Les choses évoluent à vitesse grand V dans le transport, etce document pourtant récent est déjà dépassé, puisqu’aujourd’hui, les entreprises recrutent au Pakistan, au Sri Lanka, alors à qui le tour ?
L’Ukraine du début des années 2000
Au début des années 2000, Jaka a réalisé une belle traversée d’Ukraine. Le pays alors en pleine mutation porte encore la marque de l’ex URSS.
Des photos collector alors que la pays connait des heures sombres aujourd’hui.
Cliquez ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9572

Aidez les chauffeurs routiers ukrainiens en détresse (en Belgique)
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Numéro d’urgence pour les chauffeurs routiers ukrainiens en détresse :
+32 2 / 421 10 55
Jette, le 1er mars 2022 –
Les chauffeurs routiers sur les routes belges qui ont perdu le contact avec leur base d’origine en raison du conflit en Ukraine et qui risquent donc de manquer d’argent ou même de nourriture peuvent s’adresser au Fonds social Transport et Logistique (FSTL). Nous ne laisserons pas nos collègues sur le carreau », déclare Geert Heylen de la FSTL.
Nous appelons donc tout le monde – chauffeurs routiers et citoyens – à transmettre le numéro d’urgence +32 2/421.10.55 aux chauffeurs en détresse, ou à nous contacter eux-mêmes pour signaler les personnes dans le besoin.
Il y a pas mal de conducteurs ukrainiens sur les routes belges. En raison de la guerre dans leur propre pays, ils sont souvent livrés à eux-mêmes et, dans certains cas, ils sont vraiment dans le besoin. « Les conducteurs qui ne peuvent plus retirer d’argent, qui n’ont pas d’hébergement ou même de nourriture, nous voulons les aider », déclare Geert Heylen du FSTL. « Il n’est pas toujours facile de les contacter.
C’est pourquoi nous avons mis en place un numéro d’urgence et demandons aux conducteurs belges et aux autres conducteurs de rester vigilants. Les citoyens peuvent également apporter leur aide. S’ils voient un camion stationné au même endroit pendant une longue période, ils peuvent transmettre le numéro d’urgence ou le signaler eux-mêmes via ce numéro. »
Le FSTL demande de faire attention aux camions portant une plaque d’immatriculation ukrainienne (UA), mais aussi russe (RUS) ou biélorusse (BY). « Ces personnes sont maintenant victimes de la folie d’un seul homme. Nous voulons aussi les aider. Après tout, de nombreux Russes n’ont nulle part où retirer de l’argent », explique M. Heylen. « Nous ne voulons vraiment pas que les chauffeurs doivent passer des semaines entières à essayer de survivre dans leur cabine, sans nourriture ni boisson et/ou sans possibilité de se laver. Après tout, nous supposons que de nombreuses entreprises de transport du bloc de l’Est préfèrent que les camions restent ici, afin entre autres de ne pas être saisis. Les conducteurs sont de toute façon des victimes et nous voulons chercher une solution pour chacun d’entre eux. »
A propos du Fonds social Transport et logistique
Le Fonds Social Transport et Logistique (SFTL) est une organisation sectorielle neutre qui garantit la sécurité d’existence pour les entreprises du secteur du transport routier et de la logistique.
Le conseil d’administration du Fonds social pour le transport et la logistique comprend les fédérations d’employeurs et les syndicats.
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Номер екстреної допомоги для українських водіїв вантажівок, які постраждали:
+32 2 / 421 10 55
Джетт, 1 березня 2022 р. –
Водії вантажівок на бельгійських дорогах, які втратили зв’язок зі своєю базою через конфлікт в Україні, а тому ризикують залишитися без грошей чи навіть їжі, можуть звернутися до Соціального фонду транспорту та логістики (FSTL). Ми не залишимо наших колег позаду», – каже Герт Хейлен з FSTL.
Тому ми закликаємо всіх – водіїв вантажівок та громадян – переадресовувати номер екстреної допомоги +32 2/421.10.55 водіям, які потрапили у біду, або самі звертатися до нас, щоб повідомити тих, хто цього потребує.
На бельгійських дорогах чимало українських водіїв. Через війну у власній країні вони часто бувають самі по собі, а в деяких випадках дійсно потребують. «Водії, які більше не можуть зняти гроші, не мають житла чи навіть їжі, ми хочемо їм допомогти», – каже Герт Хейлен з FSTL. «З ними не завжди легко зв’язатися.
Ось чому ми створили номер екстреної допомоги та просимо бельгійських водіїв та інших водіїв бути пильними. Допомогти можуть і громадяни. Якщо вони бачать вантажівку, яка стоїть на одному місці протягом тривалого часу, вони можуть передати номер екстреної допомоги або самі повідомити про це за цим номером».
FSTL просить звернути увагу на вантажівки з українськими (UA), а також російськими (RUS) або білоруськими (BY) номерами. « Ці люди зараз стали жертвами божевілля однієї людини. Ми також хочемо їм допомогти. Адже багатьом росіянам ніде зняти гроші », – каже Хейлен. «Ми дійсно не хочемо, щоб водіям доводилося проводити цілі тижні, намагаючись вижити в своїх таксі, без їжі чи напоїв і/або без можливості помитися. Зрештою, ми підозрюємо, що багато транспортних компаній блоку «Я віддаю перевагу цьому вантажівки залишаються тут, серед іншого, щоб їх не схопили. Водії все одно є жертвами, і ми хочемо знайти рішення для кожного з них».
Про соціальний фонд «Транспорт і логістика».
Соціальний фонд транспорту та логістики (SFTL) є нейтральною галузевою організацією, яка гарантує безпеку існування компаній у секторі автомобільного транспорту та логістики.
До складу правління Соціального фонду транспорту та логістики входять федерації роботодавців і профспілки.
Les camions d’Ukraine par Titisimiki
En Azerbadjan avec les Bardy
Cette fois, nous sommes partis direction l’Azerbaidjan. Allez hop, on sort la carte du monde, histoire de bien visualiser, où est-ce que ça se trouve? Et c’est parti ! Ce qui est moins sympa c’est qu’avec les animaux on n’a pas le droit de transiter ni par la Russie ni par la Turquie, du coup on a fait Pologne, Ukraine, là, on a pris le bateau pour 3 jours normalement qui se sont transformés en 4 jours car il n’y avait pas de place au port. Ensuite, on a débarqué en Géorgie qu’on a traversé pour aller en Azerbaïdjan. On a vidé à Gandja c’est à 170kms de la frontière.
C’est toujours difficile de se faire une idée sur un pays en y étant allé qu’une seule fois, mais là, franchement, mauvaise premiere impression. Les policiers d’abord evidemment, beaucoup de corruption, un de nos collègue a payé trés cher une veilleuse grillée, on a payé 5 dollars car le goudron était neuf (c’est la raison qu’il nous ont trouvé)… et ça pendant 170 km. Aprés, arrivés à la ferme, les gens n’etaient pas plus heureux que ça de nous voir arriver (un soir ils ont même appelé les flics car ils trouvaient qu’on faisait trop de bruit), pour la douche on a du la prendre dans la remorque en faisant chauffer l’eau de nos cuves (-3 dehors)… Bref comme si on avait vidé en Italie.
Mais par contre la Géorgie on a adoré, trés bonne première impression, on s’est fait arréter par des policiers mais simplement par curiosité de voir une femme française transporter des animaux, on a essayé de se comprendre (pas simple) ça a duré 5 minutes c’etait rigolo ! Faut juste faire attention aux vaches, chevaux et mouton et meme les dindes qui trainent sur les bords de routes. Sur le bateau, on a eu le droit à tout, neige, grele et pluie, c’etait sympa pour donner à manger aux betes…
Le retour s’est fait par la Turquie où l’on a trouvé une vraie douche, toujours un vrai plaisir de traverser ce pays avec ses belles routes et ces gens si gentils. Pour exemple, le jour où l’on a pris la douche, on était nombreux donc on attendait dehors et le serveur arrive avec 3 thés, on lui dit que ce n’est pas pour nous mais pour les gens a coté, et ces gens là nous ont tout de suite proposé de nous en offrir un aussi. C’est sur que ce n’etait qu’un thé mais en France ca ne se verrait pas ça, et moi la premiere, je n’offrirais pas un café à quelqu’un que je ne connais pas.
Pour conclure, c’etait encore un super beau voyage, une destination qui fait rêver, on a adoré encore et toujours et on a vraiment beaucoup de chance de pouvoir faire encore de belles balades.
Paillage avant de partir :
Frontière Pologne/Ukraine :
Sur la route en Ukraine :
Odessa – Batoumi :
En Georgie :
Frontière Georgie – Azerbadjan :
Sur la route en Azerbadjan :
Gandja, terminus !

Gandja – Tbilissi :
Tbilissi :
Retour par la Turquie :
Quelques tampons souvenir !