FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Janvier 2021 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Böen sur Lignon
    entre 63 et 42
    Chef Christophe
  • Mercredi 6 Janvier 2021
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    Comme prévisible, bien dormi, je démarre tranquille à 8h15, via la direction Böen sur Lignon puis la vieille N89. Comme toute route nationale auvergnate, c’est joli et roulant.

    A 9h chez le client de Noirétable, un team au couleur du Lion sochalien, on vide leur palette à la main vu que leur fenn ne démarre pas. Peu de neige ici, mais elle n’est pas bien loin en altitude. Je dois aller recharger à Roanne. 75 bornes par l’autoroute, presque moitié moitié moins à travers. C’est toujours au sec, je file donc à travers, via St Just en Chevalet. Là encore c’est joli mais ça ne roule pas super. Je ne suis venu qu’une fois dans le quartier, y a bien 20 ou 25 ans, avec un tas de bois d’Allemagne, je me souviens avoir bien trouvé le temps long aussi depuis Roanne. Bref, je mets 1h pour arriver à l’arsenal de Roanne. ça va, il n’y a personne, je rentre vite pour y charger 2 destinations sud estiennes. J’arrive à enquiller une 2éme ramasse, de catalogne cette fois, juste avant midi à le Coteau, non loin de là. J’ai bien repéré en arrivant un Blachère dans le quartier mais pas facile de garer, et il y a une queue monstre à l’extérieur. Tant pis. Je me rabats sur un pâté qui traine dans le frigo, et comme ça je peux filer rapidement vers la suite, chez XPO à Andrézieux. A 13h et quelques je charge aussitôt un lot adr pour le 34. Je traine un peu pour valider 30 minutes et je peux rouler sur Lyon pour la suite. Maxime m’envoie à Chassieu pour charger une grosse pompe mobile de 2t. 2 sangles là dessus, je peux rentrer comme ça à Jarcieu. Là bas, c’est Christophe qui la ressort, à l’aide du gros fen, c’est plus prudent. ça permet de blaguer sans mettre la charge plus brutalement que prévu au sol. Entre quelques séances de bons voeux avec tous ceux que je n’ai pas encore vu cette année, les Jérémy et Philippe Moriaud entre autres, on vide une bonne partie, reprend un peu de matos d’armement pour les camps bidasses, plus un lot de Aix en Provence. Maxime m’explique le programme de demain qui  fera un peu visiter le paca en mode va et vient. ça changera un peu l’Auvergne et le corridor de l’A47.  Une douche là dessus, et je peux y aller encore après quelques opérations coup de poing avec d’autres camarades. Mais sans trainer, je n’ai plus de pain. Comme l’Adblue risque de crier soif demain, je fais le crochet par Salaise à la Total, avant d’aller au Blachère. Mais ils ont mis des cônes sur le lay by qui allait bien pour se garer le long. Font chier, c’était trop facile. je m’enquille dans la rue qui part dans la zone derrière et me gare comme je peux. Ce serait vraiment la loose de rester confiné en grand régional et de ne même pas pouvoir se procurer le fruit essentiel de son travail. Je peux ensuite prendre sereinement la route de la vallée du Rhône, j’ai large pour descendre jusque ma 1ere ramasse, Istres. ça roule bien, enfin dans mon sens, l’autoroute est coupée dans l’autre sens à Valence, un carton sérieux on dirait. Je ne suis pas sûr de trouver de la place à mon supermarché de client à Istres, je file direct à Clésud, où il reste une rare place sur le boulevard. Il est 22h.