Carnet de bord de Juillet 2022 | Partager sur Facebook |
Je n'avais pas mis de réveil ; en fait si mais pas pour vendredi!!! bon heureusement, je suis réveillé tout de même. L'aire étant fermée, je démarre après avoir soulagé ma vessie et laver mes chicos. Il est 5h18, quand j'entame mes premiers tours de roues de juillet. Trois mois de route, et j'ai passé mes 30 Mkms. Ca roule tranquille, Roanne est bien calme, ainsi que l'A72. De la brume à St Etienne, limite on se croirait à Glasgow. Tout passe crème, et coup d'oeil à MAPS, qui ne signale rien à Givors : surprenant. Je pensais croiser l'ami Julien, mais c'est un vaillant, il a déjà sans doute entamer ses premières livraisons en terre stéphanoises.
Une petite pausse café, car là où je livre il n'y a pas de machine, café et pains aux raisins à l'aire de Roussillon, en présence d'allemands très bruyants. Bonne nouvelle en arrivant à Bren, je garde 80 % de mon chargement pour le dépôt; et on me complète de six palettes. Autant dire, qu'une fois à quai, c'est rapide. Là où c'est moins rapide c'est pour connaitre les destinations. Maxime s'y perd un peu. Tout rentre dans l'ordre; quai 5 pour transvaser au quai 4 pour Greg dont c'est le dernier jour en tant que chauffeur.
Une fois vide, je pars charger à St Etienne St Geoirs pour ma livraison de lundi prochain; De retour au dépôt, j'ai une hallucination! Oui, je croise Mario kart; bon maintenant c'est plutôt Mario Truck. Je déconne ou pas? J'ai voulu négocier qu'il lave aussi mon camion, mais que néni. Papiers au bureau, je prends la nouvelle carte verte de la remorque, un passage au quai pour saluer les courageux et je me rentre. 18 H 30 à la maison : yes. Apéro. J'ai fini ma semaine vers 17h30, je le reprendrais vers 7 H 15 je pense : cool, non
Un dernier mot : je suis désolé par le manque de photo, mais je n'ai pas le réflexe d'en prendre. J'y pense mais toujours trop tard. Et puis bien entendu, il n'y toujours pas la récap à Mich07.
Pour mes trois/ quatre premières semaines en tant que chauffeur, j'ai démarré entre 2 et 3 h du matin, et depuis cinq/six semaines, je démarre plutôt "tard". RDV à 9 H 00 à St Laurent de Mure, on ne va pas stresser non plus. Lorsque j'arrive au dépôt, il reste quelques camions, mais certainement pas celui de Dudu, il est déjà loin au regard de son programme. J'ai suivi Tophe de vingt mn environ, je savais qu'il chargeait à la Côte St André, mais je n'ai pas pu le rattraper. Ca envoie du pêté un Volvo en convoi. Sur SQF, ca bloque un peu, les travaux en direction de St Exupéry sont désormais terminés; on ne passe plus par intermitence. J'ai 5 mn de retard, mais j'aurais pu en avoir 30 mn, ca ne changeait rien. Pierre70 m'appelle car il m'a vu dans le coin, mais non, je n'ai pas commencé de vider, donc ...Bonne descente Pierrot
C'est du personnel Giberttrans qui s'occupe de la logistique sur ce site, et c'est une dame nouvellement embauchée qui vient me vider (le camion....ok). Elle est un peu maladroite mais surtout très sèche avec les leviers (vous imaginez...mdr) A 10 h 30, je reçois mission de retourner à St Etienne de St Geoirs pour le 41, puis on annule et c'est remplacé par du Vitry sur Seine (pas glop).
Un complet, qui s'avérera avec 2.2 m de plancher vide, car on a pu tasser un peu. Vous l'avez compris passage au dépôt pour compléter pour le secteur de Dieppe.
Sur la montée, j'appelle les contacts du chentier parisien ; personne en répond; SMS, et en retout l'un deux me répond qu'il n'est plus sur chantier depuis 7 mois.
J'appelle le client : répondeur. Bon, suis seul au mond. I'm a poor lonesome trucker, comme pourrait le dire le Lucky Luke des temps modernes.
Je sors à Chalon nord pour prendre la direction de la Rochepot; il y a beaucoup de possibilité de parking le lond de cette route. J'échoue a 10 kms d'Avallon, à côté d'un polonais qui hurle au téléphone pendant près d'une heure. Je suis limite heureux quand le frigo garé devant démarre. Mais c'est une CHEREAU, c'est limite inaudible.
On va démarrer tôt demain matin. Bonne nuit les petits.
Je n'ai pas passé une bonne nuit, mais il faut bien se lever tout de même. Un rapide pdj, un rinçage du bonhomme, et à 5 H 05, je lâche le frein à main afin de rejoindre l'A6 au niveau d'Avallon. L'A6 est bien tranquille à cette heure et j'en suis étonné. Je salue le dépôt Coquelle au niveau d'Auxerre, même si je sais que Fredo est de l'autre côté des Pyrénées. J'ai un bruit qui revient de temps en temps au niveau de la cabine; depuis que j'ai ce acmion, il me semble que celà vient du toit et j'ai toujours incriminé un des antennes. En fait, il n'en ai rien, un morceau de plastique "type cache misère" côté chauffeur de détache brusquement. Il n'y avait personne derrière, donc pas de dégâts causés à autrui. Je m'arrête à la prochaine aire pour regarder, et j'en profite pour me jeter un café.
A la barrière de Fleury e nBrière, les plaques de béton secouent la cabine à tel point que je ne regrette pas mon caleçon hyper moulant ; cela m'évite de jouer des castagnettes.
Un coup d'oeil sur Maps; pas mal de vert, un peu d'orange, mais comme le dirait Samu : rien qui va mal. Mais cela ne dure pas ; en efft, un accident vient de se produire. On reste arrêter qq mn, puis les secours arrivent. Je perds bien 20/25 mn dans l'affaire. Mlagré que personne m'aient répondu hier, j'avais envoyé des SMS m'annonçant entre 9 et 10. A 9 H 10 je suis quai Jules Guesde à Vitry. L'accès oarait facile, mais un benneux me dit de ne pas rentrer par là. Je pense naivement qu'il est régulier sur le chantier ; en fait non, il m'indique une autre entrée pour que je me casse tout simplement. Enfin, c'est mon point de vue, car quand j'arrive à l'entrée indiquée par ce chauffeur, c'est très étroit. Malgré tout le vigile me fait entrer et m'indique d'aller vers la grue. Je m'avance, mais sentant le traquenard, je m'arr^te au niveau des collègues à Halifax et des trémies à ciment. Bien m'en à pris, car ce n'est pas à cette adresse qu'il faut livrer, mais à 3 kms de là. Je dois sagement manoeuvrer, la place est très restreinte, mais en deux fois je parviens à m'en sortir.
Je trouve le bon chantier, mais c'est encore plus étroit....Oh putain. J'entre, et apprend que le manitou est en panne ; en fait c'est juste une crevaison. Le réparateur arrive juste derrière moi, bien sympa. Pendant qu'il oeuvre, mon chef de chantier a disparu... Arrivé à 9 H 30 sur le chantier, j'en repartirai à 11H20. Le chef de chantier n'étant pas un as du Manitou, je vide moi même les couronnes à la main (nb 14) ; il est tellement lent et maladroit qu'il finit pas jeter l'éponge alors qu'il reste 4 palettes à vider. Je rêve. Heureusement Tonio arrive, et là c'est une F1. Sympa, il m'aide à manoeuvrer entre les banches, et les algecos. Ah j'oubliais. Une repsonsable (oui, elle avait toute la panoplie EPI, le badge et puis la tablette) s'est étonné que je ramasse les clous au sol. Je lui explique la raison, sans oublier que ca m'occupe pendant que j'attends depuis 1H....Elle n'a pas pipé mot.
Allez go Dieppe banlieue sud chez un dépositaire en matériau de construction. L'A86 passe pas trop mal une fois passée Rungis ; bien entendu, on fraine un peu, on laisse passer des gyrophares. Je m'annonce pour 14h 30 / 15 H. A 15 H, je franchis le portail du client. Entre temps Franck m'a envoyé ma suite. Chargement complet à 25 kms de là avant 16 H ou demain matin. Il me reste 3 h à rouler, il faut tenter de charger ce soir. Sur le trajet, je ne roule pas à l'économie. Là aussi, j'avais prévenu de mon arrivée et le cariste parait sympa. En fait, il l'est. Il vide un autre camion via un quai mobile (quel horreur); je lui propose de me mettre à côté du collègue, il prend les palettes du collègues, les apporte dans son magasin et reviens avec les miennes qu(il me pose au cul du camion ; à moi de les balader avec un transpallette. Génial. En 1H30, c'est plié pesé
La journée avait débutté par des plans galères ej RP, voilà que tout se déroule mieux que sur le plan. Putain, quand tu rencontres des gars bosseurs et efficaces, qu'est ce que le boulot est plus simple! Il me reste à terminer mes heures. Je descends jusqu'au sud d'Evreux au relais du Motel ; vu le grand parking, tu es sûr de trouver de la place. De plus il y a une deux serveuses au bar. Diner seul en terrasse au frais, sans le bruit des couverts ni celui de la TV. Tout bien.
Ps : j'ai raté la photo du rond point à Dieppe où il y a les Alpine....sorry
C'est la première fois que je n'ai qu'à rouler dans la journée. Suis réveillé assez tôt comme d'hab. Après mon grand café, je vais remettre mes bâches correctement et les tirant au max, et refaire certaines sangles. Ma seule contrainte ce jour est de taille. Je dois croiser avec un foie jaune équipé d'une caisse de 4 m de large. Je fais tout pour l'éviter, mais non, à peine 30 kms après mon départ, je suis obligé de me ranger sur la bas côté. Comme pourrait le dire Chouchen, c'est mieux pour tes rétros....enfin, c'est fait, pas de casse, ouf!
On descend jusqu'à Bourges pour boire un cagfé et accessoirement couper 15 mn tranquille. Je ferais 30 mn Avermes à l'AS24, désertée à cause des travaux, qui rende la station pas simple d'accès. RAS à Varennes. Je coupe à Roussillon, histoire de me sustenter, et voir où je pourrais poser Pimprenel ce soir. Nord ou sud de Loriol, ben on verra en fait. L'A7 est pas mal chargée, pas mal de NL et de D, en mal de soleil et de sable. Je sors à Loriol, pour descendre par la N7 et je m'arrête à "Mon Relais". Demain, une petite descente jusqu'à Rognac. Crotte, il faudra ouvrir les portes et se mettre à quai. J'ai vraiment apprécié cette journée; uniquement les pauses à faire, un vrai régal. ......et un vrai métier de feignasse!!!!
Petit déjeuner en terrasse, et il est temps de redémarrer et de prendre la direction de Vitrolles pour vider mes vases à bougies. RDV à 9 H, j'y suis avec plus de 20 mn d'avance et je peux décharger aider de deux caristes. C'est rapide à vider. mais moins rapide pour trouver un fret à remonter ; j'ai le temps de prendre un nouveau petit déjeuner ; l'avenir me dira que j'ai bien fait....Chargement à Chateurenard pour livraison foulée à Laveyron. Il y a un vent de fou dans la vallée du Rhône, et les bâches ont tendance à jouer avec mes nerfs, ainsi que les planches. Je rmonte sur l'A7 qui commence déja un heudi à etre chargé de touristes. A Laveyron, on suit le protocole sécurité même à l'accueil, passage en bascule, je suis plus léger qu'annoncé. Pour me décharger le cariste souhaite que je défasse ma bâche devant et derrière; au vu du vente, je refuse, et il me le fera payé en prenant un temps fou à ranger les balles de papiers au millimètre. Ma foie, j'ai fait un heureux cce jour. Si il a pris son pied à jouer au con, j'en suis heureux. Il fera coucouche panier ce soir sans doute. Au revoir Monsieur.
Il est jéja plus de 16 H, et avec la livraison foulée et le temps de déchargement, j'ai sauté mon repas de midi. Un complet de boisson a ramené au dépôt, où je pensais prendre une douche et y passer la soirée avec un repas dans le coin. Mais non, un chauffeur de chez Péli est bloqué pour faire une livraison programmée à 21 H. Il me reste plus de 2H à rouler et mon amplitude se termine à 22 H 15. Autant dire qu'il ne faut pas que ca merde.
Vous avez deviné. Plate forme logistique, ditribution = ca merde, et oui, c'était gagné (ou plutôt perdu d'avance). A 23 H, nous avons l'autorisation d'aller au quai 5. On assure le déchargement nous même; un gars du contrôle nous refuse immédiatememnt une palette car elle penche du côté où elle va tomber. Je devrais écrire des côtés où elle va tomber On refait la palette, c'est bon mais.... Déja une heure de passé; Dominique est d'un zen, j'en suis franchement "ébloui". il est debout dpuis 4 H ce matin; on voit le vieux briscard de la route et son expérience de plus de 30 ans de frigo. Bravo à lui. Les nénettes du contrôle, au regard des retards et surtout de notre bonne volonté acceptent sans réserve l'intégralité de la livraison. Il est 1H50, ma remorque est accrochée, je pars à la douche, mais avec une tomate dans le ventre (fin de semaine, le frigo est vide). Partagé entre énervement et content d'avoir assurer la livraison, j'ai du mal à trouver le sommeil. La nuit sera de toute manière une catastrophe, et dires que vendredi soir nous avons les deux petits fils dont le plus petit a la varicelle...
Debout à 7 H 00, Dominique est déja parti. J'envoie un SMS à Stéphane pour lui dire que je ne bouge pas avant 10H50 ce matin. J'en profite pour écrire ces lignes, et décompresser un peu aussi, en attendant de me jeter sur l'A46 pour aller à Givors décharger ma pauvre palette. Un rapide café à l'accuail d'ITM, ainsi qu'un dernier coupr d'oail à Maps; au sud de l'A43, l'A46 roule bien. Je passe par Heyriaux, Mions (où Mich07 a diné avec Ju le taxi), et effectivement à ca niveau là, c'est assez chargé, on roule à 60 Km/h jusqu'à l'intersection du BUS, puis c'est plein pot jusqu'à Givors. Le temps de m'équiper pour arriver à l'accueil vers 11 h 25, afin de déposer mon bidon, les échantillons de Monza, et faire une navette entre St Clair, ainsi que 3 lots à prendre qui sont attendus par un Villardell. Cela se passe plutôt bien, si bien que je reprends l'A7 vers 14 H. Par contre, ca roule lentement, mais ca ne fait pas l'accordéon ; c'est appréciable. Ils sont assez rapide à St Clair, j'arrive donc vers 16 H au dépôt, où à peine à quai qu'Yvan oeuvre à transférer les 3 lots dans le camion d'à côté. Le temps que je m'équipe de mes chaussures de sécu (n'est ce pas Dudu) et que je sorte les CMR en questions, que le camion démarre. C'est du flux tendu cette histoire.
Je devais être en CP ce soir, mais je fais deux jours de plus en régional lundi et mardi. Ayant mon départ pour ce lundi, je papote avec Thomas, puis Emeric et je me rentre. Arrivé à la maison, les cris stridents des petits fils ne pourront rien contre ma fatigue et je m'endors 30 mn, avec un réveil brutal organisé par Logan (4 ans) qui veut prendre l'apéro. Ce somme m'a fait un bien fou.
Un bon weekend à tous. Heureusement que l'Ardèche est très basse, car Dudu et Alain vont racler les cailloux en kayak, par contre pas sûr qu'il suce bien des cailloux, ces foies jaunes!!
Je fais donc deux jours de rab, et donc du régional. Mission de début de semaine, assurer une navette entre Anneyron et Belleville, et ce n\'est pas n\'importe où (any where), ni avec n\'importe quoi (any thing) et ave un RDV précis (any time). Je serais donc à l\'heure, malgré l\'accueil toujours particulier de notre client qui n\'aime pas trop les lyonnais ; il me le dit à chaque fois....et ça commence à me gonfler. Bref, j\'assure le job et point barre. Mission suivante en ces périodes de canicule : les boissons. J\'apprends ce jour qu\"il est retiré dans les supermarchés les boissons qui ont une DLC de février 2023. Non, c\'est une plaisanterie! Le mec est sérieux quand il me dit ça. Ok, on n\'est pas à une annerie de plus dans ce monde. Perso, une boisson avec une DLC DE F2VRIER 2023, je la bois sans problème en février 2023. Pour cette mission, je me rends à Auchan Dardilly, sans m\'arrêter au pôle moto. Un vigil me surveille, et c\'est un peu normal dans un entrepôt où il y a pas mal de marchandise; ce qui est moins normal c\'est les 4 gugusses qui me regarde charger. Bon, ils ont le temps, alors moi aussi. J\'y vais cool, il faut dire que je peux être encore un peu maladroit avec un chariot, surtout avec les chariots récalcitrants. Je descends ma cargaison au dépôt de Roussillon, où j\'arrive à me mettre à quai dans un délai bien plus correct que la dernière fois. Il faut dire que je m\'étais très mal présenté lors de ma première venue. A deux, la semie est vite vidée ; celà me permet de papoter et de faire un peu plus connaissacne avec Mouloud et Maxence. Je reçois le job pour demain. RDV à Genas à 8 H 00; je remonte par la 86 où je gare l\'ensemble afin de rentrer a la maison. Je ferais mon Phil en passant la tondeuse ; c\'est pas qu\'il y a beaucoup de pelouse, mais pas mal de mauvaises herbes...
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Apéro en terrasse, et au frais.
Ma femme me redescend au camion à 6 H 30. Pas de pitié, elle est déja en vacances et je l'a fait lever tôt. A la hauteur de la bifurcation du BUS, on ralentit, mais rien de catastrophique, si bien qu'à 7 H 40, je suis à destination. Mais le personnel très sympa (non je déconne, il ne me calcule pas) fait que je retourne au camion attendre les 8 H 00 afin de me représenter. Je ne suis pas du bon côté, l'accès n'est pas simple, je préfère faire un tour à pied et me présenter à l'accueil de l'autre côté du batiment. Enfin des gars sympas et souriant : cool. Quai 18 pour un chargement de MD à destination de St Clair. Descente tranquille avec quand même une A7 chargée après Chasse. Des problèmes de quai une fois arrivé, feront que je dois patienté un peu. Je recharge sur place pour Crolles, mais une alerte sur le site classé Seveso nous convine pendant près de 45 mn. Crolles, mais tu moi, petit scarabé, n'y a t-il pas notre cher président là bas. Ouais, ben pas de bol, je vais à 500 m du site visité par Macron... Hum, avec des plaques oranges. Bon, je passe tranquille tous les ronds points où bien entendu la police vieille au grain, ainsi qu'un hélicoptère. Arrivé sur la route de ST Micro, on voit bien les bleus sur les terrasses à surveiller les alemntours. Je les plains sincèrement. Le camion affiche un 35°; en terrasse avec leurs équipements... je préfère mon bon Pimprenel. Il me faudra plus d'une heure trente pour etre vider, et retourner au dépôt, taper la discute avec Samu dont le patron lui a accordé le pont du 14 juillet. Je vide un peu le camion, salue mon formateur aux cheveux longs qui part en Italie par l'A8. A 19 H 30, je mets le coupe circuit et je me rentre à la maison. Deux jours de boulot m'attendent et si tout va bien, je m'accorde une demie journée de moto avec des collègues samedi matin. Je dois impérativement tirer des cables élec et fixer des équerres pour ma nouvelle cheminée.
A bientôt chers (es) lecteurs (trices).
Voilà un trimestre de route s'est écoulé.