Aly, l’exploit au quotidien !

Avec Aly, c’est l’exploit au quotidien ! Là ou 99% des routierseuropéens jeteraient l’éponge, Aly avec son Mercedes SK fais son bonhomme de chemin, et du fin fond de l’Afrique raconte ça sur son blog, en direct live ou presque : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/aly-le-routier-de-l-extreme  Vous aussi, faites votre blog avec FDR ! On vous attend !

Fiers d’être routiers avec le CCRPCI

Las d’être toujours pointés du doigt, les routiers Ivoiriens s’organisent.

N’golo LACINA DIARRA crée en fevrier 2020 le CCRPCI ( Collectif des Conducteurs Routier Professionnel de Côte d’Ivoire).

le président N’golo LACINA DIARRA en t-shirt gris et le mederateur du groupe WATTSAP MR MONOKO FABRICE

Son but valoriser le métier de routier.  Et on part de loin en Côte d’Ivoire. Le CCRPI demande l’existence d’un contrat de travail signé entre les employeurs et les chauffeurs avec un salaire favorable et être déclaré à la caisse de prévoyance sociale. Former les chauffeurs routiers en les apprenant leurs droits et devoirs pour avoir une bonne réputation durant sa carrière.

Assister socialement les confrères et leurs familles en cas de besoin à partir d’un fond mise en place par le CCRPCI… les invalides victimes d’accidents de la route, les familles des décèdés.

Le CCRPCI lutte aussi pour que chaque chauffeurs routiers puisse avoir un toît, organise des collectes de don du sang, forme et sensibilise les conducteur dans tous les domaines.

Forts de 400 membres au prix de 3000 cfa par mois, le CCRPCI a de grandes ambitions pour redorer et proteger les professionnels de la route.

Rejoignez le CCRPCI : https://www.facebook.com/groups/1900953156749346

Quelques membres :

 

Mali – Côte d’Ivoire

Après avoir déchargé un voyage de sacs de mil à Mopti, le 7 je suis enfin selectioné pour un chargement de bétail. Mais le lendemain il refuse mon camion parce qu’il est vieux !

Après le refus de client… J’étais un peu amer donc je suis aller acheté quelque boite de peinture instantané pour le rejeunir et ça donné cette image !!!
Et me voilà positioné au chargement avec un camion moins vieux !!!

Et tard dans la nuit…on prend la route ou roulons toute la nuit

Et après 550 km depuis Sévaré dans le nord du Mali.. Nous voilà au petit matin à la derniere ville au sud de Mali, une ville frontière avec la côte d’ivoire qui est ZEGOUA

Et ensuite Pogo première poste de contrôle de le côte d’ivoire

Aller réparti le 10/02/2019 à 17h un local..de la frontière

Et la tout va très vite puis dans la nuit… Et voilà qu’à 03h 30 du matin qu’on débarque le chargement à SiKinse une ville à 55km d’Abidjan

Et me voilà positioné le 12 fevrier dans un usine de produits d’huile de palme en export vers au Mali.

Croyant que j’allais me reposer deux jours en attente des documents voilà que le téléphone sonne…  » allô…c’est le chauffeur du AF 8398 MD…? « …tes documents sont prêts et tu sors demain matin  »

Le chargement est rapide et me voilà enfin pris le bout des 210 km d’autoroute au départ d’Abidjan juste qu’à Yamoussoukro !!!

 

Très heureux…je marque un arrêt sur l’autoroute pour un cliché souvenir, puis après 500 km.je croise un convoi qui me fait penser à ceux du nord du Mali…. le matériel français qui rentre du mali

Le plus chiant dans toute cette histoire d’huile de palme raffiné est qu’il coule sans arrêt parce-que J’en ai pris 52 tonnes et en se référant Aux engagements pris, je dois payer les pertes au déchargement !!!

Après deux jours passé à la frontière, on reprend enfin la route pour Bamako

Me voilà enfin à la livraison !!!

Après le déchargement, je me retrouve avec 80 litres manquant qui dois être prélevé sur le reliquat de transport.

Après le déchargement, le destinataire me prélève 4 bidon en manque qui dois me coûté 15.000 fcfa par bidon…mais c’est rien ça, puis que le voyage à été rapide donc je sens pas trop le coup, de plus les voyages sont payés à la tonne !
Je suis payé à la tonne…40,000 fcfa la tonne…

 

Le résumé en vidéo :

En Côte d’Ivoire avec Ju68

De retour de vacances en Côte d’Ivoire, Ju68 nous a ramené quelques clichés de là bas.
Et oui, on a pas tous la chance d’avoir de la famille sur place, et ça, Ju l’a très bien compris !
Voici donc quelques photos de beaux camions Ivoiriens, à vous de trouver les anciens propriétaires !

https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1485

 

De Man à Nouackhott

Encore un beau voyage réalisé par Aly ! 

Une bonne promenade

Un voyage qui a commencé le 10 septembre… J’espérais bien retourné avant la fin du mois de septembre, mais tout c’est passé contrairement !

Etant au mali, je suis rentré en contact avec mon client depuis cette date, et il m’a dit de descendre en Côte D’Ivoire à la hâte pour son chargement, et j’étais présent le 14 septembre à Man. J’étais très motivé au réveil de ce 14 en espérant charger et du coût tout a changé d’élan… Il m’avais promis de me charger en trois jours, mais j’ai passé 2 bonnes semaine sans avoir de nouvelles de mon chargement et ce n’es que le 02 octobre qu’un autre sur place est venu me voir et m’a dit qu’il a un Camion qui était tombé, si je pouvais allez faire le transbordement… Comme on le dis  » le malheur d’autrui peu donne du sourire au voisin  » c’était pas trop beaux , mais pas d’autre choix.. et voilà le chargement prend fin le 04 octobre.
Y a plus qu’à !
Et une fois le chargement fini, il faut maintenant attendre  que les papiers soient prêts, la je passa 4 jours… Et je prend la route 9 octobre a 4h du matin… Sur une route de jeux de dame ou la patience est recommandée, la je suis arrivé à la frontière de la la côte d’Ivoire/ Mali le 27 octobre ou je passe encore une semaine pour remplir les formalités et attendre encore 4 Camions qui transportent le même produit que moi pour en faire un convoi pour traverser le mali juste qu’a la frontière de la Mauritanie, je veux dire  » Zegoua » ville frontière RCI/Mali juste qu’a « GOGUI » ville frontière MALI/RIM….c’est une loi douanière qui nous oblige a attendre. Et le 03 septembre 22h 30 ils nous libèrent allez sur Bamako… Et moi, mon merci 3535 a tourné toute la nuit pour 450 km…
Une fois a Bamako, ils nous laisse tout le temps pour faire l’entretien de nos chien se chasse…. Moi je fais changé deux pneus, 2 turbos, les coussinés de bielles et palmiers et deux fitres a air …..
Et je reprend la route la 15 octobre a 22h, c’est l’heure à la quelle où les camions peuvent traverser la ville de Bamako…là c’est pour une distance de 1500 km de Bamako a Nouakchott après 1300 km de la RCI a Bamako…. Passer 4 pour jour pour 350 km, nous voilà a un poste de contrôle douanière au Mali où les douaniers était en grève pour leur sacré conditions de travaille… Là encore on passe 4 jours et prend fin le 24 octobre a 00h vu le nombre de camion voulant franchir cette barrière, donc moi j’ai la traverser a 04h du matin et cap sur la frontière Mauritanie/Mali le 26 octobre a 13 h
où toute nationalité se retrouve, marocain, Mauritaniens et maliens sont au rendez-vous, la tout se se passe très vite…pas plus de 2 heure d’attente et 240 km faite en’ territoire mauritanien pour arrivé douane Mauritanien le 29 octobre a 02 h du matin…où tout dois prendre fin comme formalité et après….allô allô mon client
Sous un soleil de 45 ° !!!!