FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2019 Partager sur Facebook
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  • Binefar
  • Mercredi 17 Avril 2019
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    A 8h30 je retrouve Nestor à deux bleds plus haut dans les collines. Comme d'hab' on fait le tour du quartier en bagnole, j'arrive jusque dans la rue. On ne devait être que tous les deux pour dépoter tout le bordel, surprise, Raùl le monteur est là avec ses gars. Ils attaquent le montage de suite. Du coup nous on a gagné de l'énergie mais surtout du temps.

    Je descends à l'agence où je vide 4 rénovations plus la palette que je traîne depuis Valencia la semaine passée. Je recharge une piscine stockée là depuis des semaines, on va la livrer à Abrera. Abrera c'est au-dessus de Martorell, ça ne me fait pas de détour puisqu'après on va à Lérida. Nestor me fait garer au fond d'une zone industrielle, on est à 200m de la maison. Faut juste remonter un sens interdit, c'est de notoriété parait-il, tout le monde le fait. Sinon tu te tapes des km de détour, en chariot ça ne m'intéresse pas. Donc je remonte le sens unique deux fois et c'est torché.

    Je laisse Nestor tchatcher avec ses clients, je prends de l'avance, il roule plus vite que moi.

    A 13h45 je suis à El Pont d'Alentorn, le commercial ne m'a pas ratrappé, la maison est fermée, j'avale une boîte de sardines en attendant. Il se pointe dans les 10 minutes, suivi du client. Rien n'a bougé depuis le kit hiver 1, les tôles à la même place, l'escalier dans le garage. C'était bien la peine de faire en deux fois. Je dépose le reste de la piscine et je me sauve, j'ai du taf.

    Je fonce à Monzon ça me fait un détour pour Madrid mais j'ai pas le choix. Christine m'a prévenu dans la semaine j'ai deux palettes à récupérer pour Waterair. Sur le mail il n'y avait pas de case à cocher où je pouvais refuser, lol.

    C'était à charger impérativement aujourd'hui, l'usine chimique ferme à 17h, j'y suis à 16h, cool. J'ai bien fait de speeder depuis ce matin. Le cariste me donne un quai mais non, j'ai encore une piscine. J'ouvre le côté, fais un peu de place devant, il me sort les palettes et je me charge. C'est des produits d'entretien. Je serai resté un quart d'heure sur place, tip top.

    Je regarde la carte, pour Saragosse la route est bien pourrie, sinon faut redescendre à Lleida ou Fraga, fait chier. Tant pis je prends la route de merde. Je me fais secouer jusqu'à Sariñena après c'est roulant. On roule de longs moments dans les champs, sans croiser personne, un ou deux villages isolés, c'est impressionnant.

    Je coupe 30 sur l'A2, je vais marcher un peu pour prendre l'air. Laurence ne m'a rien envoyé pour le retour, je passe Madrid ce soir ? A Meco j'ai 9h pile poil de volant, vais souper. Il est 21h45, j'en ai assez.