Les transports Denis Kuchly

34 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/denis-kuchly Depuis l’achat de sa première moissonneuse-batteuse, en Moselle, en 1980, Denis Kuchly a fait émerger un leader français sur un marché de niche porteur. Le Groupe Denis Kuchly a deux activités principales aux saisonnalités complémentaires : les travaux agricoles (transport de matières agricoles, du champ à l’usine) et le transport de matières sèches et liquides (engrais…). Ses clients sont essentiellement des multinationales et des grandes coopératives.

DAF XG, XG+, 144 nouvelles photos

On sort la grosse cavalerie aujourd’hui avec 144 nouvelles photos de DAF XG et encore mieux, le graal, les XG+ en attendant un jour peut-être le XG² ! Car D’après le théorème de Pythagore : XG² = GR² + XR². Je sais, c’est fou, ils savent compter chez DAF. 144 photos, 24 398 009 octets en tout, trié par pays, par transporteurs et envoyées par Gerard Bobenrieth, Jose Capapey, Georges Saulce, Gilles Pluet, Mich07, Ruben Soria, Sercan Gavaz, le tout en un clic ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/xg-xg

Les transports Heisterkamp

70 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/heisterkamp Un garçon de 16 ans est assis sur une charrette tirée par un cheval. Il se rend d’Enschede à sa ville natale, Ootmarsum. Il s’agit d’Antoon Heisterkamp, ​​qui vient de récupérer une cargaison de fûts de bière à la brasserie De Klok d’Enschede. Dans le hangar derrière la maison parentale à Ootmarsum, se trouve une installation de tirage au robinet grâce à laquelle Antoon embouteille le contenu des fûts dans des bouteilles à bouchon mécanique. Il assure lui-même la livraison, sur sa charrette tirée par un cheval.

Antoon est de plus en plus souvent sollicité pour transporter des marchandises à destination ou en provenance d’Enschede. En 1922, Antoon décide de franchir le pas et achète un camion. À cette époque, le choix est encore limité ; il s’agit d’une Ford. Au milieu des années 1920, le transport est encore une activité secondaire ; Heisterkamp est avant tout un négociant en

alcool. Mais c’est une activité secondaire lucrative et une source de chiffre d’affaires bienvenue en période de ralentissement du commerce de l’alcool. En tant qu’entrepreneur, Antoon voit de nombreuses opportunités de croissance dans le transport routier. Après tout, Twente était encore largement « sans voiture » ​​à cette époque. Antoon parvient rapidement à élargir sa clientèle. Le germe d’un développement ultérieur du commerce de boissons alcoolisées et d’un service de transport régulier est semé.

Durant

la Seconde Guerre mondiale, la poursuite de l’activité devint plus difficile. Bien que la Wehrmacht confirme dans une « Bescheinigung » que Heisterkamp pouvait poursuivre ses activités, cela n’empêcha pas les Allemands de réquisitionner la première voiture, puis le cheval restant. Heureusement, le maire d’Ootmarsum décida d’intervenir et Antoon obtint à nouveau une charrette, indispensable à sa profession.

Au début des années 1950, il y a à nouveau de la place pour un employé : un chauffeur. Le secteur de l’hôtellerie-restauration commence également à se redresser lentement, ce qui a un impact positif sur le commerce des boissons alcoolisées.

En 1961, la première voiture diesel, une DAF, est achetée. Heisterkamp investit également dans la construction : au début des années 1960, un entrepôt frigorifique pour boissons est construit en face de l’immeuble. Entre-temps, les fils d’Antoon, Gerhard et Bennie Heisterkamp, ​​travaillent également pour l’entreprise.

Heisterkamp jouit désormais d’une excellente réputation en tant qu’entreprise de transport. Les permis de conduire à l’étranger nécessitent un investissement conséquent. Au milieu des années 70, Heisterkamp décide d’investir dans ces permis pour pouvoir circuler à l’international. Ce fut une bonne décision : les voyages en Scandinavie sont un franc succès.

Au début des années 1980, Heisterkamp fait un choix important pour son activité Transport : l’entreprise se concentre désormais exclusivement sur le transport routier de remorques. Heisterkamp assure le transport ; le client est responsable de la cargaison. Bennie Heisterkamp propose une solution aux clients ne possédant pas de remorque : ils peuvent en louer une auprès de Heisterkamp.

Au début des années 1980, Heisterkamp Transport s’installe à Oldenzaal, tandis que le commerce de boissons alcoolisées reste à Ootmarsum. Sous la direction de Bennie Heisterkamp, ​​Heisterkamp Oldenzaal poursuit sa croissance et, grâce à ses activités continues à Travemünde, ouvre également une succursale à cette même ville.

Entre-temps, l’activité liée aux remorques s’est également développée et, à la fin des années 1980, le département de location a été créé. Heisterkamp les livre soigneusement à destination. Pour mieux anticiper cette évolution, des dépôts ont été créés aux niveaux national et international.

Au début des années 1990, Heisterkamp déménage vers ses locaux actuels, situés à Hanzepoort, à Oldenzaal. Ce déménagement marque le début d’une croissance continue. Au début des années 2000, Gerben Heisterkamp, ​​le fils de Bennie, rejoint l’entreprise. Il en prend ensuite la direction au cours des années suivantes.

En 2000, l’activité de ce qui est aujourd’hui la plus grande entreprise de transport routier d’Europe est en plein essor. Heisterkamp entre dans le nouveau siècle avec plus de 400 camions et plus de 600 employés très engagés et motivés. En trois ans, le nombre de camions atteint 550 (et 500 remorques) et approche le millier d’employés. Heisterkamp entre ainsi dans le top 3 des entreprises à la croissance la plus rapide aux Pays-Bas et devient même le numéro 1 européen incontesté en termes de croissance dans le secteur du transport.

La mondialisation croissante confirme l’idée que le moment est venu de se développer à l’international. D’autres succursales en Europe suivent. Mais Gerben est également conscient que l’entreprise doit s’appuyer sur des bases solides pour poursuivre sa croissance et répartir les risques de manière optimale. Outre la professionnalisation de la location de remorques, de nouvelles unités commerciales fleurissent sous sa direction : en 2005, Heisterkamp Fleet Rental BV et Heisterkamp Trailer Service BV. Jusque-là, tout relevait de Truckservice. Heisterkamp Trailer Service GmbH voit le jour en 2006, année où l’entreprise franchit une nouvelle étape avec son millième camion. En 2008, Heisterkamp Used Trucks est fondée.

Après la crise économique de 2009, Heisterkamp se remet rapidement de ces années difficiles. Entre-temps, années de crise ou non, les bureaux internationaux se succèdent. L’expansion européenne se poursuit avec l’ouverture de bureaux à Riga (Lettonie) en 2011 et à

Cluj-Napoca (Roumanie) en 2015. La même année, une autre succursale allemande ouvre à Hamm, d’où sont principalement transportées des denrées alimentaires.

Une belle reconnaissance suit en 2015, 2016 et 2017, lorsque Heisterkamp Transportation Solutions obtient le titre de « Meilleure entreprise gérée ». ING et Deloitte la désignent comme l’une des entreprises les mieux gérées du secteur néerlandais des moyennes et grandes entreprises. Les critères d’évaluation incluent la stratégie, les opérations, l’innovation et les résultats financiers. Point tout aussi important : malgré sa taille, l’esprit chaleureux caractéristique d’une entreprise familiale Twents a été préservé.

En 2019, Heisterkamp a fêté son 100e anniversaire, un événement qu’Antoon Heisterkamp n’aurait jamais imaginé. L’entreprise, fondée sur des chevaux et des charrettes, compte aujourd’hui environ 1 500 employés, 5 000 remorques et plus de 750 camions.

Les transports Westermann/Wheels

90 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/westermann-wheels
L’entreprise a été fondée en 1962. L’ensemble des services logistiques du groupe Westermann (Westmax, Wheels Road Rail, maxlog et van Ewijk) ont été regroupés en 2009 sous le groupe Wheels Logistik. Un témoignage de Jorge, qui y a travaillé :

-« En juin 1996, aprés avoir quitté la boite qui m’a permis de decouvrir les joies d’être chauffeur routier longue distance, j’ai embauché chez un petit transporteur qui faisaitt du service pour le groupe allemand Westermann. Ce groupe etait l’operateur logistique chez VW et assurait le transport routier entre les fournisseurs de pièces en europe, et l’usine toute neuve et à peine en début de production, Autoeuropa à Palmela, Portugal. Mon nouveau patron m’embauche donc pour conduire un camion remorque appartenant à Westermann et immatriculé en Allemagne. Le contrat etait de faire la navette entre les lieux de production du groupe VW et/ou de son partenaire Ford en europe pour fournir l’usine au Portugal ou etait assemblées les VW Sharan, Seat Alhambra et Ford Galaxy. Cela donnait des voyages de 1 semaine à peu prés. Le salaire etait bien sûr portugais! Le camion je l’ai reçu de son chauffeur allemand qui partait à la retraite. On a fait le voyage ensemble du Portugal jusqu’à Münster en Allemagne, siège du groupe Westermann. Je me souviens qu’il ne gardait pas rancune d’être remplacé par un portugais au salaire sans doute plus bas. Au fait Westermann se debarrassait aussi de ses camions et celui là etait un des 11 derniers et tous finiraient pas être conduits par des etrangers. Remarque, le camion restait au domicile du chauffeur, donc pour moi, la seule curiosité etait que je conduisais un camion à plaque d’immatriculation allemande, le reste c’etait simplement un boulot de chauffeur routier portugais. Erreur!!! Les deux 1ers voyages j’ai bien fait la navette entre Salzgitter (VW), Genk (Ford), Charleville Mézières (Ford), Daghenam (Ford – UK), Koln (VW) et Palmela. Pas dans cet ordre et pas tous dans le même voyage.. Mais les semaines suivantes, ils me planquaient à faire du regional en Allemagne ou alors entre Allemagne et Luxembourg ou Benelux et rien à voir avec les pièces VW/Ford… la 1ere fois où je l’ai dit à mon boss, il m’a répondu que c’etait pas du tout ce qui etait prévu avec les allemands et que j’etais libre de faire ce que voulais. Les allemands se sont justifié en disant que c’etait un cas isolé. Jusqu’au voyage suivant… Au dernier voyage et aprés 3 jours de regional en Allemagne, j’appelle mon boss et je lui dis que je rends le camion chez eux à Múnster et que je rentre au Portugal par avion! Il me donne son accord… Ils finissent par me donner un retour de Salzgitter pour Palmela le jour même. Arrivé au Portugal avec camion vide et mes affaires à la maison, je leur rend le camion à leur bureau de l’usine Autoeuropa. Ils ne cherchent pas à comprendre.. C’est un « bonjour et au revoir ».. sans plus. Le camion est repris dès le lendemain par 2 chauffeurs qui partiront en double. Comme je disais plus haut, je conduisais un des onze derniers camions à eux. Je sais qu’un autre etait conduit par un equipage portugais, mari et femme et j’ai rencontré une fois un des autres 9 camions conduit par un roumain, oui déjà à l’epoque.. J’ai donc gouté un peu à ça pendant un peu plus de 2 mois au tout début du recours à la main d’oeuvre low cost dans le transport routier, detenu pas les grands groupes. J’ai dit non, comme je le dirais aujourd’hui car, citant un collègue brésilien qui est retourné dans son pays: « Si c’est pour être esclave, autant l’être chez moi. »

Volvo FH4, 162 nouvelles photos

On revise les classiques, avec une grosse mise à jour de Volvo FH4, 162 photos, du basique, collector, mais pas encore. Nul doute que ça viendra un jour ! Des photos envoyées par David Houche, Carlos Mateus, Yvan Rey, Pierre Eric, Mich07, Gerard Bobenrieth, Gilles Pluet, Yaya, Jean Michel Bonnet. Le tout trié par pays par constructeurs ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/fh-phase-4

La parenthèse enchantée, sur les bords de l’adriatique avec Samu88

Une parenthèse enchantée cette semaine avec Samu88. On visite un peu la côte adriatique italienne, clients sympas, bon restos et environ 0 degré de magnitude sur l’échelle richter du stress. Le tout avec de bonnes photos et de bon commentaires comme toujours ! C’est en ligne direct ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/au-fil-des-semaines

Les transports Perrier

79 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/perrier
Les parents de Gérard PERRIER, sont les propriétaires d’un commerce de vin A la sortie de la guerre en 1945 il s’achète son premier camion et il devient leur transporteur naturel.
Deux ans plus tard il embauche son premier salarié.
Le fret transporté évolue : bétail, bois, articles de tournerie et matériel de construction.
En 1963 : Installation dans les nouveaux locaux, situés route d’Arinthod à ORGELET.

Les produits finis dérivés du plastique tendent à remplacer les matières pondéreuses transportées jusqu’alors.
En 1973 : Le premier fils, Jean-Noël, vient seconder son père.
A l’aube de la crise pétrolière, les premiers véhicules  » Grand Volume  » font leur apparition. Ce sont des semi-remorques de 83 mètres cubes surbaissées.

Le premier véhicule du type  » Camion-Remorque  » est intégré au parc en 1983
Les recherches du PDG Gérard PERRIER aboutissent à une innovation très importante, à savoir la construction, en relation avec un carrossier local, du premier  » dôme couchette  » sur cabine courte. Celà permet alors d’offrir à ses clients un volume utile de 107 mètres cubes et une longueur de plancher de 14.68 mètres.
En 1983 : François-Joseph, second fils de Gérard, intègre l’équipe dirigeante.

En 1986 l’entreprise s’installe sur un terrain d’un hectare en Zone Industrielle d’ORGELET, 1000 mètres carrés de bureaux, ateliers et garage suivi deux plus tard d’un deuxième bâtiment de 800 mètres carrés, destinés au stockage et à la distribution de produits finis et matières plastiques.
En 1989 : dernière innovation de la Société : mise au point, d’un  » Camion-Remorque  » offrant 125 mètres cubes utiles et 2 planchers (dont un mobile), permettant un chargement optimum (d’où le nom du véhicule OPTIMUM VOLUME) ; palettes et vrac ou deux rangs de palettes non gerbables.

En 1993 les transports Perrier disposent alors de 3000 mètres carrés couverts pour le stockage des marchandises, et de 30 ensembles routiers. Le développement de l’activité à l’exportation donne un second élan à l’entreprise.
La moitié de son volume d’affaires est réalisé vers l’Europe. Dès 1994 ils lancent un service régulier sur la Grande-Bretagne avec un correspondant sur BIRMINGHAM (WEST MIDLANDS).
Notre flotte de véhicules est composée de 38 ensembles routiers. L’entreprise fête ses 50 ans d’existance en 1995 et compte 50 ensembles routiers. Ils ouvrent une agence PERRIER Nord à BERBIERES (62) qui dispose de 5 véhicules et d’un entrepôt de 800 mètres carrés. L’année suivante elle intégre le groupement de transporteurs : France Lots Organisation (F.L.O.) : ceci permet à la société d’être présente à la Semaine Internationale du Transport et de la Logistique (S.I.T.L.) et d’offrir à sa clientèle un service plus complet. La surface de stockage et transit est portée à 7500 mètres carrés dont 6500 mètres carrés à Orgelet avec quais et gestion des stocks informatisée.
Une nouvelle société est créée en Grande-Bretagne  » LOGISTIQUE SERVICE « . Elle assure la distribution et le rechargement des camions vers la France.
L’ activité logistique se développe grâce aux 8000 m² d’entrepôts dont ils disposent à Orgelet (39) et Seclin (59), nouvelle implantation de notre agence  » PERRIER Nord « .

Le développement des activités vers la Grande-Bretagne (3 000 voyages par an) les conduit à créer une filiale Britannique  » Transports PERRIER UK LTD  » opérationnelle en début d’année 1999. Cette structure reprend l’activité du correspondant  » Logistique Service « .
En 1999 les transports Perrier ouvrent l’agence  » PERRIER EST  » basée à Epinal (88). La même année
 » PERRIER NORD  » déménage pour s’implanter définitivement en zone industrielle à Liévin (62), toute proche d’une sortie d’autoroute Calais / Paris. Le site (10 000 m² / 2 500 m² couverts), clos, permet d’envisager des développements pour la division logistique et renforce les activités de distribution entre le Royaume-Uni et la France.
Ouverture également de l’agence  » PERRIER RHONE-ALPES  » à Saint Pierre de Chandieu (69). Dans la foulée ouverture de l’agence  » PERRIER MEDITERRANEE  » à Plan d’Orgon (13),  » PERRIER AQUITAINE  » à Carbon Blanc (33).
En 2008 les transports Perrier sont repris par Sobotram. Puis passe sous le giron Geodis, ne restent plus que les agences de Courlaoux, Noves, Seches sur le Loir, Lievin, Luneville et Perrigny.

Scania série 4, 70 nouvelles photos

Envie de brutalité ? Ras le bol des camions sans ame !? On a ce qu’il vous faut pour se remettre un peu avec une série de 70 photos de Scania série 4. Pas que du camion tuning d’aujourd’hui, du vrai série 4 ! Des photos envoyées par Gerard Bobenrieth, Sebastien Valentin, Ruben Soria, Mich07, Frederic Mallet, José Capapey, Silvère Sigoillot, Gilles Pluet. Les photos triées par pays par transporteurs ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/scania-serie-4

Les transports TMF Freydier

38 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/tmf-freydier En 1983, fondation de l’entreprise par Maurice Freydier. L’entreprise lance son activité de location avec conducteur auprès d’un seul client historique. Rapidement, elle se diversifie en s’ouvrant au transport public de marchandise et se positionne comme un acteur significatif sur le segment de marché spécifique du Transport en Plateau. En 1990, son fils aîné Fabrice Freydier rejoint l’entreprise, puis en 1992, il reprend le flambeau, et devient gérant de la société TMF. En 1995, Alexandre Freydier, deuxième fils, rentre à son tour dans la société pour compléter l’équipe. En 2018, Jessy, fils ainé d’Alexandre Freydier, rentre à son tour dans l’entreprise pour dynamiser la société. Depuis la a société ne cesse de se diversifier et de progresser.

Les transports Denoual

31 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/denoual Les transports Denoual ont été crées en 1974 par Christian Denoual et son épouse. 1985 marque un tournant avec le déménagement de la société, dont l’unique bureau était encore dans le sous-sol de la maison familiale vers Ia zone artisanale de Lamboux à Elven. A cette époque, les départs de Bretagne sont constitués à 60% de chargements d’œufs en caisses à destination du Nord de la France, de la Belgique, de l’Italie et surtout vers le client « Val de Seille » à Louhans 71. C’est l’époque où après une matinée passée à livrer des clients en Bretagne, il fallait charger à la main 800 à 900 caisses d’oeufs (1 caisse pesait 20 kg) dans des semi la plupart du temps bâchées (les fameuses savoyardes) pour fermer les portes avant d’entamer les 800 kilomètres qui séparaient la Bretagne de Louhans où enfin on pouvait se poser pour quelques heures et prendre une bonne douche. Avec 2 camions à recharger tous les jours à Louhans 71, l’entreprise a rapidement eu besoin d’un pied-à-terre en Bourgogne. En 1987, ils se sont installés à Dijon en zone nord avenue de Dallas, en face de ce qui est devenu IKEA. Cet ancrage à Dijon marque un nouvel élan pour l’entreprise car il leur permet de développer leur propre clientèle bourguignonne mais aussi de proposer aux industriels bretons un service très spécialisé de groupages alimentaires BRETAGNE/BOURGOGNE dans d’autres domaines que les œufs (primeurs, surgelés, gâteaux, conserves, frais…). En parallèle de cette activité, trois clients principaux assurent à l’époque leurs revenus, la société ISOL BRETAGNE qui deviendra KNAUF OUEST pour laquelle ils investissent dans des camions remorques grands volumes, la societé QLBV pour laquelle ils livrent des palettes de matériaux sur les chantiers de la Région Parisienne avec un des premiers « KOOI • (chariot élévateur embarqué) livrés en France et la société LAMBERET qui leur confie les transports entre ses 2 usines de Macon 71 et Vannes 56 ainsi que la livraison de ses semi neuves aux 4 coins de l’Europe (ANGLETERRE, ALLEMAGNE, ESPAGNE, COLOGNE, ITALIE…). 1992, c’est le début de l’aventure ASTRE, ils font partie des vingt premiers transporteurs à avoir créé cette association. 1993, c’est le début de l’aventure Coca cola. En 1998, l’activité connait un boum avec l’arrivée du trafic AMORA. Ils lancent alors la construction de la plate-forme de Chevigny Saint-Sauveur qui sera opérationnelle en 1999. (10 000 m2 de terrain, 1000 m² d’entrepôt, 200 m² de bureaux, 7 quais, 1 dortoir, 1aire de lavage). En Bretagne, ces années sont marquées par une intensification de leur présence sur les marchés des produits frais et surgelés. Le développement en 1999 et 2003 se fait essentiellement dans la température dirigée, ils décident de lancer un investissement conséquent dans une plateforme frais et surgelés sur le dite d’Elven. En 2004, ils mettent en place une nouvelle ligne de groupage de primeurs entre la Bretagne et Rhone Alpes et ouvrent un site à Macon chez un nos confrères Astriens. En 2005/2006, Christian Denoual quitte ses fonctions de direction et passe le relais à Regis Denoual, Pierrick Denoual et Philippe Chalencon.