FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2019 Partager sur Facebook
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  • Le jour se lève sur la peinarde zi de Mollerusa
    Que ferai je sans mon balais ?
    Vas y KIKI, appuie sur la pedale
    Saint Donat Summer
    Le KING du Hayon
  • Mardi 14 Mai 2019
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    Une bonne nuit de sommeil, c'est quand même vachement bien pour se reposer ; a 6h45 je quitte la zone industrielle de Mollerusa, un gros soleil bien rouge, et surtout bien dans la tronche pour attaquer cette journée, heureusement ça roule pas trop, c'est super peligro. La carcasse du camion portugais qui a brûlé hier est toujours là, il reste vraiment plus rien du DAF. Avec 18t le 500 s'époumone pas trop dans les côtes de la C25, réglé sur 88 j'ai touché à rien sur toute la traversée, on peut pas dire, mais le progrès a du bon, mine de rien, il y a pas beaucoup de camions qui m'ont doublé même dans les côtes après VIC. Au passage à Aiguaviva je complète en gasoil, avec les beaux jours, la fille qui m'a servi m'a dit que les touristes commençaient à revenir et le pognon avec. Bizarement, elle m'a dit que les plus chiants c'était les français, qui ne supportent pas que les espagnols ne parlent pas français. J'ai honte. Je finis mes heures au centre routier de Narbonne ou le Jacuzzi N°2 est disponible.

    Compteurs remis à 0, ça roule un peu plus cool pendant la pause déjeuner, je fais la mienne de pause quand ça redemarre après Nimes. Il y a encore un vent de ouf dans la vallée du Rhône, mais je finis par debarquer à l'usine de jus de fruits à 16h30, le gars de la réception est déjà là, un belge doit vider avant moi, il me fait donc attendre. Mais le Belge n'arrive pas, il est garé au parking de l'aute côté de l'usine vers le gardien. Au bout de 15 minutes, le receptionnaire en à marre et moi aussi du coup, il me fait mettre à quai, il a quasi finit de me vider quand le Belge arrive.

    Du coup, j'ai même pas fini mes 30 minutes à quai, j'avance avec le chrono en 20 secondes, et quand les compteurs sot à 0, y a plus qu'à rentrer à la kommandantur. Quai 3, avec 8h55, et possibilité de caler une 11, je bouge plus. Emeric et Péli sont là, ils ont besoin d'un chauffeur pour les accompagner au Courte Paille, bon, je me devoue. Une bonne soirée bien sages, de temps en temps ça fait du bien.