odb affiche encore 50l, j’arriverai bien à redescendre ici ensuite.

    ça va mon chargement simple, et pour du national ne prend pas trop de temps, je ne passe que 25 minutes à Jarcieu puis repars aussi sec, enfin non, encore tout mouillé. Cette fois, pas d’excuse, je dois fair le crochet à la Total de Salaise pour en sortir enfin. Tant que je suis là, je me gare en face pour le petit plaisir de fin de semaine, un tour au Blachère, mieux vaut tard que jamais. Et j'en bave depuis ce début d’aprem. Il est bien tard quand je repars pour de bon, de toute façon c’est mort pour pouvoir rentrer au niveau amplitude. Heureusement car je paume du temps au carrefour de l’A42 et 46 avec une bagnole couchée qui bouche une voie. ça commence à être raide, mais je pousse quand même jusque l’aire de Gevrey Chambertin. il est 21h30 ici. Je me serais pas vu reprendre la voiture ce soir.