Carnet de bord de Aout 2018 | Partager sur Facebook |
Coup de bol au reveil, y a ptit tom qui arrive avec son complet de fûts vides, du coup il me donne un coup de main pour amener mes 2 pauvres colis, oui, je vais pas bouger le camion pour ça quand même. Mine de rien, ça m'a pris plus de temps pour obtenir le badge pour rentrer dans les bureaux administratifs que de livrer les deux colis. Il est presque 8h30 quand je bouge de Givors. Mais voilà, on est encore en plein mois d'Aout et Lyon se traverse finger in the nose, enfin, en tenant un peu le volant quand même. Même pas un ralentissement, c'est nul. J'ai plus qu'à monter tranquillement jusqu'à Macon dans un premier temps histoire de me faire belle. Comme un con, j'ai loupé une magnifique photo d'Anthony, c'est mardi matin, le A6 liner redescend de son 1er tour de la capitale. Il aime faire du Paris Anthony.
Du coup, il se passe pas grand chose pour monter, je peux me mettre en mode sieste, ça c'est bon, aucun stress, ça c'est encore meilleur. C'est tellement sec en champagne que ça ressemble à la Castille la Mancha, à la difference qu"on trouve pas de tortilla chorizo dans le quartier.
Si bien que je me radine à 17h au Botanic de Vivier au Court à côté de Charleville, un seul roll, ça traine pas. Ensuite direction la toute proche Belgique, bon, là, ça se complique avec les énormes travaux qui durent depuis bientôt 2000 ans sur l'autoroute, en venant de Bouillon ou de Bruxelles on peut pas reprendre direction Liège, alors ça permet de faire un peut de tourisme jusqu'à Bastogne via la nationale, c'est joli, c'est sympa et tellement typique que je me dis que je vais pas tarder à voir Boule et Bill jouer dans un jardin. Je raplique en tout début de soirée au circuit de Spa, d'accord avec 9h30 de volant, mais au moins j'ai évité le merdier pour rentrer sur le circuit le matin, quelques teams de la F2 sont déjà là, la F1 occupe ici 90% de l'espace, c'est à chaque fois impressionant ! Quand j'arrive, je vais saluer les Fuel Mens de la F1 de chez DHL en mode bière et captivés qu'il sont face à un programme à 60° de la machine à laver, ils sont vraiment tarés ces anglais !