LKW Walter, 214 photos

LKW Walter, 214 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/lkw-walter   Fondée en 1924, LKW Walter se lance très tôt dans le transport international. L’Autriche a mis en place dès le début des années 1980 un réseau ferré dédié au transports combinés afin de diminuer le flot de camions sur le réseau routier du pays. LKW Walter déjà présent sur l’ensemble de l’Europe développe encore ses dessertes. L’Autriche est desormais un carrefour de l’Europe, et l’ouverture vers l’est leur offre encore plus de possibilité avec une main d’oeuvre moins couteuse. La spécialité de LKW Walter reste du lot complet, pas d’ADR, un secteur ou le gagnant est forcement le moins cher. C’est ainsi que 100 ans après ses débuts on peut encore voir des remorques LKW depuis l’Afrique du Nord au fin fond du Caucase ainsi qu’en Scandinavie.

Une semaine en photo avec le touriste Vosgien

Quand il n’est pas sur les pistes de ski Vosgiennes, Samu est sur les routes. Par chance, il pense même à faire des photos, toujours bien vues et à déguster avec un vin chaud ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/au-fil-des-semaines

El Mosca, 131 photos

El Mosca, 131 photos    https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/el-mosca   El Mosca compte aujourd’hui 1200 véhicules et emploie autant de personnels, repartis sur toutes l’Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni. Leur aventure a débuté pourtant bien modestement au tout début de la sinistre guerre civile espagnole en 1936. El Mosca est alors fondée à Molina de Segura par José Antonio Hernández et Fuensanta Castellón. Equipés, d’un chariot et d’une mule, ils chargent des marchandises diverses entre Molina et Murcia, distantes d’une quinzaine de kilomètres. Ils sont très vite épaulés, dès leur plus jeune âge par les enfants de la famille, et suivent l’évolution des producteurs de fruits et légumes locaux. Après des années d’efforts et de lutte, le premier vrai  camion de la société est acheté en 1960, un camion de 8t, qui leur permet de desservir un secteur géographique plus vaste en Espagne. Devenus de vrais ambassadeurs de la région Murcienne, ils se concentrent sur l’activité des fruits et légumes frais et des conserves. Dès 1975, ils ajoutent une corde à leur arc en proposant à leurs clients des liaisons vers les îles Baléares et Canaries Il faut attendre 1992, pour que El Mosca, passe les frontières, puis se concentre quelques années plus tard sur le transport frigorifique international de fruits et légumes, avec la création de Mosca Murcia (avec sept  camions) et Mosca Marítimo. Avec la 3e génération, l’entreprise se consolidait dans le secteur du transport et du stockage de marchandises à travers sa division terrestre, qui couvre à la fois le territoire national et l’Europe, et maritime, qui couvre les entrepôts nationaux, internationaux et douaniers ; la division aérienne, quant à elle, a été lancée en 2019. GO GLOBAL !

Campillo Palmera, 123 photos

Campillo Palmera, 123 photos     https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/campillo-palmera    Les frères Campillo achètent leur premier camion en 1954. Installés dans la banlieue de Murcia, ils se tournent logiquement vers les transports de fruits et légumes dont la région regorge. En 1963, ils sont les premiers espagnols à débarquer à Dublin en Irlande. Comme beaucoup de transporteurs espagnols, les couleurs de leurs véhicules restent toujours les mêmes et ne font pas la fortune des graphistes de la région ! Avec le temps, ils ont diversifié leurs activités, groupage, stockage et ouverts quelques agences, à Sofia, Tanger et Vicenza. Régulièrement, on ajoute des photos dans cette rubrique, si vous en avez, n’hésitez pas !!!

Freret & Fils, 34 photos

Freret & Fils, 34 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/freret    Pendant une douzaine d’années, Yves Freret a acquis son expérience de chauffeur comme employé de Mme Hélène, en transportant les légumes des maraîchers créançais vers les halles de Paris. Il faisait trois tours aux halles au volant d’un porteur Berliet de 110 CV. Il avait toujours avec lui une burette pour graisser les culbuteurs. À l’époque, la commune était à 7 heures de route de Paris en camion, le trajet comportait de sérieuses côtes. Il fallait savoir tricoter le levier de vitesse. En 1966, une opportunité se présente, un transporteur prend sa retraite, Yves Freret a alors 35 ans, il lui achète son camion d’occasion et lui prend sa licence en location. L’activité du bassin légumier du secteur etait saisonnière et ne durait que six mois dans l’année. Aussi, pour s’assurer du travail tout au long de l’année, Yves Freret faisait le transport de pommes de terre primeurs de Saint-Malo à Paris et s’expatriait plusieurs mois à Saint-Omer, dans le Nord, pour transporter des choux-fleurs jusqu’aux halles de Rungis. Il prend sa retraite en 1997 et passe le relais à ses deux fils, Denis et Norbert, après avoir effectué plus de 4 millions de km durant toute sa carrière. L’entreprise s’est agrandie d’année en année. Son petit-fils, François, a lui aussi emboîté le pas et emprunte toujours la RN13 pour aller aux halles de Rungis. C’est aussi un grand sportif dans la discipline du camion super-cross dans laquelle il s’est classé tour à tour champion de France et vice-champion. Freret & Fils est une entreprise de la Manche, basée à Lessay. (source Ouest France)

Groupe Maurel, 49 photos

Groupe Maurel, 49 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/maurel-groupe   En 1961 Paul Maurel achète son premier camion. Cinq ans plus tard, l’entreprise compte déjà quatre  camions de transport et s’installe dans un premier garage à Gaillac. Aujourd’hui 3 générations plus tard, le groupe Maurel est divisé en 3 entités et 200 véhicules : Maurel Granulats (bennes TP), les transports Mestre (citernes pulvérulentes), et Maurel-Tarnais (transports conditionnés, lots complets).

Les transports Brevet, 110 photos

Les transports Brevet, 110 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/brevet  En 1966, René Brevet crée l’entreprise et se spécialise dès 1969 dans la collecte et la distribution de produits laitiers pour Candia en sud Bourgogne. L’affaire se développe et en 1980, il acquiert un entrepôt Yoplait sur le site de CHATENOY LE ROYAL en reprenant les locaux du clients Candia. L’entreprise compte alors 21 salariés. Quatre ans plus tard, l’entreprise devient TRANSPORTS BREVET SA, et compte 40 salariés. Tout va bien jusqu’en 1990, lorsque la GMS créé ses propres plateformes, ce qui entrainera un énorme impayé et quelques années compliquées pour l’entreprise. Le fils Nicolas Brevet a mis un point d’honneur à éponger toutes les dettes suite au redressement judiciaire de 2006, un combat de dix ans. Brevet ne réalise que du transport frigorifique agroalimentaire et ils ont su tirer des leçons de tout ça, désormais ils ne dépendront plus jamais d’un seul gros client. Trop à l’étroit à Châtenoy-le-Royal, et afin de tourner définitivement une page noire de leur histoire, l’entreprise prend possession au mois de mars 2021, de nouveaux locaux à Crissey (71). Dotée d’un bâtiment de 3 000 m2 et 32 portes, les TRANSPORTS BREVET SA comptent 220 salariés et restent centrés sur le transport et le stockage de produits agro-alimentaires. Avec 125 véhicules, trois agences (dont deux sites de stockage), l’entreprise continue son expansion et offre une palette de services adaptés à ses clients, qu’ils soient petits producteurs ou industriels de l’agro-alimentaire.

Il y a 40 ans, une belle frousse en Espagne

40 ans déjà… Nous voilà arrivés dans cette laiterie de Malaga au départ de Montauban avec nos deux citernes de 25 000Litres de lait, la mienne, juste derrière nous deux et celle de mon compagnon d’infortune à l’extrême gauche de la photo.. (premier trajet pour lui en international et qui m’avait sollicité au hasard d’une pause déjeuner de l’aider dans les démarches douanières) C’est son épouse qui tient lieu de photographe pour l’occasion.
Je dis compagnon d’infortune car pour un premier transport pour lui à l’étranger, il va être servi…
Après avoir vidé nos citernes et traversé l’Espagne cette fois-ci, du sud au nord, de retour vers la France à une soixantaine de kilomètres de la frontière de Irun vers 1h00 du matin nous avons été stoppés, herses en travers de l’autoroute et contraints d’arrêter les deux semi remorques devant un parterre de policiers armés jusqu’aux dents…
La police nous a violemment sortis de nos cabines, plaqués contre les ailes avant de nos camions et maintenus chacun par une mitraillette sur le ventre sans aucune explication. Pendant ce temps, les fouilles de nos cabines, châssis, roues de secours et citernes commençaient lorsqu’en cherchant dans la cabine de mon collègue du moment, les policiers se rendaient compte de la présence de son épouse dans la couchette… Sans plus de ménagement que nous deux, elle fut sortie de la cabine en chemise de nuit et plaquée aux côtés de son mari dans cette tenue légère par un froid hivernal…. La pauvre en fit par la suite une dépression…
Faisant chou blanc dans leurs recherches, ils ont sorti les herses et tout leur dispositif et nous ont laissés repartir sans excuses ni explications.
Nous avons appris à notre arrivée en France que l’ETA s’était faite remarquer dans le secteur de Pampelune et la police sur les dents recherchait des armes….
Nous avons gardé un temps le contact par courrier (bin oui ! à l’époque pas de mails ou de fessebouc 😉 ) car cette expérience avait vraiment marqué son épouse et de son côté, pour une première en international, il disait que ce serait certainement la dernière .
Hervé

114 nouvelles photos « Au Boulot »

C’est bien connu, le travail, c’est la santé. Toutefois, il est beaucoup reposant de regarder les autres travailler, et bien souvent faire des remarques gratuites ! C’est ce que je vous propose avec 114 nouvelles photos signées Samu88, Pascal Webre, Julien Massardier, Tophe69 ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/au-boulot

Waberers, 290 photos

Waberers, 290 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/waberers   Il faut remonter en 1948 pour trouver les racines de Waberer’s. Volan Tefu est alors le transporteur national de la Hongrie alors sous influence russe. L’entreprise est divisée en deux activités, les voyageurs et les marchandises. A partir de 1966, c’est la célèbre Hungarocamion qui prend en charge les transports internationaux. Tout aurait pû encore longtemps continuer ainsi sans la brusque chute du mar de Berlin, et l’ouverture au marché libre au début des années 90. C’est précisement en 1994 que György Wáberer et ses associés privatisent Hungarocamion et changent les méthodes de travail. 5 ans plus tard, à l’aube de l’an 2000, Volan Tefu disparait et tombe dans le giron Waberrer’s. La croissane est vite au rendez-vous, les anciens communistes ont vite compris le libéralisme et c’est une vraie defferlante jaune et bleue sur les autoroute de l’ouest de l’Europe, defrayant parfois la chronique. L’entreprise est côtée en bourse à Budapest en 2017. L’entreprise connait des hauts, des bas, et beaucoup ont spéculé sur leur fin imminante, mais elle est toujours là. Comme beaucoup de grand transporteur, il peine à motiver et recruter des conducteurs, c’est ainsi que recement 80 condurcteurs Hindous ont rejoint Budapest. Nostaligiques, ils ont également fait quelques attelages aux couleurs Hungarocamion et Volan Tefu ! A suivre !!!