Carnet de bord de Mars 2015 | Partager sur Facebook |
Ce matin, c'est NO WAY ! Aucun obstacle ne doit se dresser devant moi, et surtout pas un reveil donc je suis debout avant lui ce qui est peu habituel, ça se voit qu'on est vendredi diront les mauvaises langues et ce, à juste titre. Il est 1h40 quand je quitte mon super parking et un petit -1°. Personne sur l'A31, c'est l'avantage je surveille juste une chose, le gas-oil, je pensais avoir assez jusqu'à Villefranche, mais non, ça ira pas ou alors c'est risqué et j'aime pas faire mumuse avec la jauge donc, je balance 100L à la BP à halon sur l'A6, on se sent pas pris pour une merde dans ce genre de station, c'est agréable de se contorstionner pour taper le code dans une sorte de tiroir ou on voit rien, le pompiste lui il s'en fout, il est derrière sa vitre. Et dire que la nuit passée à Munster je trempais un Donut dans mon café... A 5h je me radine chez Alloinnnnnnnnnn, quai26 ok !? OK. Bon le quai 26 est pris faut aller trouver un responsable qui appelle le chef qui me dit 43, va pour le 43, c'est un bon chiffre aussi. Mais quelle surprise de m'entendre dire qu'ils videront quand ils auront le temps. Je me suis mis un peu en colère, marre d'être pris pour un con, faut pas charier moi ça m'amuse pas de me lever à minuit pour qu'on me fasse attendre, d'autant que les palettes sont toutes au sol, y a rien a degerber, zob ! Dans la foulée on m'envoie deux jeunes qui ont speedé et je leur ai payé le café, ils étaient bien ravi les ptits.
De là, je file à Bourg en Bresse, à Peronnas exactement, comme il est tôt je debarque une heure avant l'ouverture du CAT, mais au moins, j'ai évité l'heure de pointe de Bourg en Bresse, 4 palettes pour Narbonne, je complète sur Mâcon 11 palettes de compteurs d'eau, j'ai été on, je suis passé devant à 4h du matin, en forçant un peu j'aurai pu les prendre... Bon, RAS ici, si ce n'est que la commande est pas prête, je pars juste avec ce qui est prêt, soit 8 palettes, le BL est fait en 2 minutes, venga. La dernière ramasse de la semaine, c'est à Reventin, ici il y a toutes les nationalités sauf françaises faut être honnète ! Y a bien un roumain, qui a tenté de me gratter mon tour, mais non non non, pas moyen, même le chef de quai l'a fait ripper du quai. Pas content le gars, mais moi oui. Retour à Jarcieu City, je vide tout le merdier pendant qu'Arthur fait le con pour changer. Je pose le frigo et j'échappe de peu à un plateau, finalement ça sera les rugbymens avec des enormes rouleaux de cahoutchouc pour le 13. Fabrice est sur la piste de lavage, mais c'est un rapide, pas du genre à la squatter 2h, j'ai donc montre en main 10 minutes pour effacer mon séjour suédois de la carrosserie, qquand je pars je croise Ray, pas le temps de se rouler des pelles, je rentre à St Peray, tout shuss à 16h30... Pfuhhh juste juste !