Mercedes Axor, la brochure 2004

L’Axor, c’est un peu le Premium en version germanique, avec un point commun, il a fait rêver personne, ou presque.
Cette brochure de 2004 nous fait découvrir l’Axor, un modèle conçu pour les ramassage distribution, et le transport moyen courrier (même si il a été aussi présent sur du très long courrier, comme les transporteurs turcs qui en furent friands).
Une brochure de 42 pages, scannées une par une par Samu88 du très sérieux (VTI) Vosgian Truck Institute ici ; https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/l-axor

Mercedes Bluetech (la brochure de présentation 2002)

En 2004, l’Actros MP2 est à son pleine apogée. Mais les normes de pollution évoluant, il faut batailler de technique et de recherches pour aboutir en 2006 à la conformisation à Euro 4 qui sera suivie par Euro 5 en 2009. Mercedes Benz crée la technologie BlueTech à travers la technologie SCR et son célèbre additif l’AdBlue que nous utilisons tous aujourd’hui. Petit cour de technique et rappel des normes dans cette courte de brochure de 8 pages ici https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/bluetech-la-technologie-scr .
Un document scanné par Samu Truck Museum

Les Transports Ducourneau

91 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/ducourneau Toulounais d’origine, Jean-Pierre Ducourneau est electricien sur les chantiers navals à La Seyne sur Mer. En 1971, il dépanne un ami alors souffrant, et le remplace au volant de son Mercedes 608. Dès lors, il enchaine les allers retours à Paris. Fort de son expérience, il rachète la carte rouge d’un transporteur qui prend sa retraite en 1973 avec son 10 tonnes. C’est 2 ans plus tard qu’il s’offre son premier semi remorque, c’est bien sûr un Volvo, un F89 le must de l’époque. Mais le véritable coup de starter à la croissance de la société est dû aux cheminées Brisach dont les publicités ornent les remorques Ducourneau, qui lui donnent bon nombre de transports. L’entreprise se délocalise alors à Flassans, plus proche alors des grands axes. En 1982, l’entreprise compte 10 salariés.
La croissance sera toujours au rendez-vous à force de travail et de rachats. Des dépôts sont ouverts à Gonesse, Meyzieu, Cavaillon, Rousset et Douai. En 2011, c’est le couronement, il devient Transporteur de l’Année. Les Doucourneau desservent la France, la Belgiqu, l’Italie et l’Espagne. Jean-Pierre Doucourneau est décédé en 2023. C’est son fils Fréderic qui dirige l’entreprise depuis 2009.

MAN TGL TGM, 50 nouvelles photos

Voici une mise à jour qui va mettre du bonheur dans votre vie avec 50 nouvelles photos de MAN TGL et TGM, on le sait, vous adorez ça ! Et en plus, tout est trié par pays et par transporteur, c’est vraiment dingue !
Découvrez ici cette incoyable mise à jour https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/tgl Un grand coup de chapeau aux dingos du TGL : Christian Bacher, Gerard Bobenrieth, Gilles Pluet, Mat Ireland

Les transports Emil Egger

62 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/emil-egger A l’origine, la famille Egger était une famille de paysans qui louait une ferme, au-dessus de St. Gall. Lorsque le bail prit fin et que ses fils, presque adultes, ne montrèrent pas d’intérêt pour l’agriculture, Johann Egger acheta, un peu à contrecœur, un commerce de bois et de charbon, où la logistique était encore assurée par des chevaux. En 1931, la création officielle d’un prestataire de services de logistiques fiable (à l’époque, il n’y avait pas encore de désignation officielle) des “frères Egger” par les fils Hans et Emil Egger a eu lieu. Le siège de la première entreprise se trouvait à Heiligkreuz à Saint-Gall. En tant que pionnier de la logistique, l’entreprise a surmonté de nombreux défis et crises. Outre les obligations légales qui ont régulièrement compliqué les affaires, la deuxième guerre mondiale a sans doute constitué le plus grand défi au fil des années.
A cette époque, Hans ne croyait plus en l’avenir de l’entreprise, car les rationnements de carburant, de caoutchouc ou de pneus et les mesures de restriction des performances de conduite laissaient présager un avenir sombre. Mais Emil Egger voulait se battre, notamment pour le personnel, auquel il s’était beaucoup attaché au fil des ans. Il a donc racheté les parts de son frère et a consacré toute son énergie à l’entreprise. Il s’en est suivi de nombreux combats difficiles pour assurer leur subsistance.
Hans Egger a ensuite fondé PNEU EGGER, une entreprise qui prospère encore aujourd’hui, mais avec un autre propriétaire. L’ancienne famille d’agriculteurs Egger est devenue une famille d’entrepreneurs grâce à ses fils Hans et Emil.
Pendant la guerre, diverses actions d’aide ont été organisées par la Croix-Rouge et d’autres institutions caritatives – Emil Egger a également proposé ses services à cet effet. Pour se protéger des attaques aériennes, chaque camion était recouvert d’une grande toile, ornée de la croix suisse. De même, l’approvisionnement de la Suisse à partir de l’année 1941 n’a été assuré que par l’utilisation de camions. A l’époque, Emil Transporte Egger allait chercher, avec d’autres logisticiens, les denrées alimentaires qui arrivaient à la frontière Portugal/Espagne et les transportait à travers l’Espagne jusqu’à la frontière française, pour les acheminer ensuite en Suisse par les chemins de fer français. Emil Egger conduisait jour et nuit avec ses collaborateurs pour assurer l’approvisionnement du pays. Une période difficile avec peu de sommeil, sans cabine de couchage !
Lorsque la terrible guerre a enfin pris fin en 1945, Emil Egger a effectué des transports d’Allemagne vers la Suisse, entre autres pour des entreprises privées, afin de récupérer des biens appartenant à la Suisse.
Après la guerre, de bonnes années ont suivi et l’entreprise a pu se développer et croître de manière constante. ETE est devenu un interlocuteur apprécié pour les questions de logistique et un employeur important dans la région. Le logo aux lettres marquantes ETE a été conçu à l’époque par le père fondateur Emil Egger sur un couvercle de bière et a dès lors orné les véhicules de l’entreprise, jusqu’à aujourd’hui.
Dès 1956, Emil Egger a reconnu la nécessité de se spécialiser également dans le domaine des marchandises lourdes. Des machines de plus en plus grandes étaient produites et devaient être transportées. Emil Egger a donc conçu sans hésiter une remorque surbaissée de sa propre marque, avec une charge utile de 15 tonnes. En outre, la première grue automotrice entièrement hydraulique, à quatre roues directrices, a été achetée aux États-Unis. À l’époque, il s’agissait seulement du troisième appareil de ce type dans toute l’Europe, avec une capacité de levage de 4,5 tonnes, ce qui était énorme pour l’époque.
En 1965, Emil Egger décide de transformer l’entreprise en société anonyme. Une forme juridique plutôt progressiste à l’époque, toujours en vigueur aujourd’hui. L’ensemble du capital est détenu à ce jour par des membres de la famille.
En 1966, à l’âge de 20 ans, Heini Egger, le plus jeune fils d’Emil Egger, a rejoint l’entreprise après avoir terminé son apprentissage de mécanicien. La collaboration entre le père et le fils a fonctionné à merveille. Tous deux ont mis l’accent sur la forte expansion du secteur de la logistique des colis de détail.
Emil Egger est décédé en 2006, à peine deux semaines après le décès de sa chère épouse Idamarie, à l’âge de 94 ans. Ses deux petits-enfants, Michael et Markus Egger, ont rejoint l’entreprise florissante en 2004 et 2007.
Le nouveau millénaire est surtout marqué par le développement des infrastructures. De nouveaux entrepôts et de nouvelles halles de transbordement ainsi que des bureaux ont été construits. D’autres nombreux investissements dans la flotte et des extensions de sites, comme par l’achat de Zumwald Transports SA en Suisse romande, ont permis d’améliorer continuellement les prestations pour les clients. Grâce à sa vaste infrastructure et à sa flotte de véhicules ultramodernes, ainsi qu’à son personnel qualifié et expérimenté, EMIL EGGER AG peut continuer à renforcer sa position sur le marché, dans le domain de la logistique lourde également et son consolider son parcours d’entreprise régionale du marché suisse.

https://www.ete.ch/fr/a-propos-de-nous/

Mercedes Actros MP2, la brochure

En 2002, le constructeur à l’etoile allemand dévoile l’évolution de son tracteur maxicode l’Actros. C’est encore de la motorisation Euro 3 à cette époque mais beaucoup de petites améliorations se faisaient attendre, tant sur le look extérieur qu’intérieur comme les coloris ou bien avec la planche de bord nettement plus ergonomique. Cette brochure est accompagnée de fiches techniques des modèles 1832, 1844 et 1858 (choisissez bien votre puissance, c’est trés important..), ainsi que des descriptifs techniques des cabines où au passage était proposée une version « Studio ». Encore une brochure dela collection de l’archéologue du transport Vosgien Samu88 à déguster ici ! https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/actros-mp2-et-ses-fiches-technique

Les blogs de fierdetreroutier

Comme vous le savez peut-être Skyblog va fermer ses portes le 21 août prochain. Il hebergeait un peu de tout comme style de blogs, et un certain nombre d’entre eux étaient dédiés à la passion du camion. Du camion décoré, au transports internationaux en passant par les maquettes, tous les styles étaient représentés. Une nouvelle fois, les ogres américains des réseaux sociaux sont passés par là, réduisant toujours plus la liberté du web, du vrai internet, celui du partage et de l’amitiés.
C’est pourquoi FDR propose à ceux qui voudraient continuer à blogguer, d’ouvrir un espace personnel, gratuit, qu’ils gèrent eux même. Que vous trouverez ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/les-blogs
Contactez-moi, pour l’ouverture de votre compte, et formation rapide pour vos premières publications.
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Par messenger : https://www.facebook.com/profile.php?id=100009122658708

 

Mercedes Arocs, 59 nouvelles photos

Sous le nom générique d’Arocs, Mercedes a developpée une large gamme de camions dédiés au travaux publics, convois exceptionnels. Reconnaisables à leur calandre un peu en forme de grillage. Sur la gamme Arocs, on trouve un peu toutes les cellules de la gamme Mercedes. A titre de comparaison Le Mercedes 8×4 tracteur cabine Gigaspace coute autour de 250.000 euros, c’est juste le prix qu’il faut débourser pour l’acompte d’un Bugatti Veyron. Par contre, hors de question d’y charger une poutrelle de 25t sur le toit. Mieux vaut donc un Actros pour beaucoup moins cher. Retrouvez ici 59 nouvelles photos de Mercedes Arocs. 
Merci aux spotteurs qui préfèrent l’Arocs à la Veyron : Gerard Bobenrieth, Michel Hekel, Nicolas Wyss, Samu88, José Carreras

IVECO Stralis, 55 nouvelles photos

Plus connu pour son bruit de cafetière Moulinex au démarrage, L’Iveco Stralis est apparu en 2002 pour remplacer les précédentes gammes Eurostar et Eurotech. En Euope il est fabriqué à Ulm ou Madrid. Un concessionnaire IVECO hollandais importe des cabines australiennes et assure un assemblage de cette version pour l’Europe qui est baptisée Strator. En 2007, la cabine et la chaine cinematique est modernisée et devient le Stralis II Retrouvez ici 55 photos collector ! 
Merci aux spotteurs : Carlos Mateus, Francisco, Mat Ireland, Samu88

Transports Miguel Ramon

86 photos ici :  Parti de rien en 1938, Miguel Ramon débute son activité à Sant Carles de la Rapita. Dans ces années là, Sant Carles est un petit port de pêche situé entre Tarragone et Valencia. C’est tout naturelement qu’il se dédie au transport de poisson frais qu’il livre dans les villages voisins. Dès les début des années 60, les camions de Miguel Ramon franchissent les frontières et livrent alors des fruits et légumes dans l’Europe entière. La Grande Bretagne est une de leurs destination privilégiée au point d’y avoir installé une base à Newhaven.