Carnet de bord de Décembre 2018 | Partager sur Facebook |
Café, croissant au chocolat, douche, je décolle tard, chez Waterair il n'y a personne avant 9h. En 10 minutes j'y suis, même pas le temps de recharger les batteries. Faut que j'arrête avec cette histoire de batteries, j'ai un Merco. Les Volvistes arrivent à nous stresser avec leurs piles LR6 dans le coffre à batteries.
Hier Sergi m'a whatsappé, je dois laisser la piscine pour Tarragone à l'agence, j'y allais pour une rénovation de toute façon. Au comptoir Béa est un peu surprise mais elle me laisse faire, on se connaît depuis le temps. En cinq coups de fourches c'est fait. Quand je reviens signer les CMR elle me dit qu'elle a vu passer un mail, tout est ok.
Je n'ai plus qu'à rouler direction Madrid. Un peu plus loin Sergi m'appelle pour prendre des news, j'en profite pour lui demander ce qu'il s'est passé. Il y a un problème avec le virement, la cliente ne pouvait pas être là et le monteur non plus. La totale. Ça se réglera en début d'année. On se souhaite de passer de bonnes fêtes, ce gars est toujours chaleureux, c'est bien cool de bosser avec lui, pourvu que ça dure.
Sur l'A2 il y a un bon bouchon dans la montée de La Panadella. En face un FH3 semi bâchée a tapé la glissière en béton, frotté la pile du pont et s'est arrêté à cheval au milieu du terre-plain central. Il a dû se faire une belle frayeur. Il y a des briques de lait, de la bouffe plein les voies de mon côté. J'ai même pas compté combien temps j'ai perdu, pas des masses.
Je m'arrête au gas-oil à Alfajarin et je vais enfin laver, ça fait des mois que mon pauvre camion n'a vu que l'eau de pluie. Ils ont un super savon, le camion est tout blanc, à la sortie les jantes sont décapées. Ça vaut les 56 balles selon moi. Je donne la pièce au gars pour qu'il fasse mon chariot, tip top.
Sur Google le contournement de Madrid est encore bien rouge à 19h45. Je ne connais pas de resto dans les Manzanares, je m'arrête donc souper à Meco au km 38. Quand je repars à 21h c'est vert partout. A2, M40, M607 il y a du monde mais ça roule à 90. A Manzanares el Real le seul parking est squatté par des camping-cars, je vais me garer à l'entrée du lotissement où j'ai livré au printemps. Au calme, sous la lumière, pile poil.