FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2014 Partager sur Facebook
  • Photos
  • pause pipi avant Albertville
    Des lignes droites interminable, c'est la N90
    Merci pour la fumée !
    ça le fait !
  • Mercredi 19 Février 2014
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    Comme c'est rare en ce moment de rouler direction la Savoie, et pourtant c'est bien là où je me rends en ce jour bénis ! Décollage aux aurores, 5h. Je file direction le levant que je ne verrai pas car le ciel est bien bouché sur Chambéry et ses environs. Je choppe même une espèce de pluie de sable aprés Albertville, le truc bien crados qui te pourris le camion instantanément ! Bref, c'est la merde quoi !

    J'arrive à Moutier à 8h pour 8h30, la classe ! Roger a déjà fait sa manip, il attend d'avoir fait une quinze avant de se barrer d'ici. Il est surexcité le pédaleur, les vacances approchent. L'Andalousie l'attend lui et ses coéquipiers, 400 bornes en VTT dans la pampa, tu parles de vacances !
    Je décroche sur la bascule et me rend aux bureaux pour les formalités d'usages. Je rattèle et décroche de nouveau sur le parc pour reprendre une autre citerne mais pleine cette fois. Ma vie de chauffeur de cour...
    Bien cool cette usine, j'aime bien et c'est dommage que je vienne que rarement ici.

    Je reprends la route et tombe de nouveau sur Roger qui fini sa demi-heure à l'AGIP après Aiton. Du coup il m'accompagne  jusqu'à ce que sonne l'heure de ma pause, pile vers l'aire du Guiers. Je me jette une demi-heure dans la couchette pour en écraser comme un sonneur. Après ça va mieux, je peux rejoindre sereinement la région Lyonnaise. Il est midi et quelque, pas la peine d'aller au terminal tout de suite, la relève est toujours un moment laborieux là-bas. Autant laisser passer le plus gros. Je me pose chez Hoyer juste quand arrive Roger décidemment. Du coup je l'emmène chez Momo pour casser une graine bien méritée.

    En repartant j'ai vu que le chef a tenté de me joindre. Il a besoin de moi cet après-midi pour une bricole en plateau. Je pose donc à Vénissieux où j'ai bien fait de laisser passer l'orage, pas un chat qui traine. Juste je vois passer Bima, le Normand, qui doit récupérer une boite vide visiblement. Croisure ratée, dommage !
    Je descend à Ternay chez Norbert pour décrocher au réchauffage puis je saute le Rhône à Vernaison pour me rendre à Grigny. Je charge un plateau en prédalles pour Clermont demain matin que je décroche ensuite. Je me dépêche de rentrer au dépôt car j'ai visite médicale du travail à Vienne à 16h30 auprès d'un ponte de la médecine.
    Un petit coup rapide de Karcher quand même et puis je range le tracteur, demain c'est repos !