Carnet de bord de Mars 2018 | Partager sur Facebook |
Pas de miracle ce matin, au démarrage, le camion délivre toujours le même message, problème d'injection. En attendant que Volvo Valence se reveille on a tout loisir de visiter la superbe salle de bain de chez le client, c'est chauffé, y a de l'eau chaude que demander de plus ? Un chorizo frito peut-être ? Dès 8h, j'ai Super Cedric au téléphone a qui je raconte mes malheurs, la viste du Cabo San Vincente sous la tempête, les soirées au restaurant pour degustation de la gastronomie portugaises et certaines subtilités du code de la route surtout quand on est pietons, et puis aussi un peu de mon code erreur en catégorie EMS, le P020213. Quelques minutes plus tard, le temps qu'il se remette de mes palpitantes aventures et qu'il raconte son pauvre week-end à ses copains, il me donne la solution (pour voir) qui consiste à l'aide d'une clé facom de 10 plate de demonter le pont qui relie les 2 batteries 3 ou 4 voire 5 minutes.
Effectivement, ça marche. Bravo Super Cedric. Le camion ronronne normalement, même si je m'attends à chaque seconde à entendre le bruit du signal d'erreur qui fait bim bim bim. Ma commande n'est pas prête, du moins il manque une palette qui arrive par la navette. A 11h on décolle, un bon plein de gasoil à la Repsol, et en avant. Le chef nous rajoute une ramasse en passant à Perpignan et le camion roule normalement, on a le cul bordé de nouilles et même le temps de casser une croutas rapidas avant 14h.
Les palettes sont prêtes, le cariste est chaud, les papiers sont dispos, on voit que Perpignan c'est pas loin de l'Allemagne, c'est efficace ici!! De là, je chausse mes semelles de plomb, ma Bibi boude un peu parce que ça sent la fin des vacances, heureusement aujourd'hui après 13 jours de mauvais temps quasi, il y a du soleil. Pas trop de monde à la montée ni sur A9, ni sur A7 et c'est tant mieux. A 18h45 on arrive à la sonmai, mon fils gardien nous rejoint sur mon parking pour faire un peu de logistique, et passer un bout de soirée tous réunis.