| Carnet de bord de Novembre 2014 | Partager sur Facebook |
Je commence à Besançon chez Tartempion unité 1 comme indiqué sur le BL. Naïvement je me mets à quai à l'unité 1, et bien sûr quand je vais voir le réceptionniste il me dit : « Ah mais non, ça, ça se vide à l'unité 2, les ATS vous le faites souvent vous devriez le savoir ! » Bon il n'y a que la rue à traverser, c'est pas loin mais ça agace. Ensuite je vais poser le canard wc à quai et je descends à Thise vider les prospectus. Le mec me file un tire-pal et me demande de lui poser les palettes en long. C'est du papier c'est lourd, je lui demande s'il n'a pas plus facile lui avec son Fen pour tourner les palettes ? Ah non, c'est mieux quand je les prends en long... Bref, il n'y en a que 10, je lui tourne comme il veut mais encore un qui m'agace.
De là je me repaye le boulevard de Besac' et je vais recharger chez Tillet. C'est un peu chaud pour tout charger, d'autant qu'il me reste 4 palettes au tablier de prospectus pour Etupes. Il est 11h, je ne viderai plus avant midi, je vais chez MAN on doit faire contrôler nos remorques. Freins, suspensions, éclairage. Je fais changer le cabochon de feu arrière que j'ai cassé l'autre jour. Un magasinier que je ne connais pas vient me voir : « c'est vous que j'ai vu à la télé l'autre jour sur la 3 ? » Putain ça date d' il y a un an cette histoire ! Le mécano lui montre mon cabochon de feu, ils n'en ont pas c'est du Fruehauf. Le magasinier farfouille dans un gros carton et en trouve un qu'ils ont démonté sur une semi accidentée parait-il. Il dit au mécano : « c'est bon tu ne le factures pas. » Purée c'est ça d'être une star de la téloche, j'ai des passes-droit.
Demain j'ai piscines donc je ne pouvais pas repartir sur un grand tour à 13h je suis à Pont de Roide, pour changer. Un écriteau chez mon premier client dit qu'ils reprennent à 13h30, j'ai le temps de manger un morceau. A une heure et demi rien ne bouge, et je vois que les volets du bureau sont baissés, pas bon. Je vais en face, je vide une palette par les portes. En face c'est toujours fermé. Je vais chez le troisième et j'appelle Pauline pour prévenir. J'ouvre les deux côtés, on vide. Pendant ce temps j'ai ma réponse, l'usine en question chôme aujourd'hui et demain je vais poser la bobine chez le voisin d'en face. Je fais dans la foulée mon quatrième client rudipontin. Ce sont les habitants de Pont de Roide, un peu de culture ne nuit pas...lol. Ensuite je vais poser mes prospectus à Etupes. Une fois vide je remonte à Besançon pour charger pour...roulement de tambour...Pont de Roide !
Chez Tillet les gars sont en pause, j'ouvre pendant ce temps-là. Quand ils reviennent on charge, et je vais me mettre en coupure à Chemaudin. Au bar je tombe sur le Monaco, Philippe en fait. C'est un ancien waterairien mais il a le dos bousillé il a arrêté, il fait du fret chez Buffa, enfin chez Jacky. Ce soir c'est Beaujolais nouveau, boh je le trouve moins dégueulasse que d'habitude, presque buvable.