177 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/bft
En 1989, Bruno Folleas et Jean-Yves Billaud, originaires du Beaujolais créent leur entreprise de transport, BFT, Billaud Folleas Transports, Avec leurs Mercedes NG et SK, ils font du container, et ils ont beaucoup d’idées et d’ambition. Dès 1991, ils se rapprochent du port Edouard Herriot à Lyon et proposent des solutions sur mesure à leurs clients. Passionnés de camions, de transports et avec une équipe de chauffeurs motivés, le succès est au rendez-vous. En parallèle, ils créent une branche location de véhicules dès 1992. Connus pour leurs camions décorés, BFT a plus d’un tour dans son sac. Ils participent au tests des mega-camions avec la presse professionnelle, Ils font également du stockage, de la manutention. En 2012, ils font sensation avec l’écurie Lion Truck Racing et remportent 5 fois le titre de champion de France. Un certain Théo Calvet fera ses armes dans la team.
Patrick Folleas décède prématurement en janvier 2020, son épouse a repris avec succès le travail d’un équipe soudée pour une entreprise dont le succès et l’engouement ne se dément pas !
Les transports Hnos Corredor
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Pascual Corredor Pinar, avec ses frères Luis et José María, montent ensemble une petite entreprise de transport en 1953 à Cieza dans la région de Murcia. Et tout naturellement, elle s’appelle Hermanos Corredor ! Son réel envol se fait à partir de 1983. Le marché d’exportation des fruits et légumes vers l’Europe du nord est en forte croissance. C’est ainsi qu’ils partent à l’assaut de la France, de l’Angleterre de l’Allemagne avec les couleurs que l’on connait toujours un peu aujourd’hui. C’est aujourd’hui, la 3e génération de Corredor à la tête de l’entreprise et de ses 150 camions, qui ont également un bureau aux pays-bas.
Les transports La Valentinoise
115 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/la-valentinoise
Au début des années 70, Jean-Paul Thiers fonde « La Valentinoise » spécialisé sur l’achat et la vente de primeurs sur la région Valentinoise. La Valentinoise durera jusqu’en 2000, reprise par le groupe Canavese. Amoureux des camions et de la route, les Thiers, père et fils, marqueront d’une pierre blanche le monde du poids lourds en France. Ils se sont illustrés avec leurs camions décorés sur le Castellet, Dijon ou le Mans. Ils ont aussi été les premiers à s’installer en 1985 au Maroc, à Oualidyia pour y produire des tomates. Ils ont fait le bonheur de centaines de chauffeurs de Rhône-Alpes, en leur permettant de s’évader un peu. Charger en direct au Maroc n’était pas chose courante en ce temps-là. Et celà à duré jusqu’en 2002. Une grande et bien belle époque. En 1989, La Valentinoise se déplace au Castellet, ou elle remporte avec son Scania 143-450 superbement peint par Win-Gone de Villefranche sur Saône le 2e prix. Depuis 2020, la société a repris des couleurs et du service, avec toujours des camions magnifiques sur tout le sud de la France.
Les transports Lipperts
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La société LIPPERTS est une entreprise familiale créée en 1930 à Süsterseel (D),en Rhénanie du Nord-Westphalie,dans l’Ouest de l’Allemagne,à quelques dizaines de kms de la frontière germano-hollandaise. Depuis quelques décennies cette société est basée à Gangelt-Birgden,pas loin du lieu de création originel,dans le canton de Heinsberg (HS). Heinz et Jan Lipperts,dirigeants actuels,sont la 3 eme génération et Frank,fils de Jan,la trentaine,exploitant depuis plusieurs années,sera la 4 eme au commande de cette sympathique maison. Le parc est composé d’environ 25 ensembles actuellement,affectés quasi uniquement au trafic F<>D,et surtout Rhénanie du Nord (Köln,Aachen et la Ruhr) <> Rhône-Alpes,avec un dépôt à St Symphorien d’Ozon 69 (auparavant à St Genis Laval). Ils desservent aussi Hamburg,Bremen,et même le Schleswig-Holstein en « grand regional » depuis la Rhénanie,ainsi que de la Belgique et Hollande toute proche. 2 ou 3 voyages exotiques/an,en « one shot » pour des clients directs (Portugal,Espagne,Pologne,Hongrie…). Essentiellement du groupage à la descente et à la remontée,peu de complets,et généralement 2 tours de Rhône-Alpes/semaine,sinon 1 × RA et 1 × Nord-Allemagne en groupage toujours. Une famille toujours passionnée par le matériel,autant les vieux Büssing,Volvo F12 et autres MAN du Papy disparu et conservés avec soin au dépôt,qu’au renouvellement fréquent de ses ensembles VOLVO,MAN,RENAULT. D’ailleurs plusieurs semi sont sérigraphiées avec les differentes époques et matériels utilisés. Pour ceux qui ne le sauraient pas,et il y en a beaucoup,j’ai roulé chez eux de 2003 à 2005,une chouette expérience ! Je prends toujours plaisir à passer leur dire bonjour de temps en temps. Quelques photos de leurs ensembles actuels et des « old timer » (véhicules anciens) qu’ils possèdent ! Juju42
Les transports Rodo Cargo
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Si l’entreprise Rodo Cargo est née en 1991, sa génèse remonte aux années 1950, ou les transports Pedrosa opèrent sur du modeste trafic national au Portugal. Tout se joue en 1991 ou le Portugal se défait de ses bijoux de famille en privatisant à tour de bras. Pedrosa saisit la balle au bon et reprend Rodoviaria Nacional. Cette dernière, effectue également, du transport de voyageur et quelques lignes de messageries express. Mais c’est surtout le transport d’automobiles qui interesse Pedrosa. Il devient alors rapidement leader dans ce domaine. Opportuniste, il rachète dans le même temps quelques entreprises à la santé précaire mais disposant d’une bonne clientèle. Transportadora Central Bejense, Camioangem Esteves, Jaime Dias pour ne citer que les plus connus.
Dès lors, l’entreprise se dédie en grande partie au transport d’automobiles, devient logisticien, prépare les voitures neuves pour le compte de Mercedes, et même BMW. A ce jour l’entreprise qui compte pas loin de 500 camions est toujours dirigée par un Pedrosa.
Les transports Reheul
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André Reheul démarre son activité de transporteur en 1953. Seul, avec un camion de 5T, il livre du charbon à Warcoing tout près de la frontière française avec Roubaix. 20 ans plus tard, ses deux fils le rejoignent, et l’entreprise qui grandit commence à sortir des frontières pour desservir la France toute proche, mais aussi l’Espagne et surtout l’Italie. L’entreprise qui reste familiale est fidèle à ses destinations et couleurs d’origine. Toujours entre la Belgique et l’Italie, on ne peut pas les louper !
Les transports EM Rogers
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Fondée juste après la seconde guerre montdiale Edward Rogers, qui était à l’origine agriculteur, s’est installé à Northampton, non loin du circuit automobile de Silverstone, des usines Aston Martin, Jaguar Land Rover. Très rapidement au début des années 1960, l’entreprise se tourne vers le transport d’automobiles. Ils opèrent principalement avec des véhicules fermés pour plus de discretion lors du transport d’automobiles d’excéption ou prototypes qu’il faut acheminer vers les centres d’essais. En 2006, ils intègrent Kentvale qui travaillent de la même manière.
Ils réalisent également des opérations de logistique, stockage et vente de véhicules utilitaires d’occasion pour l’export.
Familiale, l’entreprise jouit d’une excellente réputation.
Les transports Breewel
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Rien ne prédestinait le grand père Breewel a devenir l’un des leaders européens du transport de fleurs. A peine sorti de la seconde guerre mondiale, il achète au surprlus de l’armée un modeste Opel avec lequel il effectue du ramassage d’ordures. Installé à Wijk à deux pas de Mijdrecht, terre mondialement connue pour sa production horticole, il lui est demandé par un grossiste d’aller livrer des fleurs à l’occasion de la fête des mères en France. Dans la foulée, l’entreprise se diversifie et les destinations se font de plus en plus exotiques. A partir des années 70, la société se consacre majoritairement au transports de fleurs et devient exclusif à l’aube des années 90, divers rachats comme Berbée, le conforte dans son coeur de métier. La France est la destination principale, bien que toute l’Europe soit desservie. Une grande plateforme est ouverte en 2019 à Macon.
Les transports Pellet-Moine
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C’est en 1942 qu’a débuté l’aventure des Transports PELLET-MOINE. Spécialisé dans le transport de fromages par camions réfrigérés, cette entreprise a débuté modestement avec 2 camions, puis a acquis, au fil des années, par son sérieux, une notoriété incontestable et possède actuellement une flotte de 35 camions. Depuis lesannées 1940, la Société PELLET-MOINE est spécialisée dans le transport routier national et international, en lots complets et groupage. Une activité logiquement complétée par son indispensable corollaire, le stockage sec et frigorifique. Située à la frontière suisse, c’est une destination privilégiée. Il n’est pas rare de voir encore François en douane, qui ne manque jamais de rendre le bonjour. PME dynamique, PELLET-MOINE met un point d’honneur à améliorer sans cesse la qualité de son service à la clientèle, qualité déjà appréciée par de grandes marques qui lui font toute confiance depuis longtemps. C’est désormais Laurent Pellet-Moine qui dirige l’entreprise qui compte une trentaine d’attelages, tous nickels !
Les transports Den Hartogh
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Epicier à Beekkade, Jacobus den Hartogh crée une petite activité de livraison en 1920, il a alors 26 ans. Aux pays-bas, il est parfois plus simple à l’époque de se déplacer par barges que sur la route. Les canaux ne manquent pas entre les divers Polders, il acquiert la « Niets zonder Gods Zegen » Il relie Hillegom à Leyden entre Amsterdam et Rotterdam. Très rapidement, une seconde barge est acquise avec laquelle Den Hartogh transporte des marchandises diverses, du sucre, des betteraves, de la farine. Il peut emporter jusqu’à 40t de charge utile. Les premiers tours de roue s’effectuent quant à eux avec un cheval et sa charette, puis le premier camion fût un Ford T.
La crise et le crach boursier de 1929 ont été un cap à passer, néammoins, une grande conserverie de Hillegom, lui permettant de porter à 3 le nombre de camions avant la seconde guerre mondiale.
Réquisitionnés, par l’armée, Den Hartogh a la lumineuse idée d’enterrer l’un d’eux en attendant la fin de la guerre. Bien que les reseaux sociaux n’existaient pas à l’époque et la cachette fût découverte par les allemands, mais le camion était déjà réduit à un état de rouille avancé.
Dès la fin de la guerre Den Hartogh se remet en selle avec 2 véhicules provenant du plan Marshall. Bien que les besoins en transports étaient énormes, il fallait des licences de transport, il rachète deux entreprises mal en point et developpe des lignes de messageries, dans l’ouest du pays, puis sur tous les Pays Bas. ICI, un client spécialisé dans la chimie developpe son activité et fait confiance à Den Hartogh qui investit déjà dans des zones de stockage dès le début des années 60.
Dans les années 1970, Den Hartogh abandonne les transports de messagerie pour se concentrer sur le secteur de la chimie et continue son expension. Lors de l’ouverture des frontières, Den Hartogh qui se contentait alors de faire des aller retours depuis les Pays Bas, commence à organiser du transport extra européen et rachète diverses sociétés comme Maas, United Bos et Elda à Amiens. Plus récemment Den Hartogh a ouvert des bureaux à Houston, Dubaï et Singapour, ainsique l’activité Chmique de Sitra.