Les camions Thailandais

De retour de vacances en Thailande, Olive66 nous a ramené 126 images souvenirs.
Bien sûr, il ne nous a pas donné celles ou il est nu sur une plage de sable fin, celà fera l’objet d’un futur dossier.
Non, il a ramené de belles photos des camions que l’on peut croiser de ce pays grand comme la France et peuplé de quelques 70 millions de Thailandais et Thailandaises.
Si la plupart des camions sont asiatiques, on y croise également quelques calandres bien connues chez nous, et quelques camions bien bling bling qui auraient toute leur place au Castellet !
Bon visionnage, merci Olive le Catalan, et merci pour vos clics sur nos bannières !

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207 nouvelles photos DAF

Quand tu roules en DAF, t’as tendance à dire que t’as quand même du Paccar Americain sous le capot… Mais la comparaison avec les camions des truckers américains s’arrête là car tu as encore la marque de l’oreiller tellement on dort bien dans un DAF.
Voici ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/10 207 nouvelles photos qui raviront les grands, les petits, les moches et les gentils. Dans cette mise à jour, vous trouverez du très très vieux DAF, du moins vieux avec quelques EMS espagnols en space cab XF €6. Et tout ça grâce à ceux qui nous envoie leur photos : Cordoba580, Blum29, Uwe, Mich07, Samu88, Larage, Chouchen, José, Bernard !
Faites comme eux, envoyez vois photos par mail : sitefdr@gmail.com ou même messenger https://www.facebook.com/profile.php?id=100009122658708

Et bien sûr, quelques clics sur nos bannières, ça fait toujours plaisir <3

1972, le salon de saint Priest

En septembre 1972, Daniel Jonquard participe au salon de Saint Priest. Bonne humeur sur place, et de belles photos à la clé lors de l’installation et la mise en place des véhicules, des images rares et inédites.

https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1513

 

Le Mali, en long, en large avec Aly

Depuis quelques temps, Aly a delaissé un peu les voyages vers Dakar pour se recentrer sur des voyages nationaux au Mali à bord de son Mercedes qu’il entretient du mieux qu’il peut.

Voici un petit bout d’aventures, qui demarre avec un chargement d’aliments pour bétail, qu’il livre à Diema, après l’avoir chargé à Sikasso, soit 710km.
Une crevaison au bout de 600km, c’est la routine pour Aly, qui met souvent sa casquette de l’atelier de vulcanisation, c’est lui le chef d’atelier !

Arrivé à destination, le chargement est transféré directement dans un camion Mauritanie, épuisé, Aly dort sur place.

Mauvaise surprise au reveil, le « boxer d’embrayage » ne veut rien savoir, il faut vite en commander un à Bamako par courrier, après avoir transféré l’argent bien sûr, une bonne journée de perdue quand même.

Mais Aly n’est pas au bout de ses surprises, son commissionaire l’envoie charger du ciment chez Diamond cement Mali-SA une cimenterie toute récente dans la région de Kayes. Quand il arrive sur place, il y a des camions dans tous les sens, bilan, une semaine d’attente pour charger à destination de Mopti, qui est une zone de conflits en ce moment.

Il faut s’armer de patience, trouver de quoi s’occuper, mais les journées sont longues. Finalement son chargement débute le lundi tard dans la soirée, et dure toute la nuit, il ne reprend la route que le mardi à 10h, mais le température grimpe rapidement à 42°. Alors prévoyant, et n’ayant pas envie d’éclater de pneus, il stoppe attendre que la nuit tombe et la fraicheur avec pour pouvoir continuer sereinement son chemin, avec 65T de charge et des pneus de mauvaise qualité, mieux vaut être prudent. Pour sa dernière journée, au reveil, il se rend compte qu’il a quand même une roue à plat, mais mauvaise surprise, le dernier goujon tourne dans le vide.

A ce moment là, n’importe le quel d’entre nous, abandonne, mais pas Aly, qui répare sa chambre à air avec la roue encore montée sur son moyeu, système D !

Il finit par rentrer enfin chez lui le soir à Bamako profiter de quelques heures en famille.

Comme tous les routiers du monde, il met en route dimanche soir pour aller livrer son ciment à 400km de Bamako. Mais voilà, rien ne se passe jamais comme prévu, et son client ne donne pas signe de vie, ce n’est que le lendemain qu’il finit par vider avec une équipe assez professionnelle et rapide. C’est dommage car il avait un RDV prévu pour charger du bétail pour Abidjan. Le travail est dur mais pas trop mal payé. Du coup, c’est annulé, le bétail, c’est pas comme le ciment, ça n’attend pas.

Finalement, il rechargera 60T de mil pour le nord Mali à Mopti sur les bords du Niger, en croisant les doigts pour avoir un voyage de bétail pour Abidjan un de ces jours !