Carnet de bord de Septembre 2024 | Partager sur Facebook |
Bien, la sieste c'est bien sur le moment, mais trouver le sommeil pour sa nuit, c'est plus compliqué. Toujours est-il que je suis un peu en dehors de mes pompes ce matin à 4H00, devant ma tasse de café. Heureusement, que la patronne parle, sinon, je crois bien que j'y serais encore.
Je fais la dizaine de kilomètres qui me sépare de l'autoroute, toujours au radar. Ca va un peu mieux à l'approche de l'A6. Mais ça ne dure pas. Je jette l'éponge au bout de deux heures, et me mets dans la couchette pour quinze minutes, pas plus, car je suis limite pour mon RDV de 10h00 à Meyzieu. Je dors une dizaine de minutes, et sans être beaucoup plus frais, ca va. Le jour se lève un peu, je sais qu'Olivier est sur la route, alors je l'appelle. La conversation me fait un bien fou, et je peux arriver au bout de ma période à l'aire de Dracé. Un café immédiatement au camion, puis je pars marcher. Là, c'est bon, je suis prêt pour ma journée de boulot.
Je m'inscris à 10H10, et suis de suite appeler pour vider mes 26 palettes, après qu'une charmante jeune femme soit venue les scanner. Hyper rapide pour une fois ici. En moins d'une heure, je suis déjà dehors, ce qui relève de l'exploit olympique.
Je n'ai plus qu'à me rendre au dépôt, où m'attendent deux bobines et trente trois palettes pour le rechargement de demain. Et oui, j'ai déjà mon rechargement, un Ornans --> Bollene en emballage.
Je retrouve Ocine dans le hall des bobines ; il a déjà apporter les palettes, tout est prêt, et c'est donc à nouveau un exploit que de régler ce chargement en moins de trente minutes, sanglage compris. Je passe par l'A46, Meyzieu, Loyettes, et je reprends l'autoroute à Bourg en Bresse sud.
Au départ du dépôt, je visais Mouchard, mais je revois de suite mes plans à la baisse. Il me reste un peu plus de 3H20 (de mémoire), alors lors de ma pause casse croute sous la vapeur de St Vulbas, j'opte sur un relais à Courlaoux : l'As de Cœur. Je ne connais pas, on verra bien.