Carnet de bord de Mars 2023 | Partager sur Facebook |
Le relais est tout proche d'un de nos clients; hier, j'ai fait une bonne marche digestive après manger. Ce matin, i n'y a pas d'urgence. J'ai convenu avec Cindy de ne démarrer la journée qu'à 9h00, et de tenter ma chance pour être déchargé au plus tôt. Lorsque j'arrive un camion est à quai, un porteur en attente. Dans la guérite , le chef de quai ne me calcule, pas (on pose les bases!), malgré mes deux bonjours, puis il finit par me répondre que ce ne sera pas avant 13h00, et pis c'est tout. Demi tour droite réglementaire, retour en cabine. J'avais tout fait bien : gilet, chaussire de sécu, gants en vue, casquette de sécu. Que néni, coucouche panier du moins cabine. J'avertis l'exploitation qui tente aussi, mais non. Il y aura bien un moment vers 11h00 o^ù aucun camion n'est à quai, mais en l'approchant les deux caristes vus haussent gentiment les épaules puis regardent leurs belles chaussures Ils ont l'air navré.....moi aussi .A quai à 13h03. Une heure pour vider. Des réserves sur deux packs de canette que j'ai dû péter en sanglant, malgré les équerres mises. Je me retrouve à les avoir en cabine. Je ne bois pas de soda. Celà finira sans doute dans le frigo du dépôt.
Go La Mothe-Achard ; pour les habitués, vous avez compris : PRB. On m'a prévenu que je pouvais y passer 4 à 5 heures et faire plusieurs halls. J'en ferais 3 et n'y passerais que deux heures Un très bon score là bas Hervé, un collègue y a passé jusqu'à 5H.
Entre la Roche et Poitiers, mon programme tombe et à sa lecture, je vois que celà ne va pas passer. Il me faut livrer demain matin St Pierre de Chandieu (pas possible), charger à St priest pour Cagnes, aller en Italie et remonter à lyon. Coupd de fil à Cindy qui s'aperçoit que ce ne passe pas non plus; avec l'assistance de Philippe, ils vont chercher une solution. 30 mn après, la solution est trouvé. Je vais bien à St Priest mais pour Marseille et Toulon, puis je récupère la remorque chargée en Italie par un collègue, Guillaume, chauffeur délocalisé vers les Arcs.
Ok, ca me va. Un retour tardif vendredi, mais vendredi.
Déchargement, et chargement sans encombre, si bien que je suis lancé tel un frelon sur l'A7 avant 15h00. Il me reste 3h30 à rouler au départ de St Priest, je suis léger je vais tenter Lançon de Provence. J'y arriverai avec 12 mn de marge, tout bien. En route, croisure du S500 piloté par notre très cher "Pépère", tonton Pierre.
Au relais je passe le repas avec Laurent un chauffeur de Thiers qui roule avec la nouvelle version du XF.
Le relais est tout proche d'un de nos clients; hier, j'ai fait une bonne marche digestive après manger. Ce matin, il n'y a pas d'urgence. J'ai convenu avec Cindy de ne démarrer la journée qu'à 9h00, et de tenter ma chance pour être déchargé au plus tôt. Lorsque j'arrive un camion est à quai, un porteur en attente. Dans la guérite , le chef de quai ne me calcule, pas (on pose les bases!), malgré mes deux bonjours, puis il finit par me répondre que ce ne sera pas avant 13h00, et pis c'est tout. Demi tour droite réglementaire, retour en cabine. J'avais tout fait bien : gilet, chaussures de sécu, gants en vue, casquette de sécu. Que néni, coucouche panier du moins cabine. J'avertis l'exploitation qui tente aussi, mais non. Il y aura bien un moment vers 11h00 où aucun camion n'est à quai, mais en m'approchant les deux caristes vus haussent gentiment les épaules puis regardent leurs belles chaussures Ils ont l'air navré.....moi aussi . A quai à 13h03. Une heure pour vider. Des réserves sur deux packs de canette que j'ai dû péter en sanglant, malgré les équerres mises. Je me retrouve à les avoir en cabine. Je ne bois pas de soda. Celà finira sans doute dans le frigo du dépôt.
Go La Mothe-Achard ; pour les habitués, vous avez compris : PRB. On m'a prévenu que je pouvais y passer 4 à 5 heures et faire plusieurs halls. J'en ferais 3 et n'y passerais que deux heures Un très bon score là bas Hervé, un collègue y a passé jusqu'à 5H.
Entre la Roche et Poitiers, mon programme tombe et à sa lecture, je vois que celà ne va pas passer. Il me faut livrer demain matin St Pierre de Chandieu (pas possible), charger à St Priest pour Cagnes, aller en Italie et remonter à lyon. Coupd de fil à Cindy qui s'aperçoit que ce ne passe pas non plus; avec l'assistance de Philippe, ils vont chercher une solution. 30 mn après, la solution est trouvée. Je vais bien à St Priest mais pour Marseille et Toulon, puis je récupère la remorque chargée en Italie par un collègue, Guillaume, chauffeur délocalisé vers les Arcs.
Ok, ca me va. Un retour tardif vendredi, mais vendredi.
Je stoppe à Bussière Poitevine vers 21h00 où je retouve Jean Paul et Hervé deux chauffeurs de Loire; j'y rencontre aussi Tonin.