Carnet de bord de Octobre 2022 | Partager sur Facebook |
Le weekend a été très réparateur et le dimanche un formidable été indien : apéro, repas, sieste sur la terrasse. Ce con de chat m'a sauté dessus en pleine sieste sinon je dormirais encore. Par contre, la nuit du dimanche à lundi, c'est pas la même limonade : réveillé toutes les 45 mn; c'est Tophe qui me disait je crois que lui aussi dormait mal le dimanche soir.
A peine 2h, et je me fais un café, avec le reste de l'excellente tarte aux pommes de ma p'tite femme. Au dépôt, je croise Georges qui part pour Marseille, et seul le camion de Dudu manque à l'appel : courageux le gaillard.
L'A7 est très calme dans les deux sens, peu de VL à cette heure et assez peu de camions aussi. 5H25, je sonne à l'entrée de Gefco Le Pontet, et direct quai 23, mais pas avant 8 h mon garçon....oup's, on m'aurait menti? J'en avertis le boss, et je prends la direction de la couchette, où je ne trouverais pas le sommeil, mais c'est relaxant tout de même. Puis vers 7h passé, j'entends du bruit plus proche, puis le camion est légèrement secoué. Yes, ils attaquent le déchargement. 40 mn plus tard, on m'appelle, papiers signés, je peux prendre la route du nord, enfin pas le grand nord : la Drome, ca reste assez "provencal".
En quittant Le Pontet, je m'annonce au client suivant, je le trouve facilement et avec 15 mn d'avance sur mon horaire initial. Les gars sont super sympas, et m'assistent pour manoeuvrer vers leur quai, car il faut sortir le hayon puis reculer. On peut vite faire des dégâts, hein. Les gars sont rodés, et en 30 mn, c'est plié; je sors les sangles, les gumis, et c'est eux qui s'occupent de tout. Pas belle la vie. La cafetière est allumée, on se jette un café dans les ateliers : re tout bien.
Je complète en passant en prenant 4 palettes pour l'Espagne. Le 1° lot, c'est du Berlin Zentrum (hic, ca fait peur sur le papier, surtout pour un galérien comme moi). Retour à la base ; on vide l'Espagne et je conserve le lot teuton, complété par des palettes pour le secteur Belfortain, à laisser au passage demain.
Je croise Greg pour un de ces derniers trajets chez Julien accompagné de sa monture française, made in Bourg en Bresse. Dans quelques jours il va monter dans un Suédois !
Un point sur mes heures, et mon amplitude. Pour Dudu, mon mentor, il faut pousser ce soir sur une 15, je m'excécute et coupe à Le Miroir. Demain, on va décoller vers 5H pour livrer à la première heure le client Fr.
En début de soirée, Laurent, le Mauvais Garçon d'Epinal me contacte : il coupe au même endroit ; je l'attendrais pour la soupe, malgré que j'ai la dalle.
Le weekend a été très réparateur et le dimanche un formidable été indien : apéro, repas, sieste sur la terrasse. Ce con de chat m'a sauté dessus en pleine sieste sinon je dormirais encore. Par contre, la nuit du dimanche à lundi, c'est pas la même limonade : réveillé toutes les 45 mn; c'est Tophe qui me disait je crois que lui aussi dormait mal le dimanche soir.
A peine 2h, et je me fais un café, avec le reste de l'excellente tarte aux pommes de ma p'tite femme. Au dépôt, je croise Georges qui part pour Marseille, et seul le camion de Dudu manque à l'appel : courageux le gaillard.
L'A7 est très calme dans les deux sens, peu de VL à cette heure et assez peu de camions aussi. 5H25, je sonne à l'entrée de Gefco Le Pontet, et direct quai 23, mais pas avant 8 h mon garçon....oup's, on m'aurait menti? J'en avertis le boss, et je prends la direction de la couchette, où je ne trouverais pas le sommeil, mais c'est relaxant tout de même. Puis vers 7h passé, j'entends du bruit plus proche, puis le camion est légèrement secoué. Yes, ils attaquent le déchargement. 40 mn plus tard, on m'appelle, papiers signés, je peux prendre la route du nord, enfin pas le grand nord : la Drome, ca reste assez "provencal".
En quittant Le Pontet, je m'annonce au client suivant, je le trouve facilement et avec 15 mn d'avance sur mon horaire initial. Les gars sont super sympas, et m'assistent pour manoeuvrer vers leur quai, car il faut sortir le hayon puis reculer. On peut vite faire des dégâts, hein. Les gars sont rodés, et en 30 mn, c'est plié; je sors les sangles, les gumis, et c'est eux qui s'occupent de tout. Pas belle la vie. La cafetière est allumée, on se jette un café dans les ateliers : re tout bien.
Je complète en passant en prenant 4 palettes pour l'Espagne. Le 1° lot, c'est du Berlin Zentrum (hic, ca fait peur sur le papier, surtout pour un galérien comme moi). Retour à la base ; on vide l'Espagne et je conserve le lot teuton, complété par des palettes pour le secteur Belfortain, à laisser au passage demain.
Je croise Greg pour un de ces derniers trajets chez Julien accompagné de sa monture française, made in Bourg en Bresse. Dans quelques jours il va monter dans un Suédois !
Un point sur mes heures, et mon amplitude. Pour Dudu, mon mentor, il faut pousser ce soir sur une 15, je m'excécute et coupe à Le Miroir. Demain, on va décoller vers 5H pour livrer à la première heure le client Fr.
En début de soirée, Laurent, le Mauvais Garçon d'Epinal me contacte : il coupe au même endroit ; je l'attendrais pour la soupe, malgré que j'ai la dalle.