Les transports Padrosa, plus que centenaire

Padrosa, 54 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/padrosa Plus que centenaire, l’histoire des transports Padrosa est des plus originales. Le jeune Pere Padrosa est employé par Benet Deusedes qui possèdes des carrioles et des cheveaux. Depuis toujours, la difference d’écartement des rails des voies ferrées est une bénédiction pour les transporteurs routiers. A l’aide d’une carriole il rejoint la gare du Boulou ou de Figueras ou il charge, paille et autres fournitures pour la Catalogne, principalement pour les militaires. A ses 15 ans, en 1923, Benet Deusedes, riche et veuf offre sa société à Pere Padrosa à la condition qu’il prenne soin du propriétaire jusqu’à sa mort.
Il change le nom de l’agence en « Transportes Generales Pedro Padrosa », et obtient à 16 ans le 26e permis de conduire de la province de Gerone. Il finit ainsi par se concentrer sur le transport du charbon de bois des forêts jusqu’aux magasins de Figueres ou par se charger exclusivement de l’approvisionnement des casernes militaires situées à Castell de Sant Ferran, que l’on longe sur l’AP7 aujourd’hui.
A la sortie de la guerre civile son parc de camion est des plus hétéroclytes et réparé avec les moyens du bord. Il élargit son rayon d’action vers le sud ou il charge des tuiles à La Bisbal d’Emporda et revient avec des vins et de l’huile d’olive. A la même époque débutent les premiers voyages internationaux vers la Belgique.
La frontière française reste un réel frein au commerce dans les années 50, Padrosa crée une société de transit : InterEuropa qui tente de faciliter les passages en douane. Mateu & Mateu, Tradisa, profitent également de ses services. C’est grâce à un mariage en 1961, que s’implante dans les Pyrenées Orientale une délégation Padrosa.
L’arrivée du carnet TIR en 1963, facilitera un peu les opérations douanières. Si aujourd’hui, tout le monde connait les grues et dépanneuses Padrosa, elles viennent de l’époque ou Padrosa avait en charge de récuperer des tracteurs agricoles en gare du Boulou. Le transfert vers les camions depuis les wagons n’était pas simple, une grue était bien plus appropriée même si les douaniers français voyaient d’un mauvais oeil cette grue immatriculée à Gerone.
Toutefois, la position hors EU, permet à Padrosa de livrer du materiel electronique, des téléviseurs jusqu’à Moscou dès les années 1970, une véritable prouesse. Parc et personnels ne cesseront de croitre pour atteindre 400 personnes dans les années 2000. L’ouverture de l’Europe vers l’EST sera toutefois fatale aux transports Padrosa qui cessent leurs activités de transport international en 2012 après un lent déclin, et se concentrent sur des marchés plus porteurs et variés. Grues, transports exceptionnels, et parkings sécurisé. L’aventure familiale continue !

Source elmercantil, historiatransportcat

Sandermans, 60 photos, une histoire

Sandermans, 60 photos, une histoire https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/sandermans En 1922, Jean Sandermans fonde à Woluwé-Saint-Pierre, une petite commune au sud-est de Bruxelles, une modeste entreprise de déménagements. Epaulé par ses fils Isidore et Pierre, le développement des affaires sont compliquées avec la seconde guerre mondiale. A la sortie du conflit, la famille Sandermans a l’opportunité de gerer les transports d’une cartonnerie à Ghlin, non loin de Mons ou ils développent leur business. Quand Isidore prend les rênes de l’entreprise, elle devient Transports Sandermans. Les transports se spécialisent alors dans l’ADR frigorifique, ainsi que de dêchets. Au fil des générations qui se succèdent à la tête de la société, la politique d’un sage développement reste la norme avec un parc de camion homogène aux couleurs magnifiques.

Duvenbeck, 41 photos

Duvenbeck, 41 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/duvenbeck    L’histoire de l’entreprise remonte à l’année 1932, lorsque Christian Duvenbeck a fondé son entreprise de déménagement avec une équipe de chevaux. De 50 employés en 1992, le nombre est désormais monté à 5.500. Au milieu des années 1990, l’entreprise a fait le pas de la scène allemande à la scène internationale. Depuis ce temps, DUVENBECK a connu une forte croissance. DUVENBECK Logistik GmbH, Graz est l’un des 41 sites européens du groupe allemand, présent en Allemagne, Autriche, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Espagne, République tchèque et Hongrie. Malgré la taille maintenant atteinte, l’entreprise se considère toujours comme une entreprise de taille moyenne qui n’a pas perdu le contact avec le terrain et mise sur des « vertus anciennes » telles que la fiabilité, la confiance et l’honnêteté. Duvenbeck possède plus de 1 500 camions, principalement utilisés par les clients des secteurs automobile et industriel, ainsi que des véhicules agricoles.

Debeaux 207 photos

Debeaux 207 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/debeaux  Durant près de 80 ans les  camions des transports Debeaux ont sillonné les routes d’Europe. C’est avec émotion que Roger Debeaux nous a résumé cette épopée du transport routier français. Ce dossier n’aurait sans doute jamais vu le jour sans la précieuse aide de Jean Dejean, qu’il en soit une nouvelle fois remercié, un grand merci également à Robert Chastang, Luc, Lilo et à ceux qui voudront bien chercher dans leurs archives les photos à venir des transports Debeaux…. Merci également à Tony, Laurent, L’Ardechois, Caroto, Alex, Alain… Si vous souhaitez ajouter des photos sur ce dossier, n’hésitez pas à nous les faire parvenir, par mail : sitefdr@gmail.com ou courrier postal.

Dès la sortie de la première guerre mondiale, Joseph Debeaux démarre une activité de transporteur, il fonde sa société dans son village, à Livron dans la Drôme aux portes de la Provence. Son activité se résume à des transports de matériaux et de mâchefers pour le compte du chemin de fer, il circule ainsi sur sa commune avec ses 3 chevaux et 2 chars. En 1920, les chevaux rentrent aux écuries, et le premier véhicule de la société entre en scène, il s’agit d’un vénérable Saurer essence, avec des roues à bandages et à transmission à chaîne. La cabine est ouverte à tous les vents, fort de ce véhicule, il diversifie sa clientèle, tout en maintenant ses activités en transports de matériaux. Très vite un Berliet CBA équipé d’une benne à manivelle vient renforcer la flotte, afin d’effectuer d’importants travaux de voirie sur la commune de Livron. Joseph, quant à lui, ne tiendra jamais le volant d’un de ses camions.

Durant la seconde guerre, les camions sont réquisitionnés par l’armée Allemande, basée à Mallissard petit village à l’Est de Valence. Ainsi, Roger l’aîné, et Pierre effectuent durant la journée des transports pour le compte des Allemands, essentiellement, des transferts de troupes ou d’ouvriers à l’aide de laissez-passer. Ils en profitent pour noter les points minés et autres pièges tendus aux résistants, qu’ils approvisionnent en vivres, la nuit sur le Diois et le Vercors, et leur transmettent les informations recueillies la journée. Ils prennent d’énormes risques, mais la jeunesse et la motivation du maquis fait le reste.

L’histoire s’accélère : A la démobilisation, l’entreprise reprend le cours normal de ses activités. Le parc est agrandi en faisant largement appel aux camions rachetés au domaine, et le parc est des plus hétéroclite : GMC, Panhard, Mercedes et Renault. C’est à l’époque le garage Pinassaud qui vielle au bon fonctionnement de la mécanique, soumis à rude épreuve, les transports se sont diversifiés, les camions tournent avec du transport à la demande et son chargés avec des marchandises les plus diverses, beaucoup de fruits de la région, et retour avec des jus de fruits, et bien entendu, les matériaux, engrais ; Le rayon d’action reste régional, voire grand régional. Avec l’arrivée des GLR Berliet, Debeaux effectue alors au début des années 50, 2 allers retours en primeurs entre St Malo et Livron dans la semaine. Un attelage camion-remorque GDR faisait du Paris en messagerie, il laissait sa remorque aux Messageries Nationales à Paris, et partait vider le porteur sur Rouen. Equipé en gazobois, ce véhicule emportait une trentaine de sacs, mais il fallait réapprovisionner en route ! Avec 125cv, il ne fallait pas compter ses heures. Il y a alors une petite dizaine de chauffeurs, et Roger s’occupe des rechargements depuis le bureau de la maison familiale.

Au milieu des années 50, l’entreprise déménage au Nord de Livron, et l’entretient est désormais réalisé par des mécanos et carrossiers « maison ». Dans le même temps l’entreprise grandit, et se diversifie, elle reprend une petite entreprise de 2 camions avec leurs chauffeurs qui desservent Le Diois au départ de Beaucaire ou St Etienne pour Casino ; Ils reprennent aussi Fauriel, grains et fourrages. En 1959, afin d’augmenter la charge, Debeaux achète ses 2 premières semi-remorques tractées par de superbes TLR Berliet, qui sont affrétés pour Vacher de Romans. L’entreprise se développe alors sur l’international avec un UNIC 150cv Camion-Remorque pour convoyer des « métiers » à destination de Berlin, ils rechargent du fil en Belgique pour St Clair de la tour (38).

A l’assaut de l’Europe : Un coup d’accélérateur au développement de la société sur l’international est donné dès l’arrivée massive des TR250 cabine « Relax » qui desservent alors la Suède, la Grande Bretagne, l’Italie. Tous les samedis, ce sont jusqu’à 15 camions qui montent simultanément en direction de l’Angleterre chargés avec des pommes. Dans le même temps, Volvo avec ses fameux F88 pointe son nez sur le parc très vite suivis par les TR260. La maison Debeaux se developpe sur l’Inter nottement sur la Suède, ils montent le week-end en convoi. La maison Debeaux développe aussi ses trafics en pulvé, d’abord avec des « tétines » pour le transport de ciments, puis avec les premières pulvés à vérin, puis en reprenant les transports pulvé Fraysse, la société affiche un bon nombre d’ensemble, ils assurent 10 rotations par semaine pour SIPLAST entre Mondoubleau et Livron. Les bennes ne sont pas en reste sur la longue distance, ils chargent du riz vrac en Camargue qui est alors emballé en Italie. Quant aux bâchés, ils rechargent souvent du plastique en Belgique ou des patates dans le Nord, pour toute l’Italie.

Afin de mieux optimiser les retours, une entreprise est reprise à Armentières, et une à Rouen. Au début des années 80, les transports Baboin de Serves/Rhône, spécialisés en benne, passent sous le giron Debeaux, ainsi que les transport Jury, quant à eux, spécialisés en transports de produits chimiques développe l’activité de l’entreprise dans ce secteur, les destinations finales sont souvent fort lointaines du paisible village de Livron, puisqu’on pouvait croiser des « Bleus » jusqu’en Pologne, Roumanie, Finlande etc… Le parc se modernise, les TR280 sont remplacés par des R310, puis 340, arrivent aussi des Volvo F10, IVECO 190-30, G290 Renault etc… Dans le même temps, une politique ambitieuse est mise en place pour diminuer la sinistralité, les conducteurs doivent respecter le 80, et sont payés à l’heure, ce qui est loin d’être courant à cette époque. Dans la continuité de Roger Debeaux, c’est Bernard Jouvet qui prend les rennes de l’entreprise et ne cesse de la développer, la notoriété de l’entreprise n’est plus à démontrer, les changements de véhicules sont alors nombreux et rapides. Malheureusement, Bernard décède dans un accident de la route en Espagne, alors que la société devait se développer et s’implanter dans le pays.  C’est le groupe Transalliance qui reprendra le flambeau, en 1993, l’entreprise compte alors 500 tracteurs, 600 semi et pas loin de 800 employés.

Alainé, 413 photos

  Alainé, 413 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/alaine     L’histoire des transports Alainé, débute en 1945. Son fondateur, Marcel Alainé, livre du bois pour le boulanger du village d’Hurigny au nord ouest de Mâcon. C’est également à Hurigny que l’entreprise s’installe et se développe, il embauche son 1er chauffeur en 1952, l’entreprise ne cesse alors de se developper et déménage plus proche de la nationale 6 à Mâcon, en 1966, elle compte alors 12 employés. En 1981, les fils prennent le relais de Marcel, et continuent d’appliquer les recettes du paternel en rachetant des entreprises de transport, leur permettant d’être présents dans tous les secteurs d’activité du transport.

Trota 110 photos

 Trota, 110 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/trota C’est en 1958 que l’entreprise Trota démarre son activité à Lérida. Aidé par son père, Francesc Trota se dédie aux transports de fruits. La région de Lérida irriguée par l’Ebre, produit des pommes, des poires, des pêches qu’il faut bien acheminer. Le succès est au rendez-vous, le parc de camions grandit rapidement. En 1985, l’entreprise devient AT Trota, avec les couleurs que l’on voit toujours aujourd’hui. Très vite l’entreprise se tourne vers l’international. Les chargements autour dans les nombreuses cooperatives fruitières de la région se font avec des rippeurs, faute d’entrepôt logistique. Rendez vous est donné, dans un bar de la région avec le transporteur, et le rippeur guide le chauffeur, le charge, autre époque, autre méthodes.

En 2005, ils s’installent CIM Lleida et regroupent toutes leurs activités. Comme beaucoup de transporteurs espagnols, les effectifs explosent rapidement, avec des filiales en Roumanie. L’entreprise se spécialise également dans la logistique, les produits frais mais reste très présente dans les coopératives de la région de Lérida, toujours à capitaux familiaux. Elle est très impliquée dans la vie locale de Lérida.

Caillot, 34 photos

Caillot, 34 photos    https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/caillot    Créee en 1964 par son père, c’est en 1984 après avoir fait Sup de Co Nantes et réalisé tous ses stages dans l’entreprise familiale, que Jean-Pierre Caillot alors tout jeune homme, prend les commandes au pire moment, la fin de la TRO ayant fragilisé la société. Mais il relève le défi et se donne comme challenge personnel de trouver chaque mois un nouveau client afin de remonter la pente au plus vite. Cela lui permet finalement d’éviter tout licenciement. Ses parents lui font alors aveuglément confiance lorsqu’il leur propose de se diversifier en logistique. Et de fait, l’entreprise prospère. Ce qui pousse le jeune patron à se présenter à l’élection du transporteur de l’année en 1993 et lui permet de devenir le plus jeune chef d’entreprise distingué par ce titre, remporté avec fierté en présence de son père. Ce n’était qu’un début. Entre 1984 et 2022, l’entreprise, devenue le groupe Caillot, est passée de 1,8 million d’euros de chiffre d’affaires à 70 millions. De quelques dizaines de camions à 350 moteurs et 800 remorques. Quant à la logistique, activité démarrée dans un petit hangar, elle occupe désormais 300 000 m2 d’entrepôts. D’aucuns se seraient contentés de cette belle performance. Mais l’amour du ballon en a décidé autrement. Jean-Pierre Caillot, qui jouait au foot corpo dans son entreprise, rencontre des personnalités du Stade de Reims qui lui donnent envie de relever un défi : donner un nouvel élan à cette équipe de foot. Au fils des ans, le nouveau président du Stade de Reims parvient à en redorer l’image, à faire monter l’équipe en Ligue 1 et même à la qualifier pour une coupe européenne. Un pied dans le transport, l’autre dans le football. Ses deux filles qui vivent au bout du monde et son fils, très attaché à son poste de directeur sportif du Stade de Reims, n’ont pas prévu de lui succéder. En 2023, Le groupe Charles André (26) a repris en partie les Transports Caillot. Cela leur permet d’allier leurs forces et de créer des synergies pour renforcer leur position de leader, dans l’intérêt de leurs clients. Jean Pierre Caillot prévoit lors de cette cession partielle de rester encore 5 ans à la tête de l’entreprise.

Belzunces, 76 photos

Belzunces, 76 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/belzunces   Fondée par Antonio et Juan Belzunces dans les années 50 avec transport à l’origine d’amandes et de céréales. Au début, le transport était effectué avec un Pegaso 140, à l’époque le premier de la province d’Almería. Les premieres années de l’entreprise ont été avec 4  camions avec semi-remorques bâchées. En l’an 2000, une étape importante à retenir est le prix de « l’homme des transports de l’année » décerné par le sous-secrétaire du ministère des Travaux publics. Devenus spécialisés en transports frigorifiques, 60 ans plus tard, c’est toujours un Belzunces à la tête de l’entreprise forte de 120 attelages aux couleurs imanquables.

LKW Walter, 214 photos

LKW Walter, 214 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/lkw-walter   Fondée en 1924, LKW Walter se lance très tôt dans le transport international. L’Autriche a mis en place dès le début des années 1980 un réseau ferré dédié au transports combinés afin de diminuer le flot de camions sur le réseau routier du pays. LKW Walter déjà présent sur l’ensemble de l’Europe développe encore ses dessertes. L’Autriche est desormais un carrefour de l’Europe, et l’ouverture vers l’est leur offre encore plus de possibilité avec une main d’oeuvre moins couteuse. La spécialité de LKW Walter reste du lot complet, pas d’ADR, un secteur ou le gagnant est forcement le moins cher. C’est ainsi que 100 ans après ses débuts on peut encore voir des remorques LKW depuis l’Afrique du Nord au fin fond du Caucase ainsi qu’en Scandinavie.

El Mosca, 131 photos

El Mosca, 131 photos    https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/el-mosca   El Mosca compte aujourd’hui 1200 véhicules et emploie autant de personnels, repartis sur toutes l’Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni. Leur aventure a débuté pourtant bien modestement au tout début de la sinistre guerre civile espagnole en 1936. El Mosca est alors fondée à Molina de Segura par José Antonio Hernández et Fuensanta Castellón. Equipés, d’un chariot et d’une mule, ils chargent des marchandises diverses entre Molina et Murcia, distantes d’une quinzaine de kilomètres. Ils sont très vite épaulés, dès leur plus jeune âge par les enfants de la famille, et suivent l’évolution des producteurs de fruits et légumes locaux. Après des années d’efforts et de lutte, le premier vrai  camion de la société est acheté en 1960, un camion de 8t, qui leur permet de desservir un secteur géographique plus vaste en Espagne. Devenus de vrais ambassadeurs de la région Murcienne, ils se concentrent sur l’activité des fruits et légumes frais et des conserves. Dès 1975, ils ajoutent une corde à leur arc en proposant à leurs clients des liaisons vers les îles Baléares et Canaries Il faut attendre 1992, pour que El Mosca, passe les frontières, puis se concentre quelques années plus tard sur le transport frigorifique international de fruits et légumes, avec la création de Mosca Murcia (avec sept  camions) et Mosca Marítimo. Avec la 3e génération, l’entreprise se consolidait dans le secteur du transport et du stockage de marchandises à travers sa division terrestre, qui couvre à la fois le territoire national et l’Europe, et maritime, qui couvre les entrepôts nationaux, internationaux et douaniers ; la division aérienne, quant à elle, a été lancée en 2019. GO GLOBAL !